Le gardien et la Clef

Dangereuse situation

Le lendemain à l'hôtel. 7h45 du matin.

Guzz ouvre les yeux en regardant la poitrine de Porto, il aimait être dans les bras protecteurs de son amant ? Il rougis fortement en repensant au baiser, il voulait tellement plus. Mais, la menace toujours planant autour d'eux, calma son envie. Il sera son poing droit qui était sur la poitrine de Porto. 

- Est-ce que ça va ? 

Surpris par la voix de son ami, il leva son regard sur celui-ci et lui sourit. 

- Oui, je pensais juste à nos ennemis. 

Porto resserra son emprise sur Guzz, l'écrasant complètement contre sa poitrine, ne détachant pas son regard. 

- Je te fais la promesse de te protéger au péril de ma vie. Qu'ils osent simplement de t'éloigner de moi, sache que je te chercherais, je te retrouverais et je tuerais ceux qui se mettrons sur ma route. 

Les joues en feu par une telle déclaration, les mains tremble de joie, ses lèvres tressautent, essayant de dire quelques chose qui ne vint pas et son regard est embué de larme, mais ils reflétaient la surprise et surtout de l'amour. Guzz, n'arrivant pas à répondre, l'embrassa soudainement, doucement et fit transférer tout ses sentiments à travers se baiser. Porto répondit à se baisé avec force et amour. 

- Argh ! Vous pouvez pas le faire ailleurs ?

- Mais arrête Cyril ! C'était la plus belle déclaration !

- Alors, toi...il te manque un grain. 

Guzz et Porto se détachèrent gardant sur leur visage un sourire avant de rire complètement à la mine boudeur de Maxime. Chacun leur tour vont se préparé dans la salle de bain. 

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Trois personnes rentrèrent dans l'hôtel et se dirigèrent droit sur l'agent d'accueil. 

- Bonjour, messieurs, madame.

- Bonjour, nous aurions besoin d'information, nous sommes de la police et nous recherchons deux individus, les reconnaissez vous ? Demande l'homme aux costards.

Il présenta les photos à l'agent qui pâlit rapidement. 

- Oui, ils sont dans l'hôtel. 

- Leurs numéro de chambres, s'il vous plait. Demande la femme.

-  Le 5, c'est au fond du premier étage.

- Je vous remercie. 

Un claquement de doigt plus tard, les trois personnes montèrent les escaliers.

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Au même moment, Guzz eu un très mauvais présentement, il sorti habillé de la salle de bain paniquant, souffle saccadé.

- Guzz qu'est ce qu'il y a ? Demande Maxime qui était le plus proche. 

- Je...ils... ils sont là. Répondit en larme ressentant la douleur silencieuse de l'agent d'accueil. 

- Quoi ? ! S'écria Cyril 

- Merde ! déjà ! S'écria Porto. 

- Cyril va chercher les autres, ils faut sortir le plus rapidement ! Ordonna Maxime. 

Cyril ne brancha pas, mais parti en courant allant dans la chambre 4 réveillant en sursaut les occupant, ils avaient décidé de laisser leur porte ouverte pour un événement comme celui-ci. 

En attendant, Guzz était en train de paniqué, les larmes roulèrent en cascade sur ses joues dans les bras de maxime. 

- Il faut trouver une solution, nous nous pouvons pas passer par la porte d'entré.