POV Avril
Les secousses liées à la route difficilement praticable avait eu raison de mon postérieur rebondi. J'avais mal partout de la racine de mes cheveux jusqu'à la pointe de mes pieds. Depuis quelques jours, nous étions partie en chemin vers la fameuse banque qui soit disant retiendrait les informations essentiels à notre victoire. J'avais convaincu les autres de me suivre mais je me rendis bien compte qu'il n'est pas aisé d'être un chef. Il y a tant de responsabilité. Parfois, cela m'effrayait mais avec Ambroise à mes côtés j'étais prête à aller n' importe où.
Notre prisonnier ne c'est guère montré plus loquasse depuis notre entrevu mais j'espère sincèrement que les preuves existent, elles nous permettront de confondre en justice ces scélérats qui voulaient tant le pouvoir. Cependant, le pouvoir se mérite et se gagne par le respect des autres.
Les heures de routes depuis notre départ étaient comme interminables. J'étais épuisé mais si je me relâché alors les personnes qui m'accompagnent maintenant n'auraient plus de raison de garder espoir. C'est bien malheureusement la seule chose qui nous reste. Le temps est froid se qui rend notre parcours encore plus difficile. Mais l'objectif était proche, nous étions plus très loin.
La banque était déserte, le bâtiment semblait figé dans le temps. Son apparence tranquille me terrifiait. Que pouvait bien garder comme secret cette maison d'épouvante. Nous passions dans le hall d'entrée, l'ambiance était digne d'un film d'horreur. L'odeur me donnait mal à la tête mais je continuais d'avancer derrière Ambroise. Nous contournions le comptoir d'accueil afin d'arriver devant la chambre des coffres. Ambroise se tourna vers Léopold et lui demanda :
- Alors, lequel est celui qui contient les preuves.
Ce dernier le regarda avec arrogance comme si c'était encore lui qui tenait les rênes de la situation. Cela semblait irriter Ambroise mais je plaçais une main sur son avant bras afin de le calmer. Léopold pris la parole et dit :
- Tu me prends pour un idiot, je sais qu'une fois que je vous aurez dit où se trouve les documents je serais un homme mort. Alors je vais vous laisser les chercher pendant que je prends de l'avance. Je ne tiens pas à rester dans les parages une fois que le conseil comprendra que je les ais trahis.
- Alors que proposes-tu exactement ?
Léopold semblais réfléchir sérieusement à la question toujours un sourire hautain au lèvre. Quel être perfide. Et il annonça :
- Je veux que vous me libériez et une fois que je serais en sécurité à l'extérieur du bâtiment, je vous donnerais l'emplacement exact du coffre avec la combinaison.
Ambroise s'énerva pour de bon, il prit à la gorge Léopold et le plaqua contre le mur le plus proche. Il fallut que nos compagnons de voyage le repousser pour arriver à bout de la violence d'Ambroise. Lui qui était avant si impassible semblait maintenant montrer toute ses émotions sans aucune retenu.
Léopold était à présent au sol et ricana comme un conquérant alors qu'il était encore attaché comme un animal. Son ricanement me donna des frissons, l'ambiance étant déjà assez sinistre sans qu'il est besoin d'en rajouter. Je me retourna quelques instant afin de rassembler mes esprits et de reprendre le contrôle mais l'agitation derrière moi me fait me tourner et la scène sous mes yeux me prit de cours.
Léopold tentait d'étouffer Xavier, un de nos compagnons de voyage. Léopold se tenait derrière Xavier, de telle sorte qu'il nous était impossible de l'aider sans mettre en danger sa vie. Léopold nous demandait :
- Lâchais vos armes, maintenant.
Ambroise eu du mal a faire se qu'il dit mais il finit par se résigner et obéit. Une fois les armes au sol, Léopold donna de nouvelles directives :
- Bien, je vais partir le premier, je vais garder cette personne avec moi comme otage, si vous tentez de nous suivre je l'abattrais de suite.
Léopold recula vers la sortie, doucement Ambroise le suivi. Il ne perdait pas une miette des mouvements de Léopold. Je remarquai qu'Ambroise avait un autre pistoler caché derrière son dos. Lorsque Léopold arriva à l'emplacement ou nous avions laissé les chevaux, tous se passa très vite. Léopold laisser partir tous les chevaux sauf un qu'il se gardait pour s'enfuir. Il poussa Xavier sur le côté et se dépêcha de monter à cheval avant que nous puissions retourner récupérer nos armes dans la banque. Avant qu'il eu le temps de partir, Ambroise tira avec sa deuxième arme. Léopold s'écroula mort au sol, une balle dans la tête, simple mais précis.
J'allai rejoindre Ambroise afin de l'enlacer. Le cauchemar était fini.
Cependant, un nouveau venait de commencer. Les preuves pour faire condamner les membres du conseil était perdu. Je fondu en larmes dans les bras d'Ambroise qui essaya de me réconfortait comme il pouvait mais lui-même était en état de choque.
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Il était une Histoire
Science FictionDans un futur pas si lointain, le monde a sombré dans le chaos. Pour garantir une nouvelle vie, la communauté dans laquelle vie April à fait le choix de mariée tous les jeunes âgés entre 18 ans et 21 ans. C'est alors que April fait la connaissance d...