Partie 68

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En les attendant avec les filles et Hakim on clashait mes frères, ma mère avait ressorti les photos dossiers d'eux, heureusment elle n'avait pas sorti les miennes. Quelqu'un a sonné à la porte je suis allée ouvrir, c'était mon père , mes frères, mes beaux-parents et Aymen, j'ai ouvert la porte et j'ai dis bonjour à tout le monde.

Ryad : Tu as fais quoi à tes cheveux toi?

Moi: Je suis partie chez le coiffeur

Ryad: T'es toujours aussi moche

Moi : Merci c'est gentil

Mon père : Ne l'écoute pas ce con t'es magnifique ma fille Mash'Allah

Moi : Merci papa, il est juste jaloux de ma beauté c'est tout

Ryad: Quel beauté? Sal thon

Moi: J'suis dans mon jacuzzi, reste dans ta jalousie mec.

Ma mère : Arrête de faire ta belle et débloque le passage imbécile va

Moi: Trop de méchanceté dans cette famille.

On est tous partis s'installer dans le salon. Hakim en profité pour se foutre de la gueule de mes frères, pendant que ma mère et ma belle-mère était dans la cuisine et que mon père et mon beau-père parlait ensemble, quant à nous bah c'était parti en clash entre Mehdi et Ryad qui sortait les dossiers chacun sur l'autre, c'était tellement drôle.

Ryad : Elles sont où les photos dossiers sur Liyah ?

Moi : Il n'y en a pas arrête de jalouser mon petit.

Ryad : Dis juste tu as trop peur de te faire clasher bagra

Moi : Bagra toi même

Lui ( en m'imitant ) : Bagra toi même, tqt même pas que je vais les trouver.

Moi : Tu cherches la merde toi en vrai.

En vrai je voulais trop pas qu'il trouve l'album photo, je sais très bien ce qui m'attendais. Il y avait toutes les photos de quand j'étais en surpoids, si çà ne tenait qu'à moi j'aurais déjà jeté toutes les photos mais ma mère tenait absolument à garder toutes les photos de ses enfants en souvenir.

Il s'est dirigé vers les chambres, ma mère et ma belle-mère sont revenues avec à manger on s'est donc tous installé autour de la table, je me suis retrouvée face à Aymen même pas il me calculait il parlait avec tout le monde sauf moi.

Ryad : Je suis trop un boss, c'est qui qui a retrouvé l'album photo de Liyah!

Ma mère : Commence pas, va le reposer et viens manger, tu sais très bien que ta soeur n'aime pas ce qu'il y a dedans.

Moi : Non mais vazi laisse de toute façon c'est du passé. Juste garde tes refléxions pour toi.

On a tous mangé ensemble dans la joie et la bonne humeur. Après le repas, les parents sont partis boire leur thé dans le salon pendant que nous nous étions entrain de faire la vaisselle et que les garçons essuyaient les assiettes.

Une fois fini j'ai pris mon album photo et j'ai regardé une à une les photos, je ne m'aimais vraiment pas du tout, à chaque photo que je regardais j'avais la boule au ventre, je me sentais pas bien je repensais à toutes les moqueries que je me suis prise dans la gueule, des larmes coulaient sur mes joues je me suis dépechée de les effacer pour que personne ne les voient mais trop tard Sheyma m'a vu et elle est venue s'asseoir à côté de moi.

Sheyma : Pourquoi tu pleures ?

Moi : Pour rien t'inquiètes pas.

Sheyma : Tu peux pas me mentir à moi!

Moi : Mais je ne te mens pas, tout va bien ne t'en fais pas.

Elle : Si tu le dis, bon je vais rentré moi sinon je vais finir par me faire défoncer mdr, tu m'appelles demain.

Moi : Pas de soucis, à demain.

Elle a dit au revoir à tout le monde et elle s'en ai allé suivis de mon père mes frères, ma belle soeur et mon beau père car il travaillait demain matin. Il ne restait plus qu'Aymen et sa mère. Le petit s'était mis à pleuré je suis donc allé le chercher dans la chambre. Je sentais quelqu'un derrière moi je me suis donc retournée et j'ai vu Aymen entrain de me regarder.

Moi: Qu'est-ce que t'as à me regarder comme çà ?

Lui : Mash'Allah t'es belle ce soir!

Moi: C'est censé être un compliment?

Lui : T'es jamais contente comme meuf la vie.

Moi : Tu dis ce soir, donc les autres jours je ne le suis pas?

Lui : T'es magnifique tout les jours et plus particulièrement aujourd'hui avec la nouvelle coupe de cheveux et ta petite robe là. T'es contente? Casses les c******* cette meuf

Moi : Ouais je suis contente, merci.

Il y a eu un blanc je me suis assise sur le lit et il me fixait

Moi : Quoi encore?

Lui : Smeh pour hier c'est parti trop loin mais tu rends ouf j'ai juré

Moi : C'est pas une raison pour m'aggreser, m'insulter comme çà et vouloir me frapper

Lui : Je t'ai déjà frappé?

Je les regardait en mode fou toi de ma gueule toi

Lui : Je t'ai déjà frappé depuis qu'on est ensemble?

Moi : Je préfère, et non mais hier t'étais pas normal on aurait dit tu étais posséder et l'homme d'hier qui était dans le corps de mon mari aurait été capable de me frapper, tu m'as tordu le bras.

Lui : Arrête de te victimiser je t'ai a peine touché, et c'est de ta faute d'où tu m'enfermes dehors?

Moi : Bon c'est bon on va pas encore se prendre la tête là non?

Lui : C'est toi tu continue - en m'imitant - tu m'as tordu le bras tu m'as fais trop mal

Moi : Toujours plus.

Lui ( en continuant de m'imiter ) : Toujours plus.

Moi : Non mais sérieusement c'est vrai que j'ai un peu abusé hier mais t'es fautif aussi, je suis ta femme depuis que j'ai accouché j'ai plus l'impression d'être la bonniche, je m'occupe du petit je m'occupe de la maison tu rentres tu as à mangé je travaille et le peu de temps qu'on peut passé ensemble tu fais tout pour m'éviter, tu passes tes journées avec mes frères dehors à faire je ne sais quoi quand tu n'es pas au travail tu rentres tard, normal que je doute de toi dès fois tu me dis que tu es au travail mais au final j'apprends que ce jour-ci tu n'y étais pas , t'aurais du te marier à mes frères dans ce cas là. On dirait que tu m'aimes plus.

Lui : T'es sérieuse là?

Moi : Très sérieuse.

Lui : Si je ne t'aimerais pas pourquoi je suis encore là? Tu casses les c***** avec toi faut toujours faire le loveur pour te prouver les choses. C'est toi qui parle d'ignorance depuis que le petit est là tu vois que par lui je trouve même pas ma place, et je t'ai menti qu'une seule fois quand je t'ai dis que j'étais au travail c'était pour que tu ne te poses pas de question et je peux pas encore t'en parler mais je te demande juste de me faire confiance crois pas je te trompe je sais pas quoi juste ai confiance en moi et tu verras par toi même.

Moi : Je te fais confiance.

Chronique d'Aaliyah : « Je vais te faire payer mon humiliation » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant