Chapitre 15

190 7 1
                                    

POV avril

J'avais mal à la tête, le tournis et puis cette horrible envie de vomir qui me serrait la gorge. Ou étais-je ? Je sentis la douceur d'une couverture qui m'entourait mais surtout j'étais dans lit. C' est alors que tout me revint en mémoire, le kidnapping, l'altercation entre Ambroise et Léopold mais surtout le coup de feu qui était partie,la terreur qui m'avait fait sombré dans les abîmes, tout me revinrent en mémoire. Je me réveilla en criant mais une main me retenu et me recoucha. J'avais encore du mal à distingué précisément ses traits mais surtout ce qui m'interpella c'est la douleur qui me coupa le souffle.

C'était le visage d'une jeune fille,elle était tellement jeune et pourtant elle me tendit un bol d'où s'échapper de la fumé. Par politesse je pris le bol mais la couleur du breuvage laissais à désirer. Je ne la connaissais pas mais pourtant sa gentillesse m'allait droit au cœur.

Du bruit se faisait entendre à l'extérieur de la tente dans laquelle je me trouvais. J'étais quelques peu inquiète alors je demanda à la jeune fille.

« Où suis-je ? Que se passe-t-il ? C'est quoi se pansement que j'ai sur le vente ?»


La petite fille paru surprise puis sans crier gare et partie en courant vers la sortie. Je n'avais pas la force nécessaire pour me lever ou même pour espérer la rattraper.Une douleur aigu me saisi au niveau de mon ventre. J'eu très peur,mon bébé, que ce passait-il ?

Une personne rentra dans la tente. Une femme plus âgé que moi. Elle s'approcha doucement et me dit :

« Pas de panique, je suis Eve, la guérisseuse, je vais prendre soin de toi à partir de maintenant. Ne te fatigue pas trop pour aujourd'hui. »


Je pris le dessus sur la surprise et lui demanda :

« Pourquoi m'avoir amené ici ? Ou suis-je ? Où se trouve mon mari ? Que met-il arrivé ? »


Mes questions parurent la gênés mais elle répondit tout de même :

« Votre mari est ici également.Il va bien mais des affaires le tiennent éloigné de vous pour quelques heures seulement. D'ailleurs il ne devra plus tarder. Il est rester à votre chevée tout les jours dans l'espoir d'être présent lorsque vous vous serez réveillée. »


Elle s'arrêta de parlait et n'osa même pas me regardait dans les yeux. Il n'en fallait pas plus pour que je comprenne. Alors je lui demanda :

« C'est mon bébé n'est-ce pas ?Je l'ai perdu ? »


Elle se retourna et me fit face, ses yeux était emplis de larmes. Elle me dit alors :

« La balle c'est logé trop profondément. Elle n'a pas touché votre bébé mais le choc  vous à fait faire une fausse couche. Je suis sincèrement désolée. » Puis elle me laissa seule avec cette vérité.

Je me sentais tellement mal, cette petite vie qui ne verrait jamais le jour à cause de mon incapacité à faire les choses comme il faut. Tout est de ma faute.


« Non, tu te trompes, c'est de la mienne »


Je me retourna et je vis Ambroise dans l'embrasure de la tente. Il était là debout en vie et visiblement en bonne santé. Je me remit à pleurer. J'avais eu tellement peur de le perdre. Tellement bien que le voir me prendre dans ses bras raviva les anciens souvenir douloureux. Son odeur m'avait tellement manqué,la douceur de ses mains lorsqu'il me touché le visage mais aussi le son de sa voix qui se voulait réconfortante. J'avais l'impression que l'on m'avait pris une part de moi mais sans savoir si un jour cette douleur passerait. C'est alors que je lui demanda après avoir fini de pleurer sur son épaule :

« Qu'est advenue de Léopold ? Est-il mort ? »

Ambroise me regarda attentivement et d'un air qui me fit redouter le pire.

« Il est en vie mais il refuse de nous dire quoi que se soit. Si nous n'obtenons pas son témoignage nous ne pourrons pas rentrer chez nous. »

« Que veux-tu dires par là »dis-je affolé


Il se reprit et me dit :

« Les choses ont bien changée depuis quelques temps. A dire vrai, nous n'avons plus de « chez nous ». On m'a interdit de te porter secours, et en voulant faire se qui me semblait juste. De ce fait nous sommes interdit de séjour dans la capital »


La nouvelle me prit de cours. Nous ne savions pas de quoi demain serait fait comme à l'époque de la guerre. Mon cœur battit la chamade. Nous avions tous perdu. Ambroise me secoua légèrement et me ramena à la réalité. Ses yeux exprimée un tel désarroi, je ne pouvais pas me permettre de le laissé tombé alors que c'est maintenant qu'il a le plus besoin de moi. Je mis de côté ma tristesse et je me concentra sur le reste des nouvelles.


« Je rentrai des personnes lorsque je traquai Léopold. Elles m'ont révélé qu'elle avait été interdite de rentrer dans la capitale car selon le conseil des anciens ils seraient une menace sanitaire pour la communauté. Il étaient livré à eux même mais ils ont accepté de me suivre jusqu'à toi. C'est la guérisseuse de cette communauté qui a veiller sur toi. Je pense qu'il se passe quelques choses de pas très net dans cet histoire et j'espère qu'avec ton aide nous arriverons à y voir plus clair. Acceptes-tu de venir avec moi dans cette quête ? »


Ces révélations eu l'effet d'une bombe dans mon esprit, aurions-nous été manipulé par le conseille des anciens a des fin purement égoïste. Ma tristesse se transforma en colère, je voulais des réponses. Sa demande n'était pas anodine, d'une certaine façon, il me demandait de le suivre et de lui faire confiance. Alors sans hésiter, je lui répondit :


« On commence par quoi ? »




Il était une HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant