✔️ Tant qu'il y a de l'amour [Léo Messi x Paulo Dybala]

~ Mini-Messi ? ~

La présence des petites vagues dans le titre (au début et à la fin) est synonyme de Lemon. Âmes sensibles, s'abstenir de lire les chapitres indiqués avec des petites vagues ! Enjoy !!

De plus, le titre de l'histoire vient de la chanson en média (ci-dessus et ci-dessous)

Yva

Début du chapitre : 

Léo Messi.

Russie

               Je joue à la console avec Angel. Comme d'habitude, je le bat. Il est plutôt nul à la console.

"J'ai enfin trouvé un domaine où Paulo ne te ressemble pas.

-Angel, ta gueule ! J'en ai marre qu'on le compare à moi. OK, c'est un bon gosse. Mais il n'est pas prêt de prendre ma place de capitaine."

               J'éteins la console et monte au niveau des chambres. Je m'approche de celle du numéro 19. Je toque et entre sans attendre de réponse. J'aurais peut-être dû. Il sort, visiblement, de la douche, une serviette autour de la taille pour seul vêtement.

"Désolé, je pensais pas que... Bref. Je repasserais.

-Restes, c'est bon."

                 Il retire sa serviette. Finalement, il avait déjà enfilé son boxer. Il s'assoit sur son lit, me fixant. Je crois qu'il attend que je parle.

"Il y a un problème ? J'ai fait une connerie ? s'inquiète-t-il.

-Non, bien sûr que non.

-T'es sûr ?

-Paulo, tout va bien. Quand je viens, ce n'est pas qu'à cause des conneries, tu sais ?"

               Il baisse la tête. Je m'approche de lui et m'assois à ses côtés.

"Je voulais juste qu'on parle des comparaisons qui sont faites.

-Justement, je voulais t'en parler aussi. Je pense m'éloigner un peu de la scène internationale.

-Quoi ? Pourquoi ?

-Parce que les médias me foutent la pression en me comparant à toi. Je suis de plus en plus stressé en entrant sur un terrain et ça se fait ressentir sur mon jeu.

-Ne fais pas attention aux médias. Juste, on va devoir s'occuper de calmer le jeu pour qu'ils arrêtent de nous comparer. Ils ne s'en rendent pas compte mais ils te perturbent."

               Je caresse son dos et lui embrasse la tempe comme je le ferais pour un petit frère. Il me sourit brièvement et je sors de sa chambre, reprenant contenance.

               On s'apprête à rentrer sur le terrain. Je regarde par dessus mon épaule et remarque qu'il manque Paulo. Je trace le chemin inverse et le trouve dans les vestiaires, regardant ses pieds.

"Tout va bien ?

-Ouais, ouais.

-Paulo ?