CHAPITRE IX

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Nous traversons le couloir infiniment long, un silence de mort y règne. Certains ouvres les portes qui donnes à d'autres salles.
-il n'y a personne..
-Aria, pourquoi tu ne t'en volée jusqu'au sixième étage? On va pas tous monter, non?
Mes ailes? Je les avais "oubliées" celles la.
-je ne sais pas volé.
-ben tout à un début?
Il a réson, depuis toute petite je rêvais de pouvoir un jour avoir cette chance.
-non. C'est pas le moment d'avoir d'autres problèmes. Dit Edem.
Pour qui il se prend? De quel droit il décide de ce que je doit faire et ne pas faire? Il me regarde sûr de lui.
-tu te sens de marché?
-euh, oui...
-ok. Tu monte avec moi.
Il me prend par l'avant bras et m'emporte avec lui. En montant, je suis devant lui et je sens son regard peser sur mon dos. Je ne veux pas lui parler, il l'a compris et respect mon silence. Arriver au sommet, je me décide à parler:
-tu sais? Je peux prendre des décisions toute seule hein? Si je veux, je peux improviser un cours d'aéronautique sur le toit et...
-JE ne veux pas qu'il y ai des perte.
-ok je te comprends mais... Voilà quoi...
-oui, oui j'ai compris...
-enfin c'est pas contre toi...
-je crois qu'on devrait continuer à chercher s'il y a quelqu'un.
On ouvre donc chaque porte une par une dans sans un mot. Personne. Il faut redescendre pour alerter les autres.
-je veux tester.
-quoi? De quoi tu parle?
-suit moi.
Je cours et monte les escaliers qui mènent au grenier, hier encore les élèves n'avaient pas le droit d'y monter, maintenant on fait ce qu'on veux.
En haut, c'est il fait beaucoup plus froid et on n'y voit pratiquement rien.
Je me met à éternuer (normal, ça sent la poussière à plein nez😤.) Je m'approche de la fenêtre du toit et grimpe, Edem me suit et nous nous retrouvons sur la vaste toit du veille l'établissement, là où la mousse est plus veille, plus verte et plus humide qu'ailleurs. La pluie nous trempes en quelques secondes; on se déplace à quatre pattes et aurons au milieu. Je m'assois puis Edem s'assoit à son tour (toujours trop près.) La vue est splendide, la mer est déchirée, les nuages tournent autour, aussi noirs que du charbon seule les éclairs m'offre la possibilité de voir et la pluie vient nous giflée, aussi violentes qu'elles le vent qui nous tire nos cheveux.
Je ferme les yeux et me laisse emporter par l'ambiance; elle m'apaise tant...Il me caresse la tempe et continue en frolant mes cheveux. Je n'ai pas peur. Quand ses doigts arrivent aux pointes, je me lève et d'un pat décidée, marche jusqu'au bout.
-Aria !! Arrête !!!
Sans me retourné je lui lance d'une voie douce:
-laisse moi, je veux essayer.
Arriver à destination, je les ouvre; les sont immenses et si belles; mais il y a un problème... Comme une force qui m'entraîne vers le centre... Ce n'ai pas Edem, non, il est resté à croupit et me regarde avec de gros yeux, il n'a plus ce sourir indéchirable (le plus souvent il le perd quand quelqu'un est en danger de "mort") je n'y arrive pas, je ne peux pas sauter pour tenter une petite envolette à traverser les nuages comme font les petits anges (oiseaux ).
Je retourne au près du garçon blond et sans savoir pourquoi et sans pouvoir me contrôler je m'éfondre son épaule et pleure.
-hé..Je sais.. C'est difficile de me contredire. Dit - il d'une voie douce.
Je ris et le regarde; il l'a...Encore et pour toujours, il l'aura...(son sourire 😆)
Je replonge mon nez dans son cou, il a un parfum si fort mais si doux, ça relève sa personnalité. Il est brûlant pourtant sa main est froide et trempé.

Sous la pluie battante, deux adolescents sont là et attendent, l'improbable destin qui signe plusieurs contrats.

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