Paisiblement installé sous la couette, on ne voit rien du personnage si ce n'est sa chevelure orange dépasser des draps. Torse nu, il ne veut pas sortir de peur d'avoir froid. Il sait pourtant que la température ambiante est bonne mais pas autant que sous la couverture.
Il ouvre peu à peu les yeux car il sait que la matinée est déjà bien entamée. Il aimerait pourtant rester là encore une heure ou deux afin de récupérer de sa nuit mouvementé. Son corps le fait souffrir alors il ne fait que le strict nécéssaire en mouvement.
Mais quelque chose le pousse à relever rapidement la tête, serait-ce quelqu'un qui pleure ? Il tâtonne, encore les yeux fermés pour trouver son compagnon à ses côtés. De son toucher, il sent que son amour va mal.
Cette fois-ci il se réveille totalement. Et contemple ce garçon à ses côtés.
-Eh mon coeur, qu'est ce qui ne va pas ? Demande t-il en passant son pouce sous l'oeil de son vis-à-vis pour essuyer les larmes.
Il se rapproche et vint s'installer sur lui afin de le réconforter au mieux.
-C'est ce livre... il est vraiment trop... triste... déclare l'autre entre quelques sanglots.
Jimin relève la tête pour coller son front contre celui de son amour.
-Ce n'est qu'un livre, rien n'est réel
-Mais.. tu étais là et moi je... oh Jimin j'ai eu peur de te perdre...
Le rouquin vint embrasser passionnément celui en larme.
Il caressa chacune des parties du corps découvertes de l'autres sans retenue, allant même jusqu'à lui arracher un soupir sensuelle.
-Ai-je besoin de te rappeler la nuit qu'on vient de passer ou tu vas te souvenir seul que je suis bien là et que je ne suis pas prêt de partir ?
Son compagnon l'enlace et rigole faiblement.
-J'aurais bien besoin d'une piqûre de rappel répondit-il espiègle
-Je crois que ça peut s'arranger !
Les deux garçons s'étreignirent avec force, l'un cherchant à se convaincre que son amour était bien réel tandis que l'autre tentait de prouver son existence en y mettant toute son âme.
Les corps s'enflammèrent et ne formèrent bientôt plus qu'un. Leur union prit une dimension incroyablement démesuré. Dans un derniers râle de plaisir les deux garçons se murmurèrent la force de leur sentiments indomptable avant de se laisser tomber l'un contre l'autre de fatigue.
-Je t'aime si fort Jimin
-Et moi dont Yoongi...
A quelques mètres plus loin, dans une autre pièce, cinq garçons se serraient sur un vieux canapés, certains se câlinant.
-Vraiment ces deux là n'ont aucune gêne ! Grogna Hoseok
-Personnellement il me donne très envie murmura Jungkook à l'oreille de son amoureux.
-Nam, tu voudrais pas venir deux minutes ? Demanda Jin
Les deux couples se levèrent rapidement et disparurent dans le cadran de la porte.
-Ah d'accord donc c'est réunion baise dans cet appart ? S'insurgea le garçon restant.
Il se leva ensuite et préféra sortir de cette endroit plutôt que d'assister à la synchronisation de toute les jouissances de ses camarades.
Son téléphone sonna, ce qui l'arrêta net dans ses pensées.
-Bonsoir, désolé de te déranger aussi tard mais j'ai un service à te demander, tu es un très bon psychologue dans cette ville, alors ça te dirais d'aller bosser quelques temps dans une ville un peu isolé avec des gosses un peu compliqué ?
Il existe je crois, deux mondes bien distincts et l'on vit dans chacun d'eux de manières indépendantes. Il y à la réalité, celle dans laquelle notre corps s'ancre et où nous vivons jusqu'à la mort. Mais il y à, ce second monde dans lequel notre esprit erre et se plait à imaginer une vie différente, parfois étant le reflet de nos véritables envies. Afin de ne pas commettre l'irréparable dans la réalité, nous nous complaisons à enfreindre nos valeurs pour voir où cela ménerait. Cependant, bien qu'indépendant, ces deux univers sont indissociables. Rêver de bonheur parfait dans l'un pousse à vouloir agir dans l'autre et de même pour ce qu'il y à d'obscure.
Tandis que nous vivons dans l'un de ces mondes, l'autres s'inscrit en nous et influence nos choix.
Alors, comment savoir quel monde doit grandir en moi afin de ne pas regretter mes choix ?
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Psychoville.
Fanfiction"-Je n'avais pas mesuré l'empleur du problème lorsque l'on m'avait donné ce travail. C'est en arrivant que j'ai compris qu'à tout instants, je pouvais mourir. Tout le monde aurait fuit à ma place rien qu'en voyant le panneau indiquant le nom de la v...
