Chapitre 11

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Pdv Nicholas :

Une tasse de café à la main, j'attend patiemment qu'elle sorte de la salle de bain pour me rejoindre dans le salon.
Nous devons avoir cette discussion, sans quoi je risque de lui sauter dessus avant la fin de la semaine avec ou sans son consentement. Bon peut être pas sans son consentement mais vous m'avez compris.

- Donc tu as envie de moi ?

Sa voix bien trop aguicheuse pour être naturel me fais relever la tête vers elle, et je remarque que son ton n'étais pas prévus à la teinte rosé qui vient coloré ses joues.

- oui, soufflai je, la voix étouffé par l'émotion que me procure ses yeux.

- et donc ? On fait quoi ?
Sa question me déstabilisât, elle n'affirme pas avoir envie de moi en retour, sans quoi la réponse aurais été des plus classique.
- toi, tu as envie de moi ? Demandai- je incertain
- oui
Sa réponse annonça d'ores et déjà le commencement d'une toute nouvelle forme de relation entre elle et moi, car maintenant que je sais qu'elle a autant envie de moi que moi d'elle, je ne suis pas près de la lâcher ...
Je ne peux deja plus lâcher ses lèvres des yeux.
- Mais...
Et avant qu'elle n'est pu énoncer toute les raisons qui nous prouvais que ce baiser, et tout ce que je prévois de lui faire, était mal, je me jette sur ses lèvres comme un désespéré, dans l'espoir de combler quelque chose que j'ignore. Et lorsque le baiser pris fin, dû au manque de souffle, je compris que cet espace à comblé, était parfaitement satisfait de la sensation de ses lèvres, puisque une sensation de vide grandissait en moi au fur et à mesure que nos corps s'éloignaient.
- mais...
et comme pour lui faire comprendre que la suite ne m'intéressait pas le moins du monde, je l'embrassa une seconde fois, avec plus d'ardeur, dans espoir de faire taire toutes ces raisons qui expliquaient  pourquoi elle ne pourrait jamais être mienne. Au fond je refusais surtout l'idée que quelque chose d'aussi bon puisse être interdit par une raison si banal. Jamais au grand jamais je ne m'étais interdit une femme pour qui que ce soit et ce n'allait certainement pas commencer aujourd'hui et encore moins avec elle. Je la laissa reprendre son souffle une minute et en profitai pour descendre mes mains, qui étaient préalablement sur son visage et sur sa gorge, sur sa taille et ses hanches pour la faire reculer en douceur contre le mur.
Son  souffle dans ma gorge, c'est main dans mes cheveux, son bassin pressé contre le miens. Nous nous désirions. Il n'y avait qu'une envie de sexe et la tension dans l'air s'en faisait ressentir.
Mon visage se rapproche de son cou dans le but d'y goûter, alors qu'elle me cede l'accès de façon presque suppliante, une clef entre dans la serrure, tourne, et la porte s'ouvre. Nous ne voyons pas le visiteur surprise mais quelque pas de sa part nous laisserais à découvert dans une position des plus gênante si je m'y réfère à la couleur des joues de mon fantasme.

Let us flyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant