Tes baisers deviennent le plus pur des poisons sur Terre et je me laisse emporter par cet amour insensé, et je te laisse m'aimer comme je crois le mériter. Tu m'enlaces et fais surface, je respire et encore une fois je me noie, je me noie pour toi. Tu es l'oxygène dont on vient à manquer et je commence à suffoquer sous tes caresses enflammées. Je suis dépendante de ta liberté, je suis la prisonnière de ton image, tu es celui que je désir aimer.
Nos corps unis forment le dessin d'un avenir incertain, les murmures pleins de sensualité ne me promettent pas d'être celle qui t'es destinée. Je m'accroche à nos baisers, m'accroche à tes mots même si ce n'est pas la vérité. Brûlée, brûlée par celui que j'ai toujours aimé. Blessée, blessée par celle que je suis, celle que je t'ai laissé mouler. Je me suis perdue à force de t'aimer et tu es resté celui qui sait son destin déterminé. Pourquoi ne m'as-tu pas dis que je n'en faisais pas partie, pourquoi ne me l'as-tu pas dis ? Car l'illusion commence à se dissiper et des larmes viennent peindre mes iris autrefois aveuglés.
Caresse ma peau une dernière fois, laisse-moi contempler ta beauté car je ne suis pas encore prête à te quitter. Pitié laisse-moi t'aimer mais je te vois t'éloigner. Pitié je me suis oubliée, oh, je t'en prie rend moi mon identité. Pitié ne me laisse pas m'isolée, pitié j'ai voulu m'oublier en t'aimant jusqu'à l'insanité.
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Écrits bruyants
AcakÇa te prends le corps et torture l'esprit, ça veut pas sortir alors t'écris. Si t'es comme ça, c'est moi aussi. [Chaque partie est indépendante]
