Deux semaines étaient passés. Fred et Alice étaient fin prêts à partir pour une destination qui était totalement inconnue de la juge : l'Italie.
Sur le chemin menant à l'aéroport :
Alice : tu ne veux toujours pas me dire où tu m'emmène ?
Marquand : c'est une surprise, Madame est pressé de savoir à ce que je vois ?!
Alice : si tu savais. Je n'en peux plus ! Ça fait deux semaines mais j'ai tellement envie de savoir mon amour.
Marquand : patience voyons !Pendant tout le trajet dans l'aéroport, Fred avait mit un bandeau sur les yeux d'Alice afin qu'elle n'ait aucune chance de voir la destination finale.
Ils finirent par s'installer dans l'avion, tout deux contre le hublot, serré l'un contre l'autre.
Marquand : tu sais ce que j'aimerais ?
Alice : que tu me dises où tu m'emmène ?
Marquand : non... j'aimerais que l'on soit seul au monde pour que je puisse te prouver que tu es ma raison pour laquelle je me lève le matin. J'aimerais te prouver à quel point je t'aime. J'aimerais que plus jamais on ne se quitte.
Alice : on aura tout notre vie pour ce le prouver mon amour. On l'aura notre vie à tous les deux, tous les trois ou peut être plus. Sait on jamais.
Marquand : tu... t'es sérieuse en disant ça ?
Alice : on sait jamais ce que la vie peut nous apporter. Et puis je serrais si fière de pouvoir un jour, porter une petite Marquand.
Marquand : tu aimerais que... ?
Alice : oui j'aimerais bien... mais je pense que tu en as déjà assez avec tes filles et notre Paulo. Je ne veux pas t'imposer ce choix.
Marquand : et Alice.. je le veux tout autant que toi cet enfant, d'accord ?
Alice : mouais, et puis on ne sait pas, autant je ne pourrais plus tomber enceinte tu sais à mon âge.
Marquand : et on en parle du miens d'âge ?
Alice : mais toi c'est pas pareil, un coup de rein et c'est repartie. Et puis... (elle hésita) J'ai peur des fausses couches et tout ce qui va avec. Tu comprends ? Je n'ai pas envie de te décevoir une fois de plus.
Marquand : eh (il lui prit son visage entre les mains) ... cet enfant c'est tout les deux ou pas du tout. Je veux m'investir à fond dans tout ce que je fais pour toi. Écoutes moi ! Jamais tu ne me décevras Alice ! Tu entends : jamais. Je tiens beaucoup trop à toi pour t'en vouloir ne serèce une infime fois.Puis il l'embrassa à pleine bouche.
Alice : je t'aime, toi et ton corps d'athlète... tu ne me diras toujours pas où l'on va et ni pendant combien de temps je suppose ?
Marquand : tu supposes très bien !
Alice : non mais Fred, même pas un petit indice ? S'il te plaît ?
Marquand : tu le verras en arrivant.
Alice : tu n'es même pas marrant. Je te boude.Marquand commença à l'embrasser dans le cou, Alice essayait de résister mais en vain. Elle l'attira vers son visage et l'embrassa langoureusement.
Marquand (tout sourire) : tu fais toujours autant la tête ?
Alice : c'est pas facile de te résister... et tu le sais bien.
Marquand : aller, viens. Allons trouver notre havre de paix.
Alice : je te suis.Les deux amoureux descendirent de l'avion pour s'engager à l'extérieur de l'aéroport. Ils prirent un taxi et partirent vers leur hôtel.
Une petite demi heure plus tard, ils étaient enfin arrives devant l'hôtel. Alice vu la destination de rêve et sauta dans les bras de son commandant.
Alice : mais tu es fou ! L'Italie !
Marquand : de toi ? Oui !
Alice : non mais sérieusement, comment tu as su ?
Marquand : tu as ce qui s'appelle un père Alice !
Alice : exacte mais même lui ne sais pas tout ça.
Marquand : en vrai, tu m'en avais déjà parlé une ou deux fois de tes fameuses destinations de rêves. Je n'avais plus qu'à me replonger dans mes souvenirs. Et entre nous, ce n'était pas vraiment compliqué vu que moi même je suis un italien.
Alice : tu es juste parfait mon amour. Et moi je l'aime plus que tout mon italien macho et bouguon !
Marquand : c'est juste que je t'aime et que je veux le meilleur pour toi Alice.
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Alice Nevers, les amants maudits
FanfictionSuite à l'arrestation d'Alice et Fred par le procureur Divo, nos deux amants vont passée de la joie à la haine..