First time

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⛔️ SCÈNE EXPLICITE⛔️ au cas où ça choquerais certains je vous avertis
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Je crois que je me suis endormie avant la fin du film parce qu'à mon réveil j'étais dans mon lit et ma chambre était inondée par la lumière. Je me suis levée et dirigée vers la cuisine en me souvenant que mon départ était vers 2h30 p.m. j'étais excitée, mais légèrement triste de partir loin de chez mon père, loin de notre complicité et surtout de ma meilleure amie, Caro. Mais bientôt j'allais avoir mon permis de conduire donc je m'achèterai une bonne voiture pas trop cher et je reviendrai le plus souvent possible. Je pensais encore quand je suis arrivée en haut dans la cuisine, Alexandre était assis à l'îlot et m'observait, un sourire aux lèvres.
-T'es dans lune Alex, me dit-il en riant, bon matin.
-Salut! Hem... c'est toi qui m'a mis dans mon lit ou j'ai été somnambule? demandais-je en riant moi aussi.
-Oui j'tai transporté dans ton lit j'étais tanné de t'entendre parler dans ton sommeil.
-Et qu'est-ce que je disais...?
-Est-ce que tu serais gênée par hasard? répondit-il amusé par ma réaction.
-Non..., mais je veux m'assurer que je n'ai pas dis trop de conneries.
Il se leva et s'avança vers moi en riant. Alexandre avait seulement un pantalon de pyjama donc je pouvais observer ses tatouages à ma guise. Il prit mon menton entre ses doigts et repris;
-Bien dormi, Aurore?
-Parce qu'en plus tu connais les films de princesse Disney?
-J'ai une cousine un peu collante qui adore la belle au bois dormant. Tu n'a pas répondu à ma question...
-Toi non plus jte signale.
-...... t'a raison......
-Dans tes dents! dis-je en riant.
Il éclate de rire et se rassoit. Je me dirigeais vers le garde manger et en sorti la boîte de Fruits Loops, comme d'habitude et lui demandant s'il avait faim.
-J'ai déjà manger, me répondît-il.
-Ça fait longtemps que t'es levé? demandais-je curieuse.
-Quarante minutes peut-être. J'ai pas vérifié l'heure tout de suite en me levant.
    Je regardai sur le four pour voir l'heure, 9h05. Je pris mon bol et une cuillère puis je me suis assise en tailleur sur la chaise à côté d'Alexandre. J'étais consciente qu'il m'observait, se qui me faisait rire. Le fait qu'il me fasse souvent des avances ne me dérangeait pas du tout. Il me fait rire parce qu'il me crouse, mais il est trop gêner pour me parler de ce qu'il ressent envers moi. Bon j'avoue que je suis pas mieux. Je me tire de mes pensées en pensant a la soirée d'hier et de ses "amis" les loups.
-Pourquoi l'autre bande de loup te suit comme ils ont fait hier?
    Il change d'expression aussitôt et se lève avec l'air à la fois frustré et perplexe.
-J'ai... hem... c'est une longue histoire.
-Ok, si tu v...
-J'ai pas envie d'en parler maintenant. me coupe-t-il aussitôt en pesant chacun de ses mots.
   Il disparut dans les escaliers. Bon j'avais touché une corde sensible. Je me sentais un peu coupable parce que je ne voulais pas le frustré ou le faire fâcher. Je fini mon bol de céréales et me dirigeais vers le sous-sol en espérant de tout mon cœur qu'Alexandre ne sois pas fâché de lui avoir parlé de la bande de loups. Je le vis assis à terre en avant du sofa-lit. Je m'approchai du sofa et lui parlai de cette distance pour commencer mais je me déplaçais tout au long de mon discours.
-Hem... je suis désolé de t'avoir parlé de ça. C'est pas grave si je sais pas, mais ma curiosité est plus forte que tout. Et puis je savais pas de quoi parler à part de ce que j'ai dit dans mon sommeil.
  Il rit. Je ne le voyais pas étant donné qu'il était assis avec les genoux repliés et la tête entre les genoux. Je me suis assise en tailleur à côté de lui et c'est à se moment là qu'il lève la tête et me regarde, les yeux rougis par les larmes...

