Après une semaine de repos pour Alice, ce matin elle reprenait le travail. Fred et Alice étaient dans la voiture devant le palais.
Marquand : ça va aller ?
Alice (une main sur la joue de Fred) : ne t'inquiète pas. On se voit ce midi.Alice commençait à sortir du véhicule quand Fred l'attira vers lui.
Marquand : tu n'oublies rien ?
Alice : pas tellement non..
Marquand : alors c'est moi qui vais t'y faire penser !Fred embrassa avec fougue sa belle. Alice fit prise par surprise, une belle surprise tout de même.
Alice (en chuchotant) : je t'aime mon amour, ne l'oublie jamais.
Puis elle partie vers son bureau.
Fred était perturbé par ce que venait de dire Alice. Mon amour ? L'avait elle fait exprès ? Notre commandant parti en direction de son bureau qui n'était qu'à quelques mètres du palais et toujours aussi perturbé.
Noah : bonjour chef !
Marquand : salut.
Noah : nous avons le suspect a aller interroger ce matin. Je pense que sa nuit en cellule a du lui faire du bien.
Marquand : merci Noah !Puis nos deux collègues partirent interroger leur suspect.
Pendant ce temps au Palais, Alice venait d'entrer dans son bureau.
Victor : Madame le Juge ! Comment allez vous ?
Alice : bien Victor et vous ?
Victor : qu'est ce que je suis content de vous revoir. Mais dites voir, c'est quoi ce petit sourire ?
Alice : disons que je suis très heureuse en ce moment... mais je ne vous en dirait pas plus. C'est du secret d'instruction Victor.À ce même moment, Marquand entra de le bureau de sa belle. Alice eu un grand sourire qui ne passa pas inaperçu pour le greffier.
Victor (chuchotant dans sa bouche) : ah je comprends mieux maintenant !
Marquand : bonjour Victor, Madame le Juge.
Alice : bonjour commandant, alors cet interrogatoire ? Qu'à t il donné ?
Marquand : nous avons notre suspect ! Je venais donc vous voir, l'équipe à la journée de repos étant donné que nous n'avons plus d'enquêtes en cours et je venais vous l'annoncer en personne Madame le Juge.
Alice (avec un grand sourire) : merci commandant. Vous pouvez également rentrer chez vous Victor. Je m'occuperai de finir les derniers rapports.
Victor : merci Madame le Juge. À demain.
Alice : à demain Victor.Le greffier sortie du bureau d'Alice puis Marquand s'approcha de sa belle et passa ses bras autour de la taille de sa belle.
Alice : quelqu'un pourrait nous voir Fred, c'est un vrai moulin ce bureau !
Marquand (l'embrassant dans le cou) : mais je m'en fou des autres, c'est de toi dont j'ai envi là.
Alice (se retournant vers son amant) : j'espère bien qu'il n'y a que moi dont tu es envie... viens.
Marquand : on va où ?
Alice : vous verrez bien commandant ! Vous êtes un homme curieux dites moi.
Marquand : mais je l'assume.. et vous une femme désireuse madame le Juge.
Alice : taie toi et suis moi maintenant, au lieu de dire des bêtises.
Marquand : à vos ordres madame le Juge.
Alice : Fred, chut... tu peux patienter, oui ?
Marquand : juste pour toi, mais vite fait quand même, Madame le juge !Marquand avait bien insisté sur ses derniers mots.
Dans un élans, Alice fit sortir son commandant du bureau pour aller au plus vite dans leur voiture. C'est Alice qui conduisait étant donné l'état dans lequel était son bel amant.
Marquand : vous nous emmenez ou Madame le juge ?
Alice : à l'hôtel commandant !
Marquand : ??
Alice : mais non, je rigole... et puis tu verras bien. Tu me fais confiance quand même ?
Marquand : j'ai aveuglément confiance en toi !
Alice : dans ce cas patientes un peu.Quelques instants plus tard, au beau milieu d'un ascenseur.
Marquand : alors comme ça on va chez moi ?
Alice : oui, j'espère que tu as les clefs.
Marquand (entre 2 baisers) : toujours Madame... le juge... toujours !Arrivé devant la porte de l'appart, Marquand prit les clefs et les inséra avec difficulté dans la serrure.
Alice était désormais dans le même état que son bel âtre.
Quand ils furent rentrer, Marquand plaqua Alice contre le mur, referma la porte et la porta jusqu'au canapé.
Marquand : et Paulo ?
Alice : mon pèreÀ ces mots, le commandant commença par déboutonner très sensuellement un à un les boutons de la chemise de sa belle pendant que, de son côté, la juge embrassé langoureusement Marquand.
Tous les vêtements finirent très vite leur course vers une destination encore inconnue, étendues dans tous le salon.
Le commandant voulait provoqué tout le désir de sa belle mais Alice en avait décidé autrement. Elle se mit au dessus de son homme et commença par lui caresser très sentuellement le torse. Elle savait comment faire chavirer son homme.
Puis la juge décida de faire languir son commandant. Elle continua par faire des gestes lents à ses endroits les plus sensibles qu'elle connaissait par cœur.Marquand : Alice... tu me martyrises là...
Alice : mais c'est le but commandant !
Marquand : tu vas voir toi !Puis Marquand prit les commandes pour le plus grand plaisir de sa juge.
Une fois leur partie de jambes en l'air arrivées au septième ciel, nos deux amants firent par s'endormir l'un contre l'autre avec un plaid pour seul lien d'intimité.
Marquand se réveilla le premier au alentour de 20h. Il resta un petit moment à contempler sa belle. C'est à ce moment là qu'il pensait à la chance qu'il avait d'être à ses côtés. Il s'en voulait tant de l'affaire Rachel. Il était partie dans ces pensées, pensées si noires qu'il préféra faire un tour. Le commandant se leva, enfila un boxer et un jean, puis sortie en direction d'une fenêtre de la cuisine.
Au bout d'une petite demi heure de réflexion, Alice fini par se réveiller et prit peur en ne voyant aucune présence à ses côtés. Elle se leva d'un seul coup, enfila la chemise de Fred et partie en direction de Marquand.
Elle passa ses mains au tour de la taille du commandant et continua par lui embrasser tendrement le cou. Au contact de sa peau, Alice s'aperçut que son homme était ailleurs, comme transporté dans un autre monde.
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Alice Nevers, les amants maudits
FanfictionSuite à l'arrestation d'Alice et Fred par le procureur Divo, nos deux amants vont passée de la joie à la haine..