Chapitre 6

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Le grand jour est enfin arrivée. J'avais passée la semaine dernière à me préparer autant que ma valise. Déménager de chez ses parents n'est pas toujours évidant. La perte de nos repaire est surtout la principale raison de notre désarroi le plus total.

J'adorais entendre ma maman me réveiller le matin comme si j'étais une enfant, seulement jusqu'à maintenant je ne m'en étais jamais vraiment rendu-compte. C'est peut-être stupide mais le changement est pour moi et à l'heur actuel la pire chose qui puisse m'arriver. Lorsque je suis rentré pour la première fois dans cet appartement je l'ai trouvé très grand pour seulement 2 personnes. Il avait un magnifique salon-salle à manger très lumineux avec de grandes fenêtre et une cuisine ouverte qui donné sur ce celui-ci.

Un long couloir donné sur 3 chambres dont une suite parentale, c'est-à-dire une salle de bain et un dressing. Je dois avouer que ma première impression a été plutôt surprenante. Je n'avais qu'une envie c'était de faire demi-tour et de ne plus jamais revenir ici.

Pourtant, c'est vers cet endroit que j'ai tant redouté. Je sais que Ambroise m'attend déjà, il a emménager à l'appartement depuis déjà trois jours pour le rendre plus habitable avant mon arrivée. J'étais touché par cette gentille attention mais je pensais plutôt que Ambroise ne voulait pas rester trop longtemps dans sa tente.

L'immeuble n'était pas automatiser et il me fallut donc monter trois étage à pied avec ma valise, autant dire que je n'étais pas au mieux de ma forme lorsque j'ouvris la porte. J'ai souvent entendu dire que les garçons ne connaissait pas le romantisme, pourtant encore une fois je fus surprise de découvrir un repas « au chandelles » lors de mon arrivée.

Ambroise était entrain de cuisiné et ne m'avait pas entendu approché, je laissa ma valise à l'entré totalement aménager selon un goût certain. Je m'approcha de la cuisine et remarqua qu'il cuisinait des paupiettes de veau assortis de légumes. Il avait l'air tellement préoccupé par ces paupiettes que c'en étais touchant. Je le fixait quand il se retourne soudain et eu un mouvement de recul. Ce qui eu pour conséquence le le faire tomber, lui et son repas presque renverser.

Je ne pu m'empêcher de rire, car pour la première fois je voyais sur son visage autre chose que cette face inexpressive. Il se releva tranquillement mais il ne riez pas. Il reposa le plateau doucement sur la table de la salle à manger avant d'enlever son tablier et de se diriger vers la porte du couloir qui menait vers les chambres.

Je me sentais tellement mal d'avoir rigoler alors qu'il n'y avait a priori rien de très drôle.Lorsqu'il revint changer des pieds à la tête, je voulus m'excuser pour mon comportement déplacer mais le regard qu'il me lança me dissuada aussitôt.

Je du le vexer car nous mangions en silence et il avait repris son masque d'impersonnalité. Il ne parla pas me laissant me dépatouiller avec se silence plus que gênant. Il ne m'avait pas laisser l temps de ranger mes affaires et ma valise traîner encore dans l'entrée.

A la fin du repas je commença à m'installer dans se qui devrait être notre futur chambre. Les vêtements d'Ambroise occupé la moitié du dressing et l'autre devait donc m'appartenir. Il avait principalement des vêtement récupérer à droite à gauche mais la plupart n'était pas à sa taille. Mon côté fut très vite remplit, vu le peu d'affaire qui m'accompagnait.

Je retourna au salon et découvrit un jeu d'échec posé en évidence sur la table du salon. Je m'approcha et une voix me fit sursauter comme une petite-fille prise en flagrant délit :

-Tu sais y jouer ?

Je me retourna pour le fixer et lui dit :

-Bien entendu

Il me sourit et m'invita d'une main à m'asseoir face au jeux et fit de même. Une fois assis, il me dit :

-Et si on pimenter un peu plus cette partie d'échec ?

- ça dépend par ce que tu entends par là, rien de salace au moins ?

Il partit dans un éclat de rire, ce qui est rare chez lui mais continue tout de même :

- Si on se donner des paries, par exemple si je gagne la partie j'ai le droit de te demander de faire toute les tâche ménagère. Seulement chaque participant à le droit de donner le parie qu'il veut. C'est ok ?

Au début surprise je répondit à l'affirmative et eu l'honneur de choisir en premier :

- Si je gagne j'ai le droit de faire chambre à part pendant une semaine.

Ambroise acquiesça et poursuivit :

- Si je gagne je demande de te tenir contre moi ce soir ainsi que les soirs suivant pendant une semaine.


La partie d'échec commença en m'a faveur mais très vite Ambroise prit le dessus et mena jusqu'à qu'il gagne haut la main. Face à cette cuisante défaite je n'eus d'autre choix que de m'avouer vaincu et d'accorder au guerrier triomphant son du. On ne se coucha pas de suite ce qui me permit de me raser en douce dans la salle de bain et de choisir ma plus belle chemise de nuit. Malgré les apparences je commençais à bien apprécier Ambroise. Derrière ses regards froid il y avait un cœur en or.

Le soir venu, je me coucha la première,certainement pour me préparer psychologiquement mais aussi parce que cette journée avait été l'une des plus difficile pour moi et m'avait plus qu'épuisée. Lorsque Ambroise entra antre les couvertures, une peur incongru ainsi qu'une excitation intense m'envahie. J'étais comme partagé entre ses deux sentiments qui m'animés.

Il se rapprocha tout doucement puis glissa tout contre mon corps. Je me sentais si bien entre ses brasque j'en fus la première choqué. La chaleur qui émanait de son corps d'athlète me donnait des palpitation. Le sommeil ne tarda pas à venir à ma rencontre se qui ne me laissa pas profiter plus longtemps de sa présence à mes côté.

Il était une HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant