Pdv Emily :
Ok, on ne panique pas. Ce n'est rien qu'un baiser. Un baiser qui a juste légèrement dérapé... mais rien d'irréparable. C'est vrai, nous n'avons rien fait d'autre que nous embrasser, longtemps... avec beaucoup de passion .... et beaucoup de désir... et je panique. Il est de l'autre côté de la porte. Je suis dans la salle de bain et il est dans la chambre, ma chambre. Et je suis sensé me doucher mais mon esprit est bien trop occupé à ressasser notre baiser pour songer à me savonner le corps, ou alors je n'est juste pas envie d'effacer les traces de son touché.
Sa langue se faufile dans ma bouche pour entamer une danse digne des anges.
Alors que notre baiser devient plus passionnelle, sa main sur ma taille vint me soulever pour me placer un dessus de lui, son autre main vint s'enrouler autour de mes cheveux et j'entreprend la même manœuvre en tirant légèrement sur ses cheveux bruns, lui soutirant une gémissement.
Son corps vint se coller au mien en se redressant jusqu'à m'allonger sur le dos, lui me recouvrant de toute sa taille, m'enfonçant dans le matelas, alors que ses mains se feuille partout sur mon corps, si bien que je ne saurais dire leurs positions en temps réel, sa bouche quitta la mienne, m'arrachant un gémissement de contrariété, et longea ma mâchoire poursuivant le chemin jusqu'à mon coup. L'humidité de sa langue vient contrasté avec la fièvre qui m'a éprise. Apres une minutes de torture un grognement satisfait s'échappa de ces lèvres. Son front s'appuya au mien et ma conscience retrouva sa place et décréta qu'il était tant de prendre un peu de distance avant de perdre toute maîtrise de moi.La porte de ma chambre claqua et me ramena à la réalité. J'attrapa mon gel douche à la mangue et entrepris de finir cette douche avant d'épuiser le stock d'eau chaude.
Une fois rincer, je tend la main pour attraper ma serviette et l'enrouler autour de mes épaules. Jette un dernier regard au miroir embuer et ouvrit la porte de ma chambre.
Sauf que il est là. Et que je me suis pas trompé de chambre.
- je me disais que tu sortirais peut être plus vite si tu pensais que j'étais sortie.
Face à mon silence il repris avec cette phrase qui inquiète tout le monde :
- Faut que on parle
- de quoi veut-tu parler ? Demandai-je d'un ton désintéresser comme si le plus beau baisé de toute ma vie n'avait jamais eu lieu
- et bien pour commencer je pense que tu devrais t'habillé... ensuite nous parlerons du fait que j'ai une envie irrépressible de toi.
Le sang me monte au joue tandis que je m'empresse d'attraper des sous-vêtements sous le nez du pilote. Ainsi que la robe qui traîne que ma chaise de bureau, vous savez, cette chaise qui ne vous sert à tout sauf à vous asseoir.., je rejoins la salle de bain, enfile rapidement ma tenu et rejoins Nicholas car c'est vrai, il faut qu'on parle.
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Let us fly
Teen FictionL'avion venait de décoller, je me retrouvais maintenant dans l'impossibilité de faire demi-tour. *** Tête en l'air comme je suis j'avais fait mes bagages et réservé un billet d'avion bien avant de me souvenir de ma peur bleu pour ces engins volants...