Chapitre 3

48 1 0
                                    

Je hausse des épaules et on entend crier :

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Je hausse des épaules et on entend crier :

- Jeune fille, je t'ai entendu, vient là ! hurle mon père.

- Ho merde, préparer ma tombe les gens, je vais mourir, gémis-je en marchant vers la direction de la voix.

Quand j'arrive devant mes parents et d'autre personne, je me retrouve dans la cuisine. Ils ont tous une tasse de café ou de thé en main. J'entends les garçons arrivaient derrière moi.

- Je vois que vous papotez, alors je vais vous laissez tranquille, déclarai-je en tournant les talons.

- Tu restes ici jeune fille, me dit ma mère. Il faut qu'on parle.

- J'aurai essayé, soupirai-je en me retournant. Honnêtement, vous n'en avez pas marre de devoir me faire la « leçon » tout le temps que je fais soi-disant une connerie ? Ce n'est pas de ma faute si j'attire les ennuis, si ?

- Ce n'est pas de ça, on a abandonné le fait de te gronder ou te punir pour chaque connerie que tu fais, car tu en fais trop pour pouvoir suivre le rythme, soupire mon père et je saute de joie. Mais ! Tu vas nous dire maintenant pourquoi tu n'as rien dit pour le bar.

Je me fige sur place.

Ho merde ! Je suis dans la mouise.

- Heu... Je ne vois pas de quoi vous parler, dis-je.

- Ne ment pas, on sait tout, dit ma mère sur un ton froid.

- Très bien, alors qu'est-ce que vous voulez faire ? m'écriai-je. Avouez que si je vous l'avais dit, vous m'auriez empêché d'y aller sous prétexte que ce n'est pas un endroit pour une fille, là où on peut toujours se faire violer à tout moment et se bourrer la gueule ! Alors oui, je fais peut-être ma petite rebelle comme tu dis papa, mais tu ne sais rien de ma vie, alors vous n'avez pas le droit de me reprocher d'aller dans ma vraie maison dont vous m'avez arraché à cause de votre putain de boulot de merde. C'était le seul endroit où je me sentais libre, alors vous fermez votre gueule. Les seuls qui me comprenaient dans cette famille de con, c'était grand-père et grand-mère de toute façon. Mais comme par hasard, vous m'interdisez de parler à grand-mère depuis la mort de grand-père.

- Lana, parle nous d'un autre ton, s'écrit mon père en se levant d'un bon.

- Parce que tu crois que tu me fais peur ? rétorquai-je. Vous n'êtes plus mes parents depuis longtemps. Depuis mes 13 ans, pour être exacte, depuis que vous avez commencé à plonger littéralement dans votre boulot. Alors nan, je vous obéis plus parce qu'il y en a ras le bol de vous et vos grands airs. Comment de fois j'ai dû vous protéger des gens qui vous en voulaient de les avoir fait couler, hein ? Des tonnes, alors vous n'avez pas le droit de vous la ramener. J'ai fait ce qui était juste en sauvant ce bébé et ce n'est pas vous qui allez me faire la leçon. Sur ce, je me casse. Ravi de vous avoir rencontré les autres personnes.

Je vais à la porte et sors.

Ils m'ont grave énervé. Depuis quand ils se mêlent de ma vie eux ? Ils n'ont jamais été là pour moi, alors pourquoi ils veulent savoir tout à coup ? Ils ont cas aller se faire foutre.

- Hey, Lana, attends, cri une voix derrière moi.

Je ne m'arrête pas et fait le contraire. J'accélère. Je suis trop énervée pour faire quoi que ce soit.

D'un coup, on m'attrape le poignet et je me retrouve sur un torse, des bras entourant mon corps. D'autres bras s'ajoutent et je me calme. J'ai toujours adorer les câlins et ça me calme très vite contrairement aux mots.

- Reste pas toute seule, viens t'amuser avec nous au parc, me sourit Louis.

Je leurs souris et accepte.


My Love  (One direction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant