Les Poulets - La Brigade de Police

Chapter 2

—LUCY !?

—La seule et l'unique !

Mirajane se jette dans ses bras en pleurant de joie.

—Tu m'a tellement manqué ! Pourquoi ne m'a tu rien dit à propos de ton enfant !

Lucy souris avec un regard désolé et caresse les cheveux de son amie au cheveux blanc.

—Je vous expliquerai tout plus tard, c'est promis.

—Y a intérêt, plutôt. Ajoute Juvia en s'approchant d'elle avec le sourire.

Lucy lui souris et elle et Juvia lève leur poing et les cogne.

—Tu m'a manqué, Juvia !

—Tu l'as dit. Ça faisait un bail.

—Lucy. Dit la patronne.

Lucy regarde sérieusement la chef. Juvia pose sa main sur son épaule pour l'encourager avec le sourire, que la blonde lui rend tous de suite après. Juvia traîne Mirajane qui elle lui ordonne de la lâcher pour rester plus de temps possible avec son amie, pour finir par sortir du bureau de leur patronne. Lucy repose sont regard sur son supérieur et reprend.

—Chef, je suis désolé d'être venu deux ans plus tard, que le jour convenu. Elle s'incline. J'accepterai toute sanction de votre part.

L'écarlate fronce les sourcils en soupirant tout en s'asseyant sur son siège.

—Ne dit pas n'importe quoi.

—Mais je..

—Ne t'ai-je pas déjà dit de ne pas être aussi formelle avec moi ? Elle hausse la voix. J'aurais fait la même chose que toi. Alors tu n'a pas à t'excuser.

Lucy se tait et lâche un rictus au coin de ces lèvres, tristement.

—Tu as fait preuves de force avec elle durant tout ce temps. Tu n'as pas à avoir de regret.

—O.. Oui..Lucy baisse sa tête et laisse une larme filé.

—Je suis désolé pour toi, Lucy. Dit Erza en se levant et lui caressant le dos.

Lucy hoche de la tête n'arrivant pas à prononcer un mot mais hoquetant en cachant son visage. Erza la regarde avec un sourire doux.

—Sinon.. Comment va l'enfant..?

—Très.. B..Bien..

*

—KYAA ! C'est trop mignon ! Elle s'appelle Nashi, alors !? S'exclame Mirajane avec un très grand sourire au lèvres en joignant ces mains sur le coté de ses joues.

—Je comprend mieux pourquoi tu n'es pas venu depuis cinq ans. Reprend Juvia en posant une main sur son menton, et son coude sur la table. C'est pour quelle puisse aller à l'école et toi aller au boulot par la même occasion.

Elles sont toute les trois dans un barre, où elles ont eu l'habitude d'y aller au-par-avant. Elles sont assigne, en forme de ligne droite. Lucy au milieu, et les deux amies sur le côté.

—En effet, c'est pour ça. Confirme Lucy en souriant, mélangeant sa boisson avec une paille. Je devais revenir il y a deux ans, mais je m'inquiétais pour elle. Elle n'était pas habituée à l'école et moi habitué de la laisser. C'était dur. Elle rigole.

—Digne d'une vrai mère. Dit Mirajane en posant sa main sur son dos avec un sourire doux.

—Bien. Lâche Juvia en ouvrant ces paupières. Portons un toast. Propose t-elle en se sentant obligée.

—Huh ? Un toast ? Je ne crois pas que c'est une bonne idée-

—C'est une excellente idée ! S'exclame Mirajane en se levant. Portons un toast pour célébrer le fondement de la famille Dragneer, et de leur petite !

Juvia se lève tandis que Lucy reste assise avec le sourire. Le verre de la bleu et de la blanche se sont déjà joint.

—Allez Lucy ! Plus que le tiens ! Ne fait pas la timide ! Dit Mirajane.

Lucy secoue la tête en soupirant "ces deux là, alors".

Elle reste assise mais joint tous de même son verre.

—KENPAI !
—KENPAI !
—KENPAI !

Avant quelles ne boivent, Lucy fait gigoter son verre pensif, puis rajoute.

—Rectifications.. Portons un toast pour le fondement de la famille Heartfillia..

—Bah.. Pourquoi tu dit ça ! Haha ! Dit Mirajane. Ne joue pas les timides ! Elle regarde Juvia. Allez, allez ! Cul sec ! Lui dit-elle.

Elles boivent toute les deux en même temps tandis que Lucy, reprend :

—Il m'a... Jeté. Elle souris.

Les filles écarquille les yeux puis recrache instinctivement en même temps leur boissons.

—QUOI !? Hurle Mirajane, manquant de s'étouffer les sourcils froncés. DEPUIS QUAND !?

Lucy tourne sa chaise les paupières fermés et un grand sourire sur ces lèvres.

—Bien avant que je n'accouche de Nashi !

Mirajane reste choqué. Les yeux écarquillé. Elle prend les épaules de Lucy.

—Lucy ! Ça te va vraiment comme ça ?! Ressaisis-toi, bon sang ! 

—J'ai eu le temps de me ressaisir avec ces cinq dernières années passé, Mirajane. Lucy baisse sa tête, puis plonge son regard noisette, dans l'océan de Mirajane. C'est comme ça qu'est la dure réalité de la vie.

Mirajane choqué recule d'un pas. Sentant son cœur battre. Elle baisse la tête, imaginant son amie isolé dans la chambre de sa villa, enceinte de sa fille, pleurer, pleurer, sans rien ni personne pour la consoler, juste son téléphone vibrer sur sont lit au quotidien en sa compagnie. Mirajane tombe sur ces genoux au sol laissant des larmes filés sur son visage à une vitesse incroyable, sans la moindre ride dans son visage. Juste des yeux écarquillé par le choc.

—Lucy, je.. Je suis désolé..

—Mirajane.. Fait la blonde en se joignant à elle et la prenant dans ses bras.

—Je suis désolé de ne t'avoir pas compris durant ces cinq ans..

—Tu n'a rien de fait mal. C'est moi. J'ai été trop naïve.

—Je suis désolé.. Désolé..

—PUTAIN ! L'ENFOIRÉ !!

Le verre que tenait Juvia se brise soudainement.

—Juvia ! S'exclame Lucy en se précipitant vers elle avec Mira. Tu es folle ! Regarde, tu t'es blessé !

Juvia a un regard vide de colère.

—Je vais buter cette enfoiré.

Elle retire la main de Lucy de s siennes. Elle sort du bar suivit des filles.

—Juvia ! Attend ! Tu ne peux pas faire ça ! La blonde essai de la retenir.

—T'en fait pas, Lucy ! On va juste lui laisser un message ! Sourie Mirajane en enfilant sa veste en cuir. D'après les infos qu'on a eu, il revient aujourd'hui de son enquête.

Juvia retire la barrette qui lui tenait les cheveux, et secoue sa tête pour qu'il descende en cascade derrière son dos, et devant sur sa poitrine. Elle retire ensuite le tee-shirt violet et le jette au sol, afin de rester avec son débardeur blanc.

—Je me sent moins serré.

La blonde souris.

—Tu va me dire que tu ne va pas te défouler là ?

—Non. Elle a dit l'autre. Dit Juvia en continuant de marcher vers le poste.

—Pfiou ! Soupire la blonde.

—On va le buter... Murmure les filles.