Le gardien et la Clef

Un champs de fleurs

Ne t'inquiète pas mon petit, je ne te laisserais pas mourir, tu m'es précieux, ne pleure plus ton protecteur est là pour toi. Par instinct, il saura quoi faire. Ne t'inquiète pas, tu as juste à pensé à travers ton joyau, appel le, vas y.

Cette voix est si douce, si harmonieuse, Guzz cherche du regard la femme dont est l'origine ses paroles réconfortantes. Puis, ne voyant que des flammes autour de lui, donnant de la clarté dans la nuit, il met les conseils en application. Il ferme les yeux et se concentra sur son ami, les sentiments pouvant traversés ses pensées le concernant le fait sourire. Son joyau brille d'une faible lueur montrant ainsi son niveau de faiblesse extrême. Guzz ré-ouvre ses yeux et commence à appeler son ami.

Guzz : Porto !

Seul le silence lui répond, il réessaie à nouveau.

Guzz: Porto !

Sa respiration se fait de plus en plus saccadé, son joyau commence à s'éteindre doucement, les larmes ne coule plus, il regarde le ciel étoilé avant de doucement fermé les yeux, une ombre apparaissant au-dessus de lui.

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Il a entre ses mains l'homme qui a mis la seringue, il le soulève au-dessus de lui, l'étranglant complètement, ce dernier a en face de lui un homme entouré par les flammes, le contraste entre la nuit et la lumière dans sa poitrine lui donne un air démoniaque. Petit à petit les flammes l'entoure également, il cri de douleur, il essaie de se débattre et lorsqu'il se pense fichu, l'homme le lâche complètement.

Il croit d'abord que cela est son imagination, puis il l'entend une deuxième fois, après avoir lâché sa victime, il se retourne et voit avec stupeur la lumière faible émise de Guzz. Toutes les flammes l'entourant disparu complètement avec l'armure, il est auprès de son ami en quelques secondes, il peut voir ses yeux se refermer sous un dernier souffle, la lumière clignote au même rythme que les battements du cœur de Guzz.

Comme un flash, il sait ce qu'il doit faire, il se penche au-dessus de Guzz, prend sa tête délicatement et colle son joyau contre celui de son ami. Dès que les joyaux se touchent une lumière bien plus intense apparaît, les dernières flammes sont balayées par l'onde de choc. Après un petit moment, leurs amis voient la plus belle des phénomènes, un champ de fleur diversifiée entourent les deux protagonistes. Des lianes montant le long de l'immeuble et des poteaux, les voitures sont recouvertes de pelouse avec quelques coquelicots, l'odeur émanant des fleurs est agréables, c'est un tableau paisible qui se trouve en face d'eux.

Guzz ouvre les yeux à cause des odeurs diversifiées, puis il se sent enlacé dans les bras d'une personne et rend l'étreinte, avant de mettre sa tête sur l'épaule droit de son protecteur. Leur regard est le reflet de leurs sentiments.

Guzz : Tu ma sauver encore une fois.

Porto : Oui, il faudra que tu prennes un abonnement si cela continue.

Guzz : J'espère pas, je n'ai pas envie de me faire tuer à chaque fois. (Bouda t-il)

Porto rit devant cette bouille mignone, Guzz rougis et commence à rire. Un craquement derrière eux les font sursauter, c'est l'homme en noir, il est toujours en vie malgré les brûlures apparentent. Il s'approche doucement des deux amis, Porto serre Guzz contre lui pour le protéger.

L'homme en noir : Je vais vous tuer sale monstre. (Dit-il en pointant un couteau sur eux)

Porto veut intervenir, mais c'est trop tard, l'homme devant eux tombe à terre fortement, apparaissant alors Damien avec une taule de la carcasse du camion entre les mains, il la lâche quelques secondes plus tard. Derrière lui se trouve tout le reste du groupe, d'abord retissant de s'approcher des deux protagonistes, Maxime fait le premier pas, il les aide à les relever.

Maxime : Fais moi repenser de ne plus t'embêté.

Porto : D'accord. Rie-t-il

Cyril : On est vraiment désolé de ne pas être intervenue, mais on a vue que tu débrouillait comme un...roi. (Dit-il à l'adresse de Porto)

Thomas : Pouvez vous, nous expliquer ce qu'on vient de voir ?

Porto: Oui, mais d'abord il nous faut un endroit sécurisé.

Jacobin : Ça va Guzz ?

Guzz : Oui, beaucoup mieux. Merci.

Bibouchtram : Tu est sure ? Tu nous a fait tellement peur.

Il prit Guzz dans ses bras, puis le tapotant de part tout pour voir si rien est cassé, mais Porto attrape le bras droit de Guzz et le ramène contre lui possessivement . Ce dernier prend une teinte écarlate devant tout le monde.

Porto : Il n'a que moi qui peut le toucher ainsi.

Sous les rirent de leurs amis, ils rougissent ensemble, Guzz encore plus, mais pour la forme il riposte :

Guzz : Non il n'y a que moi et personne d'autre...pour le moment (Murmurant ces dernières mots).

Après un petit moment Damien se tourne vers le groupe et demande :

Damien : Où allons nous ?

Squeezie : Dans un hôtel, je sais où aller.

Guzz attrape la main de Porto, celui-ci le regarde avec un doux sourire.

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New Chapiter !

Comment le trouvez vous ?

Gros bisous aux lectrices et lecteurs ♥