Le véritable amour d'une Mère

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Sur le balcon de la chambre d'hôtel, la e-cigarette dans la bouche, le regard au loin, Guzz réfléchis sur son rêve, les événements et les phénomènes qui lui sont arrivés hier. Il prit une bouché de la e-cigarette avant d'éjecté la fumer par sa bouche, il n'avait même plus de plaisir à fumer, il prit la décision et arrêta, il rangea dans sa poche l'objet avant de s'accouder à nouveau sur la rambarde. Le temps passa, il était toujours sur le balcon lorsque son joyau s'illumina soudain, surpris il fit un pas en arrière, devant lui, se trouve une femme d'une beauté inégalable, ses longs cheveux brun bougea dans une danse volupté au même rythmes que sa robe d'un blanc harmonieux. Des fleurs décorés ses cheveux et le haut de sa robe, ses yeux d'un vert clair reflète sa gentillesse et sa bonté. Elle était entouré d'une lumière aveuglante, mais douce au regard de Guzz, ce dernier vit la main de la femme se tendre vers lui, jusqu'à qu'il senti une caresse sur son visage, il se rendit compte des larmes versés sur ses joues, mais les émotions que l'être, lui procura une symbiose, d'une extrême pureté. Un amour maternelle édifiante, un sentiment de protection, de bien être l'entoure, il ferma les yeux et comme un doux rêve, il se vit dans les bras réconfortantes de l'être.

La femme : Ne t'inquiète pas mon petit, je vais t'aider et te faire grandir.

Guzz : hummm Qui êtes vous ?

La femme : Appelle moi, Gaïa.

Guzz ouvrit les yeux surpris sortant de son rêve, il fit face au visage d'une entité, il rougis face à elle, mais cette dernière ébouriffa ses cheveux maternellement et lui dit avec un sourire rassurante.

Gaïa : Ne t'inquiète pas mon garçon, je suis au dessus de cela, vous êtes mes enfants pour moi et rien ne vos plus que votre amour. Je suis devant toi, mon enfant pour t'aidé à faire face aux obstacles, ne te laisse pas tomber dans le désespoir, la tristesse et les ténèbres.

Guzz : Mais comment ? il y a tant de cupidité dans l'être humain, tant de souffrance, tant de..

Elle mit sa main sur sa poitrine lui coupant dans sa tirade et lui dit :

Gaïa : Tant d'amour également. Je suis consciente que mes petits ne sont pas parfait, mais ils sont libres de choisir en répondant de leurs conséquences qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Ils peuvent expérimenter leur vie, bien sur, il y a mes enfants qui souffres, mais cela demande du temps à tes frères et sœurs d'ouvrirent les yeux lorsqu'ils sont manipulés par les ténèbres, malgré ce que tu pense, personne n'est semblables, vous êtes tous uniques, certains aiderons, d'autre sera indifférent, mais tous auront une chose en commun.

Guzz : Quoi ?

Gaïa : L'amour et même les pires des enfants auront toujours cette petite étincelle, il faut juste la faire grandir. Le temps ferra son oeuvre mon enfant et lorsque cela arrivera vos regards sur la vie serra changé.

Elle essuya les dernières larmes de Guzz avant d'embrasser le joyau la faisant ainsi décroître sa lumière et part la même occasion la faisant peut à peut disparaître.

Gaïa : Je suis toujours auprès de toi, auprès de mes enfants, tant que vous ressentirez toujours une étincelle d'amour, je viellerez sur vous et je réaliserai des miracles pour certains et pour d'autre je les prendraient auprès de moi lorsque l'heure viendra à son terme.

Des petites poussières de lumières disparaissent en se détachant de sa forme corporelle, il ne resta qu'un bras, sa poitrine et son visage. En caressant une dernière fois le visage de Guzz serein elle dit ses derniers mots.

Gaïa : Appelle moi, lorsque tu ne saura pas quoi faire, ton compagnon sera le seul à apaiser ses voix, ses flashs, un jour viendra que tout sera clair pour toi, il faut parfois faire le premier pas et écouter pour apaiser les hurlements du désespoir. Mon petit, prend bien soin de toi, je t'aime mon enfant.

Elle disparut dans une poussière de lumière sous les yeux de Guzz, toujours sur le balcon il prit quelque minute avant de prendre la décision. Il se retourna dans sa chambre dans lequel ses amis dormirent encore, il entendit leurs respirations bercer ses oreilles. Thomas faisait un rêve agréable, Porto faisait un rêve remplit d'inquiétude et Damien faisait un rêve sans rêve, Guzz était devenu hypersensible aux émotions l'entourant. Plus encore, il pouvait ressentir les émotions émanant des rêves.

Il se dirigea à sont lit à côté de Porto, le regarda avec un sourire avant de s'allonger et ferma ses yeux rassurés. Demain un voyage les attends.

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Dans une pièce sombre se trouva une table en marbre, autour d'elle des chaises sur lesquels des personnes étaient assis. Un écran derrière la personne se trouvant au centre projeta la photo de Guzz et de Porto avec en dessous un mot "Cible". L'un des hommes alluma sa cigarette avec sont pouce, la lumière émise lorsqu'il aspira une bouffé de fumer renvoya un sourire cruel.

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Et voilà, nouveau chapitre, dites moi ce que vous en pensez :) ♥

Le gardien et la ClefOù les histoires vivent. Découvrez maintenant