La France entière regarde la télévision choqué des nouvelles et terrifiés.
Journaliste : Une véritable horreur, c'est produit ce matin au centre commerciale. Une fusillade, faisant plus de 185 victimes dont des enfants, des témoins de la scène ont pu sortir du centre, mais la police et le RAID furent surpris de voir à l'entrée du commerce, un enfant de 4 ans, seul attendant patiemment les secours avec un sourire rayonnant. C'est avec regret que nous ne sachons pas les auteurs de se carnage, nous nous présentons nos condoléances aux familles.
Porto : MAIS MERDE QUE C'EST IL PASSÉ ? !!
Le silence fut ça seule réponse, dans son appartement se trouve également Guzz assis sur une chaise, se touchant continuellement sont front.
Porto : QUE M'EST IL ARRIVÉ LÀ-BAS ? !
Frustré de n'avoir aucune réponse, il se retourna vers son meilleur ami, mais lorsqu'il vit le regard perdue de ce dernier, il souffle et s'approche de Guzz.
Porto : Est-ce que ça va ? Demande t'il avec une voix calme à Guzz.
Guzz releva sa tête vers Porto et lui dit :
Guzz : Franchement, je ne comprend rien, cela ne peut pas exister tout ce qu'on a vécue ? Je ...je suis perdu. Et...Nous sommes condamnés, nous sommes foutu...
Porto : Ne sois pas si pessimiste, nous sommes bien sortie et ...
Guzz : Bien sortie, tu réalise que dans le centre commerciale, il y a des caméras ?
Porto : Et ? Cela ne veux rien dire, tu as entendu la journaliste, ils ne savent pas qui c'est et ...
Guzz : Tu ne comprends pas, franchement si tu était à leurs places et que tu voyais un type envoyer des boules de feu, est ce que tu le hurlerait sur le toit ? Faisant paniquer la population ?
Porto sait que Guzz à raison, il prends une seconde chaise et s'assoie à côté de son ami en soufflant. Porto est le premier à brisé le silence installer depuis quelques minutes.
Porto : On fait quoi ?
Guzz mis sa tête sur l'épaule de son ami et souffle épuisé de la journée. Avec un murmure, il réponds :
Guzz: Je ne sais pas, Porto, je ne sais pas.
Ses yeux commences à se fermer, surpris par la fatigue de son ami, Porto est au contraire très en forme. Il secoue doucement Guzz pour l'éveiller un peu. Ce dernier ouvrit faiblement ses yeux et regarde Porto en question silencieuse.
Porto : Tu va te reposer, moi je vais prévenir nos amis de la situation.
Guzz : D'accord (Baille)
Guzz essaie de se lever doucement, Porto l'aidant à faire le chemin jusqu'au lit. Il le recouvre de draps après lui avoir enlevé ses chaussures, lorsqu'il s'apprête à partir vers l'ordinateur, il sent une pression sur sa poignée. Porto se retourna pour voir Guzz bataillé contre le sommeil.
Guzz : Merci de ne pas m'avoir abandonné.
Porto sourit et lui dis :
Porto : Je suis là pour toi...mon ami. ( se rattrapa rapidement Porto)
Guzz lâche la poignée et s'endort directement. Porto regarde le visage de son ami paisible avant d'aller devant son écran.
Guzz: Allons-y les amis.
Il commence à pianoter avec une grande vitesse inhumain sur son clavier et commence un appel de groupe avec la liste d'amis en espérant que tous répondent présent.
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Et voilà mon nouveau chapitre !
Comment le trouvez vous ?
Bisous à tous
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Le gardien et la Clef
FantasíaFanfiction basé sur Guzzproduction et porto production. Relation homosexuel, les rageux s'abstient. Merci à eux et en espérant que cela vous plaise. J'ai garder pour la plus part les pseudo des protagonistes pour respecter la vie privée des yo...