POV Ambroise
Le réfectoire était bondé de monde comme d'habitude. Je soutenais comme je pouvais Avril qui semblait si faible. Je me sentais tellement désemparer lorsque je la regardais.Je n'avais rien pu faire pour lui éviter toute ses souffrances.J'étais également tellement triste que parfois je la laissais s'exprimer avec quelques larmes que je ne pouvais retenir. Ses derniers jours m'ont parut interminable. C'est peut être ridicule mais cet enfant que je ne connaissait pas, que j'avais jamais vu je l'ai pourtant aimé. Cette perte m'ait d'autant plus insupportable qu'elle aurait pu être éviter. Je n'ai pas su protéger les personnes qui me sont cher. Pourtant, cette communauté me suit aveuglément. Elle a placé tout ses espoirs en moi et parfois je doute d'être à la hauteur de leur espérance. Est-ce-que Napoléon doutais lui aussi lorsqu'il parti à la conquête de l'Europe ?
Je choisis de nous installé à côté de Nora, la grand-mère de Suzanne, pour que Avril ne se sente pas mal à l'aise étant donnée qu'elles se sont déjà parlé. J'espère que son premier jour parmi nous se passe du mieux possible.Il faut dire que lors de ma recherche d'Avril, je ne pensais pas découvrir une telle communauté. C'est Nora que j'ai rencontré en premier, elle cueillait des plantes sur le bord du chemin en compagnie de Suzanne. Le conseil des anciens m'avait affirmé que la région était déserte pourtant lorsque je vis Nora je su au fond de moi que quelques choses n'allait pas. Alors quand Nora me montra le camp ou elle est des millier d'autre personnes étaient entassée je compris que tous ce que nous avaient raconté le conseil des anciens n'était que mensonge. Je m'étais senti tellement stupide d'avoir cru en leur parole à cette époque. Je mis fin à mes sombres pensées pour entamer une conversation avec Nora mais un coup de feu inattendu se fit entendre. J'étais rassurée de savoir Avril a côté de moi plutôt que dans la nature on ne sait où pourtant lorsque je me retourna pour la voir, sa place était vide.
La panique s'empara de moi. Ma femme était partie et un psychopathe venait de tiré. Je partie en direction du coup de feu et comprit sa provenance. Ma femme venait de quitté le réfectoire pour se confronté à un dangereux meurtrier qui avait bien faillie la tué il n'y a pas quelques jours. Je n'aurai pas du la laissée seule.
Si j'avais mieux veiller sur elle je serais où elle est exactement. Cette incertitude me rend malade. La peur qui me vrillait le ventre se transforma en terreur lorsque pendant ma course vers le centre de détention je vis ma femme tombait dans les bras de Suzanne. Lorsque je fus à leur contact je ne mis pas longtemps pour crier sur les gardes qui semblait aussi surpris que moi de mon excès de colère. Pourtant, ma femme n'avait aucune blessure apparente. Je la fis conduire immédiatement auprès de Nora en espérant qu'elle s'en sortirait, que ce n'était que le contre coup d'un choc émotionnel. Mais Avril, que je tenais dans mes bras, venait d'ouvrir les yeux. Elle se redressa avec maladresse mais me fit face. J'étais étonnée de voir sans ses yeux tant de détermination.
Alors que tout le monde autour de nous s'était tue, elle sembla soulagé. Avant que je n'ai pu demandé la moindre explication, elle me prit la main et partie en direction de notre tente. Je dis au personne présente de vérifier l'état de Léopold et demanda à se que nous ne soyons pas déranger.
Une fois arrivé dans la tente, je ne pu retenir plus longtemps ma curiosité. Et lui demanda d'une façon un peu inquiète :
« Que c'est-il passée ? Tu vas bien ? Tu n'imagines pas la frayeur que je viens d'avoir à cause de toi ? A quoi pensais-tu bon sang ? »
Elle parut hésiter mais me répondit tout de même :
« Je suis désolée, je ne pensais pas à mal. Je voulais juste comprendre pourquoi nous en étions arrivé là. Je me suis dit que il fallait mieux que je l'affronte maintenant sinon je n'aurai pas pu vivre autrement que dans la peur qu'un jour il viennent s'en prendre de nouveau à moi. Je n'ai pas réfléchis, je m'excuse. »
La colère que j' éprouvé commença à disparaître, je comprenais pour quoi elle l'avait fait mais je ne pouvais pas m'empêcher de m'inquiéter pour elle. Je voulais m'excuser à mon tour mais elle me coupa la parole et dit :
« Cependant, je pense avoir trouvé les preuves dont nous avons besoin pour condamner le conseil. »
Surpris je n'eus pas le temps de rajouter quoi que ce soit qu'elle reprenait :
« J'ai menacé Leopold et alors qu'il se pensait mort ou bientôt l'être, il m'a avoué qu'il avait rangé toute ses pièces à convictions dans une banque, un coffre fort plus précisément.
Je te laisse deux option soit tu m'accompagne pour aller les récupérer, soit tu reste ici pour surveiller le prisonnier, à toi de choisir. Me fais-tu assez confiance pour me suivre ? »
VOUS LISEZ
Il était une Histoire
Science FictionDans un futur pas si lointain, le monde a sombré dans le chaos. Pour garantir une nouvelle vie, la communauté dans laquelle vie April à fait le choix de mariée tous les jeunes âgés entre 18 ans et 21 ans. C'est alors que April fait la connaissance d...