Je suis donc anémiée. Reiji m'a annoncé ça, il y a maintenant 1 heure quand je me suis ''enfin'' réveillée, j'ai dormi, faisant 2 fois le tour du cadran. Mais je suis toujours aussi faible qu'avant.
Je ne dois sortir de ma chalbre sous aucun prétexte. Et aucun des vampires ne doit venir, sauf Reiji pour me donner les devoirs, et à manger. Ouais la bouffe il a failli l'oublier cet idiot !
Donc là je suis dans mon lit, à me reposer. Mais je n'ai envie que d'une chose: un bain. Shu ne peut pas venir alors je vais pouvoir me baigner tranquillement. Youpi ! Je me dépêche et profite de l'eau chaude sur mon petit corps fatigué.__________
Quand je reviens dans ma chambre, habillée et cheveux secs, je vois quelqu'un sur le lit.Moi: [regard mauvai] Raito sort de là. Vous n'avez pas le droit de venir je te rappelle.
Raito: Mais Bitch-chan. Je venais pour prendre de tes nouvelles.
Moi: Je vais bien, maintenant du balais !
Il me fait un sourire que je qualifierais de pervers, m'enfin il fait toujours le même. Je vais vers lui pour le faire sortir et il m'attrape le poignet et me tire en avant. Je tombe sur lui sans comprendre ce qu'il se passe. Raito en profite pour m'enfermer dans ses bras, réduisant à néant le peu de distance restante. Je ne peux plus bouger !
Moi: Lâche-moi !
Raito: J'ai envie de jouer un peu~
Sans crier gare, il bascule sur le côté, me mettant sous lui. Il prend mes poignets et les place de chaque côté de ma tête. Ses joues sont légèrement rosie. Beurk !!
Moi: Espèce de pervers ! Tu fais quoi là ?!
Raito: Moi ? Je vais te faire découvrir le plaisir.
Il plonge son visage dans mon cou, et souffle doucement sur ma peau. Un frisson me parcourt le dos. Puid Raito descends, posant des baisers sur ma peau. J'ai envie de vomir ! Je me débats mais il resserre la prise sur mes poignets, me faisant horriblement mal. Quand il se trouve au dessus de ma poitrine, il pose ses lèvres sur ma peau...Un suçon !!! Il me fait un suçon !
Moi: Dégage ! Laisse-moi !!
Il relève la tête et regarde son oeuvre. Il sourit de plus belle.
Raito: Je vais te montrer la preuvre que tu n'appartiens qu'à moi.
Moi: Écoute moi bien. J'appartiens à personne. Et encore moins à toi.
Raito: J'aime quand tu me tiens tête Bitch-chan.
Il recommence à me faire des suçons, un peu partout: sur le cou, au dessus de ma poitrine, mes poignets. J'ai envie de le tuer ! Je vais le tuer ! Soudain, il me lâche les poignets et commence à détacher les boutons de ma chemise !
Moi: N-Non !
Raito: Allons allons, tu vas voir tu vas aimé.
Moi: Jamais ! Je te jure je hurle, Reiji va te tuer !
Raito: [regard perçant] Tu ne crieras pas, purement et simplement parce-que je l'ai décidé.
Moi: ...
Je veux hurler, mais aucun son ne sort de ma bouche. Il a raison, je n'y arrive pas. Je suis...faible, face à lui...à eux. J'abandonne, j'arrête de lutter. À quoi ça sert de toute façon, quand votre destin est de vivre aux côtés de vampires comme eux ? L'énergie quitte mes bras, je tourne la tête sur le côté. J'entends Raito ''s'extasier'' sur mon corps, mais je m'en fous. Je veux juste arrêter de penser à ma situation...Les larmes coulent sur mes joues pendant que Raito fait ses baisers, balade ses mains, partout sauf sur ma poitrine. Il voulait que je craque ? Que je le prit de le faire ? Et bien non, je ne dis rien, je pleure silencieusement.
?: Salaud ! Dégage !!
Une main pousse Raito de sur moi. Il se cogne contre le mur. Ayato me prend et dis à son frère.
Ayato: Tu la touche encore une fois et je te tue.
Raito: Alalah, moi qui voulais seulement divertir Bitch-chan.
Ayato: La ferme!
Je n'ose pas regarder le vampire, je pleure encore. Ayato sort de la chambre, et me transporte dans le manoir. On arrive dans une chambre dans les tons rouges avec une dame de fer au sol. Ayato me dépose sur un petit lit au fonds de la pièce et s'assoit. J'ai un mouvement de recul, instinctif.
Ayato: Je vais rien te faire. Juste, ferme tes boutons.
Je regarde ma chemise, ah oui, on voit mon soutien-gorge... On voit mon soutien-gorge ?! Non !! Je referme vite tous mes boutons, avant de rouvrir le premier, je ne sais pourquoi, mais j'étouffe.
Ayato: Pourquoi t'as pas appelé ?
Moi: ...
Ayato: Répond.
Il s'était approché de moi, et me fixais de ses iris verts. Je mis un moment à répondre.
Moi: Je..Je pensais que vous vous en foutiez de ce qu'il pouvait me faire et..je n'arrivais pas...
Ayato: Hum...
Je le regarde, il pose sa main sur ma joue, et essuie mes larmes avec son pouce.
Ayato: [moqueur] T'as vraiment une sale tête quand tu pleures.
Moi: Toi aussi tu serais effrayant si tu venais de pleurer.
Ayato: Nop' de 1: j'ai pas pleuré depuis que ma mère m'a jeté dans le lac. De 2: j'ai jamais dis que t'étais effrayante.
Je le regarde et lui souris, malgré la tristesse sûrement présente. Puis je lui demande.
Moi: Tu as dis que ta mère t'avait jeté dans..le lac ?
Ayato: Ouais...
Moi: Tu peux me raconter ?
Ayato: Seulement si tu dors après.
J'suis pas une gamine !! Mais j'accepte et m'allonge. Ayato prend une petite bouffée d'air et commence.
Ayato: Notre mère, à moi, Raito et Kanato, s'appellait Cordélia. Elle était vraiment très stricte. Mes frères pouvaient jouer, mais moi je devais rester dans ma chambre à étudier. Elle était jalouse dela mère de Shu et Reiji, et se défoulait sur moi on va dire. Si je n'étais pas le meilleur dans tous les domaines, elle me jetait dans le lac, et je me noyais.
Cette femme devait être horrible...J'ai du mal à imaginer l'enfance des 6 frères, même si je n'en ai pas eu une des plus joyeuse... Ayato reste pensif, puis frappe dans ses mains.
Ayato: L'histoire est terminée, la suite au prochain épisode. Maintenant dors.
Il se lève et s'apprête à partir. J'attrape sa manche, et il se tourne vers moi.
Ayato: [sourire exaspéré]Oui Ikari ?
Moi: Merci.. De....m'avoir parlé.
Ayato: [sourit] De rien.
<><>
Cc ! Ça va ?
J'espère qu'il vous aura plu.
Sur ce: ❤
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Diabolik Lovers : Ikari ou le Destin Sanglant...
FanfictionIkari, jeune orpheline de 16 ans, se voit emmenée dans un manoir terrifiant pour y vivre. Elle va faire la rencontré de six frères aussi beaux que sadiques. Ce qu'elle ignore, ce qu'elle n'est pas là par hasard. Et son destin, n'est rien d'autre qu...