Les deux amoureux arrivèrent très vite dans les bras de Morphée malgré le lendemain et cette discutions qui les attendaient.
Au petit matin, Marquand se réveilla sur le canapé. Dans un premier instant il ne comprit pas pourquoi. Puis il réfléchit longuement et ce rappela de cette nuit quelque peu agitée.
Au alentour de minuit, le commandant était très agité. Il se réveilla en pleine nuit en sursaut. Il décida donc de "terminer" sa nuit dans le salon pour ne pas réveiller sa belle.
Il était maintenant 7h et Alice commençait à se réveiller. Elle tendit le bras et senti cette place qui était devenue froide. Inquiète, elle se précipita vers le salon et y trouva Fred, endormie de tout son long, le visage tendu. Elle décida de le réveiller.
Elle s'assit sur le rebord du canapé et se pencha au dessus de Marquand. Elle n'eut même pas le temps d'ouvrir la bouche que Fred ce réveilla, certes difficilement mais il ouvrit les yeux pour sa belle.
Marquand : bonjour toi.
Alice : comment ça se fait que tu es atterri ici ? Tu n'étais pas dans le lit ?Marquand cherchait ses mots. Il ne voulait pas avouer cette nuit d'enfer à Alice. Mais d'un autre côté il était temps de se libérer de ce poids. Il tenta le tout pour le tout.
Marquand : Alice, il faut vraiment que je te parle.
Alice : parles moi, je n'attends que ça depuis hier. Dis moi ce que tu peux. Même si tu n'y arrives pas jusqu'à la fin mais au moins ce que tu peux.Le juge le regardait intensément.
Marquand : je n'ai jamais due te le dire mais pour ta mère je te comprenait mieux que personne. Moi aussi j'ai perdue un être cher étant beaucoup plus jeune... J'avais dix petites années, mon père est parti au travail un matin puis il n'est jamais revenue. Des gendarmes sont venus chez nous. À l'époque j'habitais encore en Italie. Ils sont venus nous dire qu'ils avaient retrouver mon père mort dans sa voiture de fonction.
Marquand marquât un temps d'arrêt. Il en avait besoin afin de reprendre ses esprits.
Marquand : puis la seule idée que j'ai eu à été de partir loin. Le lendemain à l'aube, un pêcheur m'a retrouver dans un faussé entrain de dormir. Je n'ai jamais réussit à en parler jusqu'à aujourd'hui. Et ça... c'est grâce à toi Alice... hier, quand tu m'as trouvé dans la cuisine, je repensé à tous nos moments, autant les bons que les pires. Je t'ai revu allongé dans le couloir de cet hôpital. Je revis cette scène chaque nuit. J'ai crue t'arracher à ton père et surtout à Paulo à ce moment là. Quand je suis partie c'était pour espérer oublier le temps d'un instant mais rien n'y faisait. Je n'arrivais pas à oublier cette image. Je me suis alors réfugié chez ma fille alors que je savais pertinemment que c'est de toi que j'avais besoin.
Alice : mon amour, pourquoi ne m'avoir rien dit sur le moment ? On aurait put éviter toute cette peur et cette angoisse. Tu sais que j'ai pensé au pire quand tu es partie. J'ai crue ne plus jamais te revoir. Puis quand Juliette m'a rappelé, j'étais comme soulagé de te savoir entre de bonnes mains et surtout en SÉCURITÉ mon amour.
Marquand : j'avais honte Alice. Un homme n'a pas à créer des problemes comme cela à sa femme. Un homme de famille n'est pas censé ce réfugier chez sa fille quand tout va mal dans sa tête. Tu comprends ça ? Je ne suis pas rentré dans ta vie pour te l'a compliqué d'avantage.
Alice : mais tu aurais due venir me voir, me parler. Tu aurais dû tomber dans mes bras. Si je t'ai choisie toi, c'est bien qu'il y a une raison, non ?
Marquand : je ne veux pas que tu es un boulet comme compagnon.
Alice : Fred, tu es loin d'être un boulet ! ... regarde moi ! Je t'aime comme une folle. Et puis je t'assure que tu es loin d'être mon compagnon. Et...
Marquand : pardon ? Tu veux que je sorte de ta vie, c'est ça ? Non mais dis moi le parce que dans ce cas là je me barre de suite.
Alice : eh Fred écoutes moi ! Tu es bien plus qu'un simple compagnon ! Tu es certes mon compagnon mais tu es également mon meilleur collègue, le plus beau de amant, mon plus grand confident même si je te l'avoue j'ai encore un peu de mal pour ces choses là, tu es un père pour Paul, pour notre Paulo. Je ne l'ai jamais vu aussi souriant et en forme que depuis que tu es avec nous.Alice avait prit le visage de Fred entre ses mains et l'avait rapproché de son visage. Ils n'étaient qu'à quelque centimètres.
Alice : regarde comme tu nous rend heureux de jours en jours. Oui, je suis une femme comblée à tes côtés et pour rien au monde je ne voudrais échanger ma place. Pour rien au monde je ne voudrais un autre père que toi pour notre Paulo. Alors oui Fred, tu as un caractère de cochon, tu t'emballes pour un rien, tu pars dès la première embrouille mais c'est ça que j'aime chez toi. Alors je suis là mon amour, pour le meilleur comme pour le pire.
Puis elle embrassa amoureusement tel de jeunes adolescents.
Marquand : si tu savais comme je t'aime Madame le juge.
Alice : je le sait tout ça commandant. Je le sais mieux que personne mais par pitié, ne part plus comme tu l'as fait. J'ai eu trop peur de te perdre.Alice partie en sanglo vers la fenêtre quand elle sentie la main de Fred sur son avant bras.
Marquand (l'attirant vers lui) : jamais. Tu m'entends ? Jamais je ne pourrais te laisser. Je t'aime beaucoup trop pour te faire ce mal même si j'arrive tout le temps à te faire souffrir.
Puis il baissa la tête et la releva aussitôt.
Marquand : tu sais ce que l'on va faire ?
Alice : non
Marquand : on va se prendre un peu de temps rien que tous les deux. Ça te dis ? Des petites vacances en amoureux rien qu'avec ton commandant ?
Alice : et le boulot Fred ?
Marquand : on s'en fou du boulot. Moi c'est ton bonheur avant tout que je veux. Alors tu veux ?
Alice : je suis très heureuse avec toi mon amour. Si je le pouvais, je partirais loin et rien qu'avec toi !
Marquand : alors c'est un oui ?
Alice : bien sûr que c'est un oui !
Marquand : tu as une destinations de prédilection ?
Alice : je te suivrais les yeux fermés jusqu'aux bout du monde Fred !
Marquand : c'est noté.Une nouvelle journée pleine de bonnes humeurs commença pour nos deux amants.
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Alice Nevers, les amants maudits
FanfictionSuite à l'arrestation d'Alice et Fred par le procureur Divo, nos deux amants vont passée de la joie à la haine..