Bienvenue chez L.W. Company

Prélude

PRÉLUDE

Personne ne peut savoir ce qui se passe dans les pensées indécentes de Laurin Watson. Cette femme pourtant si belle et si élégante, cache un profond désir de suicide. Se lever seule le matin, avec une bague à 7 chiffres sur son annulaire était la raison de son désespoir. Ayant un profond besoin de donner de l'espoir à d'autres, elle créa cette entreprise. 

Née le 17 Mai 1977, Laurin Watson appeler Mrs Watson ou L.W est l'épouse de Richard Watson, homme d'affaires reconnu dans le monde du commerce et disposant d'un patrimoine assez important. C'est une très belle femme, d'ascendance anglaise. Elle a un teint très claire et est dotée de yeux bleus claires et de cheveux noirs corbeaux. C'est également une femme très orgueilleuse et fière. Elle méprise son mari mais garde toujours une certaine considération à son égard. Son nom est son prestige et lui porte particulièrement à cœur, elle déteste qu'on l'appel Laurin mais Mrs Watson. C'est une femme vaniteuse, astucieuse et qui se laisse difficilement amadouée. Son mépris pour son mari est noté par son engagement pour le féminisme. Elle pense avoir plus de pouvoir que son mari le classant en second rang. Elle peut rentrer dans une rage folle lorsqu'elle se sent ridiculisée. Très élégante elle prend grand soin de son apparence en s'habillant avec des vêtements de hautes coutures et est toujours vêtu de noir. Elle ne sourit jamais et elle est fascinée par le rouge et le noir. Son mari la délaisse régulièrement dans leur luxueuse propriété des Hamptons, celle ci ne voyait aucune utilité de conclure cette histoire par un divorce qui ne ferai que faciliter la vie de son mari. C'est pour cela qu'elle avait fait le choix de ne pas avoir d'enfants particulièrement pas avec son mari. Elle ne voulait pas que son enfant subisse son ressenti actuel "La solitude". En effet, Laurin a vécu sans père et avec le mépris de sa mère qui disparu sous l'effet de l'alcool. Elle dû travailler dur pour arrivez la où elle est aujourd'hui. Pour tenter de franchir les portes d'une université côté à Cambridge, Laurin dût trouver un moyen de financement valant plus de 50 000$ rien que pour la première année. Particulièrement intéressée par le droit et l'économie, elle dût se lancer dans une activité attractive afin de financer ces études et le misérable taudis où elle résidait à New-York.

En 1996, Elle fit la rencontre de Bertine Aylin alors qu'elle travaillait dans un Spa à New York. C'était une anglaise qui avait fait fortune aux États-Unis et qui accumulé les aller retour pour continuer à faire marcher son business. Bertine Aylin à un vécu très particulier. Ne voulant pas devenir une moins que rien elle créa son propre business dont elle est la seule et unique salariée. En la voyant arriver dans le spa, Laurin ne pu s'empêcher de la regarder fixement. Elle était étonnée par la splendeur de Bertine. Celle-ci abordait une tenue spectaculaire accompagner par de tas de bijoux. Elle se sentait intimidé face à cette femme forte et confiante. Elle pris le chèque que Bertine lui avait transmis et le plaça dans la caisse avant de lui demander si c'était tout ce qu'elle voulait. Intriguée par le regard mystérieux de Laurin, Bertine lui demanda à son tour qu'est ce qu'elle voulait? Embarrassée, Laurin lui répondit qu'elle n'avait besoin de rien si ce n'est que de satisfaire les besoins des clients. Bertine repris à son tour 

«Alors je veux que tu me rejoigne à minuit dans mon appartement à la rue suivante».

Elle nota le nom de la rue dans laquelle elle se trouvait avant de quittez le spa. Elle se demanda si elle devait se rendre chez une femme qu'elle connaissait à peine sous prétexte qu'elle soit une cliente du Spa dans lequel elle travaille? Laurin se posa la même question en quittant son lieu de travail, sur le chemin, dans l'ascenseur et en ouvrant la porte de son appartement. Elle s'assit sur son canapé et regarda l'heure sur son horloge. Il était 21h02 et elle appréhendait de retrouver Bertine chez elle. Elle fit les cents pas dans son petit studio avant d'engloutir un Burrito qu'elle n'avait pas fini d'entamer la veille. Elle regarda à nouveau son horloge : 22h51.