Chapitre 28

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Après mettre laver, habiller et coiffer je suis remonté dans ma chambre.Dans La sale de bains j'ai trouver une pommade pour les brûles et pleins d'autres choses, de toute façon sa ne peux que me faire du bien. Je n'est pas dormi de la nuit tellement la douleur était forte...Je suis le sosie identique du zombie! Je ferme ma porte de ma chambre en m'étant une chaise casser sur La poignet de la porte pour la bloquer.Je ne voudrais pas que le grand père de Jess me vois nue enfin en sous-vêtements sa serais très gênant.

J'applique la pommade sur mon corps, je grimace à chaque fois que je met Sur une nouvelle brûlure, respirer, inspire et je souffle.Je serre les dents pour ne pas lâcher des petits cris, je ferme les yeux Quand sa pique vraiment trop fort. Quand j'ai finit d'avoir déposé la pommade sur ma peau j'attend quelque minutes pour que sa pénètre bien dedans puis je renfile mes habilles.Je me fais une queue à toute vitesse.Je sais que je suis seule avec le grand père de Jess parce que j'ai entendu la porte claquer toute à l'heure mais Je ne sais pas si il est rentré ou pas, alors je décide de descendre pour aller vérifier.

Arriver en bas tout est calme, seul le bruit de la télé résonne dans la maison.Je m'approche du salon, le grand père de Jess est assis sur le canapé, il est a fond sur le documentaire de la guerre.Sans le vouloir je souris, il semble si calme et si gentil, tout l'inverse de Barbara mais il peut très bien cacher son jeu lui aussi.

«Qu'est-ce qui te fais sourire comme ça petite?»Rigole t-il.«Ne reste pas debout , voyons, viens t'assoit près de moi.Je ne vais pas te manger.»

Je balance ma tête de droite à gauche sans arrêter de sourire.Je m'approche de lui en m'assaillants à coter de lui, à des distance convenable.On ne sais jamais, je ne le connais pas!

«Tu t'appelle Éléyana, c'est ça?»

«Oui.»Dis-je simplement.

Le vieille homme me regarde de haut en bas, fronce les sourcils quand son regarde s'arrête sur mon poignet.Ma manche de pull est légèrement remonte se qui laisse apparaître un bout de ma brûlure causé part les coups de ceinture, Je tire dessus pour le cacher rapidement.Il me regarde droit dans les yeux, dans c'est yeux je vois de l'inquiétude et du désarrois, gêner, je tourne ma tête vers la télé.

«Je peux vous posez une question ?»Demandais-je après quelques minutes de silence.

«Bien sur.»

«Savez vous comment Camélia est... morte...» hésitais-Je.

Je retiens mon souffle et je ferme les yeux en m'attendant qu'il m'engueule ou même qu'il me frappe, mais après quelque seconde j'ouvre mes yeux en n'entendant rien, pas d'insulte, pas de coup, rien. Je retourne ma tête vers lui, il me regarde perplexe, les sourcils légèrement froncer puis il me lance :

«Qui est Camélia ?» lâche t-Il.

Je me lève d'un bon, je fais les gros yeux en le regardant droit dans les siens. À son tour il se lève.

«Qui est cette Camélia ?» répète-t-il.

«Vous êtes bien le père de Barbara et le grand père de Jonathan ?!»

«Bien sur, Pourquoi ? qu'est-ce qui a?»

«Vous... vous... n'avez jamais eu de petite fille qui s'appelle Camélia?...» dis-je doucement.

«Non, enfaite je ne sais pas trop.Peux être qu'elle m'a cacher que j'avais une petite fille, connaissant Barbara.»Dit il d'une voix morte.

Je fronce les sourcils, si il connaît Jess il connaît Camélia.A se que j'ai compris, Jonathan et elle était inséparable...Pour temps ce vieux monsieur n'a pas l'air de me mentir.Le son de sa voix ne montre aucunes émotions et ça m'embête bien! Je sais que Barbara et une femme assez... spécial mais c'est son père tout de même!Le vieille homme me regarde avec douceur, Comme tout grand père ferait.

Sauve Moi D'euxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant