Il était une Histoire

Chapitre 19

POV Avril

Le vent soufflait de plus en plus fort. Nous avons trouvé refuge au sein de la banque. Nous n'avions plus de chevaux afin de rejoindre notre campement. Il ne nous rester plus qu'à attendre que les autres remarque notre absence prolongée et viennent nous chercher. En attendant, on ne pouvait que visiter les lieux. Je suivais Ambroise dans sa quête de réponse. Il était persuadé que Léopold ne nous avait pas conduis ici par hasard et que les preuves étaient encore là. On choisit de rester groupé dans notre exploration des lieux. Le rez-de-chaussée contenait la chambre forte ainsi que les bureaux de certains employés. On commença par les bureaux des employés car plus facile d'accès mais sans grande surprise à l'exception d'une bouteille de whisky cachais dans un tiroir nous n'avions rien trouvé d'intéressant. C'est alors que nous nous sommes redirigé vers la chambre forte. La porte en acier était légèrement entrouverte, ce qui indiquait que la pièce avait surement reçu des visiteurs non désiré. Ambroise rentra en premier, suivit de prés par Xavier. La salle semblait immense, telle un labyrinthe. J'étais époustouflé de voir toute ses petites cases au mur qui contenait des choses inestimables pour que leur propriétaire choisisse de les placer ici. Certaines cases avait été fouillé d'autre était encore intacte figé comme dans l'attente que leur propriétaire viennent les chercher. Je m'avançais dans cet immense couloir sans trop savoir pourquoi comme si j'étais hypnotisée. Le silence était pesant. Je regardais partout à la recherche d'un indice qui me permettrait de savoir lequel de ses petits coffres détenaient les informations que nous recherchons. Mais c'était peine perdu. C'était comme cherchais une aiguille dans une botte de foin. A l'évidence nous avions perdu notre seule moyen de libérer notre communauté de ses charlatans.

Ambroise commençait ses recherches sur les coffres à côtés de lui. Sans grande conviction, moi ainsi que Xavier et David, nous suivons le mouvement. C'est à cela que l'on reconnait un vrai chef, on le suit aveuglément. Après environ une voir deux heures, j'étais épuisé, forcé des coffres n'est pas facile. Cela demande beaucoup de force physique et après la chevauché et les événements de la journée je ne souhaitais qu'une chose allait me reposer. J'avais une envie présente alors je laissais mes coéquipiers continués. Je partais à la recherche de toilette mais les conditions de propreté me mettant mal à l'aise je préférais en cherchait d'autre. Cela m'amena au premier et seule étage de la banque. Tout en essayant de me convaincre que ma situation n'était pas digne d'un film d'horreur je perçus un élément nouveau auquel je n'avais pas encore pensait, le bureau du directeur. Tout le monde sait que les directeurs de banque ont toujours des coffres secrets au sein de leur bureau. Mon envie passée, ma curiosité repris le dessus.

J'entrai avec précaution dans le bureau. Il était immense, une partie du mur était recouverte d'une bibliothèque magnifique. En face de la fenêtre se trouvais un bureau digne d'un ministre. La décoration qui orné les pieds du bureau était faite main et m'émerveillais. Le sol était recouvert de papier. J'en pris un au hasard et compris qu'il s'agissait sûrement des archives conservé par le directeur en personne. Je m'assoyais et continua mes recherches avec les éléments que j'avais sous les yeux. Sans m'en rendre compte à force de suivre les feuilles au sol je me retrouvais devant l'immense bibliothèque. Etant au sol, je remarquais une petite différence de dénivelée entre les livres. En effet, l'un d'entre eux sortait du lot. De part sa couleur dans un premier temps puis de part sa forme légèrement différente visible uniquement lorsque nous ne somme pas de face. Pensant avoir découvert une pièce secrète, je me précipitais dessus. Lorsque je l'ouvris quel fut pas ma surprise de ne découvrit qu'un livre avec un trou dedans. Comme ceux que l'on voit dans les films lorsque les prisonniers souhaitent dissimulaient certains objets.

A l'intérieur de se trouvait une petite clé en argent. Elle avait un motif au bout qui me rappeler étrangement quelques choses. Sans réfléchir plus longtemps j'allais chercher Ambroise et les autres afin de leur faire part de ma découverte. Je courus presque dans les escaliers et aux pieds de ces derniers Ambroise m'attendait. Son expression me fait comprendre qu'il a trouvait quelques choses d'important. Il me dit alors :

- Avril, nous avons trouvé quelques choses d'intéressant. Il semblerait que le directeur avait mis à part quelques coffres dans une pièce secrète. Nous venons à l'instant de la découvrir. Nous avons essayé de l'ouvrir mais malheureusement il nous manque la clé. Mais ne tant fait pas nous sommes à sa recherche.

Tous en me parlant, Ambroise m'amenait devant l'a dite pièce. Il s'agissait d'un coffre factice, de l'extérieur on aurait un coffre ordinaire mais une fois ouvert seule une serrure apparaissait.

C'est alors que la clé que je venais de trouver me revenais en mémoire alors je m'approchais du coffre et mis la clé dans la serrure. Cette dernière rentra pile poil et tourna. Une petite trappe s'ouvrait dans le mur opposé avec un petit bruit d'émerveillement de la part d'Ambroise se qui complimentais un peu ma fierté. Ambroise se tourna vers moi et me demandais :

- Comment l'as-tu trouvé ?

C'est alors que je leur racontai ma petite aventure à l'étage. Ensuite, c'est ensemble que nous partions vers la pièce secrète. Cette dernière était étroite et sombre. Seuls quelques coffres y était entreposé. En moins de temps qu'il fallait pour le dire Ambroise entreprit avec l'aide de nos camarades de forcé les coffres. Ce n'est qu'à l'avant derniers que nous tombions sur les documents qui mettaient en avant toute les malversations du conseil de la nouvelle Paris. Nous étions enfin en position de force. Et maintenant, une fois avoir rejoins notre communauté, rien ne pourrait plus nous arrêter.

Au moment de sortir de la remise secrète, on entendait du bruit dans le hall d'accueil. Plusieurs bruits de pas se font entendre. La peur me prit à la gorge et je m'accrochais désespérément au bras d'Ambroise dans l'attente d'une réaction de sa part.