Je ne savais pas quoi lui dire donc je mis une main dans son dos et lui sourit.
-Je vais m'habiller.
Je me dirigeais vers ma chambre quand il prit mon poignet et me retourna face à lui.
-Excuse moi. C'est pas facile pour moi d'en parler. Pis pour te dire la vérité sur eux, ils sont sauvages et sans pitié. Je suis désolé je voulais pas qu'ils s'en prennent à toi pis maintenant qu'ils savent qui t'es ça va être pire. Caïla est super jalouse et agit en crisse de folle. Je veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Pis jte promet qu'ils toucheront pas à un seul de tes cheveux sans avoir mal.
-Ça va aller, fait toi en pas pour moi.
Du bout du pouce j'essuyais une larme qui n'avait pas séchée puis je me hissait sur le bout des pieds et l'embrassait sur la joue. Je me tournais et m'enfermait dans ma chambre pour me changer, un jeans délavé taille basse avec un chandail à manches longues et col roulé noir. J'ouvris la porte et Alexandre sorti de la salle de bain au même moment, il s'y était changé. Je me dirigeais vers la salle de bain pour m'y brosser les cheveux. Il m'observait de l'embrasure de la porte. Lorsque je voulu sortir il me bloqua le chemin pour niaiser, comme d'habitude. Je me débattais, mais c'était sans succès, il était plus fort que moi. Il m'appuya contre le mur et me positionna les pieds entre les siens. Il posa ses mains de chaque côté de ma tête, s'approcha de mon cou et chuchota.
-T'es coincée maintenant, mais de toute façon tu ne peux pas te débattre avec moi.
-Tu pense que j'y arriverais pas? demandais-je sur le ton du défi.
-Essaye pour voir, me répondît-il en riant.
Je ris moi aussi. Puis il embrassa ma mâchoire et remonta sa tête pour me regarder dans les yeux. J'y voyais pleins d'envie et d'amour, il n'avait plus qu'une idée en tête. Je me mis sur la pointe des pieds, passa mes bras autour de son cou et l'embrassa à pleine bouche. Il me rendit mon baiser. Nos langues s'entremêlent et nos corps n'ayant plus qu'une seule envie. Alexandre me pris par les fesses pour que je m'agrippe à lui et enroule mes jambes autour de sa taille, nous dirigeant vers ma chambre. Il m'assit sur le lit et arrêta de m'embrasser. Il semblait perplexe.
-T'es sur de vouloir continuer? me demanda-t-il. Je sais que ta jamais rien fait avec un gars et je voudrais pas que tu me haïsses parce que je vais trop vite.
-Si il y a une chose qui me dérange en se moment, c'est que tu ne m'embrasses plus.
Un sourire s'étira sur ses lèvres avant qu'il recommence à m'embrasser. Il nous allongea sur mon lit, lui dessus, moi dessous. Je passais mes jambes autour de ses hanches et sentais son la bosse de son érection contre mon jeans. Ses mains baladeuses m'exploraient lentement jusqu'à ce qu'il passe mon chandail par dessus ma tête. Il massait tendrement mes seins sans enlever ma brassière. Il embrassa mon cou pour descendre jusqu'à mes seins. Il tenta de me débarrasser de mon soutien gorge, sans succès. J'étouffai un petit rire.
-Laisse moi faire ça va être plus vite, dis-je amusée par la situation.
-Parce qu'en plus tu te fout de ma gueule, répondît-il l'air faussement offusqué en glissant les mains dans mon dos jusqu'à mes hanches.
J'hochais la tête en dégrafant ma brassière d'un coup. Il m'observait faire tandis que je faisais lentement glisser ma brassière au dessus de ma tête. Il mit sa tête entre mes seins pour m'embrasser.
-Tu va me rendre fou!
Il aspira légèrement la peau de la base de mon seins droit entre ses lèvres. Je poussais un grognement de plaisir quand, après m'avoir fait le suçon, il aspira mon téton entre ses lèvres et le lécha. Il fit de même avec mon autre mamelon. Il se leva et retira son t-shirt et mon jeans, me laissant en bobettes à sa vue. Normalement je complexe un peu sur mes fesses et mes cuisses. Je me sentais un peu mal à l'aise, c'était la première fois que j'étais à la vue de quelqu'un en étant aussi dénuée, dans ses circonstances là en tout cas....
Il se plaça à genoux entre mes jambes et m'observait avec un sourire malin au lèvres.
-Quoi? demandais-je perplexe.
-Tu sais que t'es vraiment sexy?
Je gloussai et me mis à genoux moi aussi pour pouvoir l'embrasser. Je fis glisser mes mains le long de son torse jusqu'à la bosse de son jeans. Il poussa un grognement de plaisir contre ma bouche. Je me mis à caresser lentement son érection. Sa respiration se fit plus rapide au fur et à mesure de mes caresses. Je détachai son jean et le baissai le laissant à ma vue en boxer. Je recommençai mes caresses, mais un peu plus vite cette fois. Il écrasa ses lèvres sur les miennes et joua avec ma langue. Puis, soudainement, il pris mon poignet et se leva.
-Il y a du monde en haut, me dit-il.
Je me levais aussi, déçue, tandis qu'il finissait de s'habiller. Il reprit mon menton de la main et m'embrassa passionnément.
-L'occasion se représentera ma belle.
Il me fit un clin d'œil et parti en haut. Je me mis à sourire stupidement toute seule. Je m'arrangeai pour que j'ai l'air présentable. J'avais tellement aimé son contact. Je voulais recommencer. Même si ça me faisait peur de me rapprocher de quelqu'un comme ça. Tout ça me terrifiait..., je ne pouvais m'empêcher à se moment là de repenser à l'année de mes 10 ans. Avant mes dix ans j'avais toujours cru qu'Estelle avait du bon en elle et que même si elle ne m'aimais pas encore ça viendrait. Elle me gardait cette journée là. Son "ami", comme elle m'avait dit, était venu nous rejoindre à la maison. Papa avait du travail et n'était parti que pour deux heures. Je jouais dans ma chambre quand j'ai vu l'ami d'Estelle entrer dans ma chambre sans t-shirt, les pantalons détachés. Il m'a dit qu'il aimais bien jouer avec les enfants. Je lui ai répondu que je n'étais plus une enfant. Il m'avait frappé au visage et m'a pris sur son épaule. Il m'a lancé sur le lit et a commencé à me déshabiller, a se déshabiller lui aussi. Pas besoin de vous dire la suite, parce que mon père est arrivé pas longtemps après qu'il ai commencé à me pénétrer. Mon père l'a tellement frappé qu'il s'est ramassé à l'hôpital pour le mois d'après. Mon père a fait quatre mois de prison, l'homme en a fait dix. Pendant ce temps là j'ai vécu chez ma grand-mère, mais j'en ai voulu à Estelle de l'avoir laisser faire et d'avoir ignoré mes cris de peur. Pas besoin de vous dire aussi que j'ai perdu toute la confiance que j'avais en moi et tous les inconnus que j'ai rencontré. Mais avec Alexandre je n'ai pas peur.
Je montai à l'étage une fois que je fus satisfaite de mon look. En repensant à ce moment magique qu'Alexandre venait de me faire passer.

Ainsi va la vie (Alexis) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant