Dream Reality

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Porto sourit, il peut voir ses amis présent, ils sont tous là, Thomas, Damien, Hugo, Cyril, Maxime, Jacobin, Bibouchtram et Squeezie.

Tous : Salut, tous le monde ! Salut Porto !

Porto : Salut les gars !

Damien : Alors, dit nous, c'est quoi l'urgence ?

Porto prit un visage grave et dit :

Porto: les gars vous avez vue l'actualité sur le centre commerciale ?

Thomas : Oui, vous y étiez ? Demande avec une voix inquiète.

Porto : Oui, ne vous inquiétez pas, on va bien. Mais laissez moi tout vous racontez...

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Des machines fit route sur les arbres, les coupants, les séparant de leurs troncs d'origine, des cris de souffrances silencieux traverse la seul personne témoin de se carnage.

Des bombes nucléaires fut testé au large du pacifique, une onde de choc souffle sur la seule personne pleurant la souffrance des animaux en dessous de la mer, des corps remontant à la surface.

Des enfants d'origines africains pleurs, cries de faim, la souffrance se reflétant à travers un regard.

Un homme regarde à travers les yeux d'une femme, son enfant agonisant dans ses bras percuté par une bombe. Le sang à jamais gravé dans sa peau.

Un oiseau prends s'en vol pour échapper à sont agresseur, mais il ne peut allez bien loin, il tombe au sol après quelques secondes, une balle traversant son crâne. On peut voir dans ses yeux ses frères et sœurs subissant le même sort.

Courir, courir, la peur au ventre, poursuivit par trois hommes, le reflet d'une jeune fille de seize ans près de la rivière court de tout sont souffle, de toute ses forces, mais l'un des hommes visé avec son arme. Le coup de feu éclatant dans le silence de la nuit, un corps tombe, son souffle encore présente, elle regarde ses hommes au dessus d'elle, la peur toujours présente, une ombre crit, essayant d'intervenir, mais il ne peut rien faire devant le viol, suivi de la mort.

La peur, les gémissements, des tremblements, on vient le chercher, on lui attrape brutalement le cou meurtri par le collier qui lui à arraché la peau. Il se fait traîner au sol avant d'arriver à l'endroit où ses congénères sont tuer. MMaintenant, c'est son tour, sa respiration se fait de plus en plus rapide, les cries de douleur de la personne ressentant la peau se détaché de l'être vivant remplie le lieu. Agonisant, sans sa peau, il décide de ne plus respirer.

Un homme attaché comme une marchandise voit la femme à côté de lui vendue comme un bout de viande avant de la voir se faire tuer, puis découpé et enfin cuit. La peur le paralyse, puis vint sont tour, victime du marché noir, l'autre côté du monde.

Des personnes en costumes noir fournissant les armes à des enfants et leurs demandant de jouer avec sous le regard des acheteurs, des coups de feu, puis plus rien, les larmes coulant continuellement le longs des joues.

Le jeune homme ne pouvant plus supporter toutes ses souffrances, il continue de pleuré, il crie de désespoir : NON ! STOP !!!!! S'IL VOUS PLAÎT !!!

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Cyril : Pas possible !!

Damien : c'est quoi cette blague !!!

Squeezie : Cela ne peut pas existé !

Porto : Cela n'est pas une blague les mecs, regarder !

Porto montre le joyau sur sa poitrine, le pointant du doigt et rapprochant de la caméra.

Jacobin : hahaha (rire)

Bibouchtram : Tu sais que ta blague est très bien monté ?!

Après un instant de rire pour les uns et de concentration pour les autres, Thomas brise l'ambiance ayant bien regarder ce que Porto est entrain de mmontree

Thomas : Les gars, je ne pense pas qu'il blague.

Damien : Mais tu rigole, tu crois vraiment a son histoire ?

Thomas : Alors explique moi, comment se fait-il que le joyau est incrusté dans sa poitrine ? Il n'a pas pu le faire tout seul, non?

Cyril : Cela est sûrement un maquillage.

Porto s'énerve doucement au fil de la discution, il ne supporte plus de voir ses amis doutant de lui. Il allait gueuler sur eux lorsqu'un crie s'élève.

Maxime : Putains ! C'était quoi ça ?

Porto regarde l'endroit provenant le cri, il est pétrifié, c'est la première fois qu'il entends cela. Puis, une personne entre dans la pièce se tenant le front avec douleur. Criant tout en fondant en larmes. Ses mains cachant ses yeux laisse apparaître une lumière aveuglante provenant du joyau.

Porto : Guzz !!!

Porto se lève voyant son ami flancher devant lui, il le rattrape et le maintient debout.

Damien et Jacobin : Que se passe-t-il ?!

Thomas : Putains c'est quoi cette lumière ?

Squizzie : Porto que ce passe-t-il ?

Seul les cries, les larmes répondent aux questions. Après quelques instants, la réponse leurs vint devant eux, la lumière aveuglante provient du front de Guzz qui continuer de crier des "STOP !!". Porto le soutenant, puis le faisant asseoir devant le bureau.

Porto : Guzz calme toi, chutttt, Guzz calme toi, s'il te plaît. Dis moi ce qui ne va pas ? Guzz !

Porto essuie les larmes sur le visage, doucement de son ami, il prend les deux mains de ce dernier et les mets par instinct contre sa poitrine. D'un coups son joyau s'illumine également surprenant les autres de sa couleur flamme, la lumière rouge entourant Guzz dans une bulle de sécurité. Ce dernier ouvre les yeux et regarde Porto d'un regard de reconnaissance, ne pouvant plus supporter de voir son ami dans cette état, il le prends dans ses bras et le serre contre lui pour le rassuré.

Porto : Je suis là, tu n'est pas seul. Je suis là.

Guzz dans les bras de son ami, resserre son étreinte et met sa tête contre l'épaule de Porto. Les lumières disparuent doucement sous le regard ébahis de leurs amis.

Bibouchtram : Je ne sais pas pour vous les gars, mais pour moi je sais quoi faire.

Cyril : De quoi tu parle ?

Bibouchtram : Porto, j'arrive.

Bibouchtram coupa la connexion, puis les autres disant deux mots avant de couper leur webcam.

Porto regarde sont écran avant de regarder les cheveux de son ami rendormi dans ses bras pour un vrai sommeil. Le sourire aux lèvres, Porto soulève son ami, puis l'allonge sur sont lit. Il rejoints Guzz sur le lit et comme par instinct, ce dernier se colle sur Porto.

Porto : Dors tranquille...tu sais, nous avons des amis incroyables.

Porto fait un baiser sur le joyau de Guzz et s'endort en serrant contre sa poitrine, son ami.

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Et voilà, dite moi,ce que vous en pensez ?
Bisous !!!

Le gardien et la ClefOù les histoires vivent. Découvrez maintenant