L' Amour et la Guerre sont-ils synonymes ?

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- Tu veux que je te ramène ou tu préfère que ton "complice" te dépose?- Lui demandai-je encore sur les nerfs.

- Tu es sérieux là? - Dit-elle avant de monter dans le voiture, je fis de même.

Je démarre la voiture et j'allume la radio, ensuite je me concentre sur la route, mais mademoiselle en a décidée de faire autrement.

-C'était qui la fille de tout à l'heure? - Demande t-elle après avoir éteins la radio.

- Je ne veux pas causer d'accident, alors sois patiente, je te le dirais une fois qu'on sera à la maison.- Luis dis-je en regardant la route.

Une fois que je ferme la porte, Vanessa se met face à moi, les bras croisés contre sa poitrine, on aurait dit ma mère lorsqu'elle voulait savoir pourquoi je rentrais à la maison à cinq heures du matin, je rigole en y repensant. Mes rires rigoleront sûrement lorsque je les raconterait des anecdotes de moi au lycée.

- Tu viens de l'insulter là.- Lui dis-je en souriant.

- Ne fais pas ton gamin, tu me saoule là et dis moi qui c'était.- Dit-elle complètement désespérée.

- Pour ton info, on ne dit pas une "fille" mais une jeune fille, car une "fille" signifie une prostituée, et c'est mon professeur de latin qui l'a dit.- Lui dis-je histoire de l'énerver encore plus, une petite vengeance quoi.

-Ça y est tu as fini? Zac j'en ai vraiment ras le bol de toi là, tu me laisse en plant pour aller courir auprès de cette fille( elle à bien appuyée sur ce mot), et tu oses vouloir changer de sujet pour te foutre encore plus de moi. - Me dit-elle furieusement.

Je m'énerve à mon tour.

-Et toi alors, tu t'es foutue de moi aussi, crois moi, j'y ai vraiment cru, j'étais hors de moi quand j'ai su que c'était toi, tu as cru que tu pouvais te foutre de moi de cette manière, je ne te reconnais plus Vanessa, tu es devenue comme les filles du lycée.- Lui dis-je.

- Celles avec qui tu as toutes b...-Dit-elle avant que je la coupe

- Effectivement, mais au moins elle se foutaient pas de moi.Tu as vraiment changée, tu as vraiment pris la confiance trop vite avec moi- Dis-je.

- A qui la faute? -Demande t-elle ironiquement avant d'aller dans notre chambre. Elle revient quelques minutes plus tard avec un sac contenant sûrement ses vêtements.

- Ou est-ce que tu vas ? -Lui demandai-je.

-  Je ne sais pas encore, mais tout ce que je sais, c'est que je ne veux pas voir ta tête.- Me dit-elle avant de passer derrière et moi et d'ouvrir la porte et de la renfermer ensuite.

Comme un pauvre débile, je ne l'ai pas retenue, je l'ai laissée partir et je savais qu'elle était à deux doigts de fondre en larmes.

Comme un pauvre débile, je ne l'ai pas retenue, je l'ai laissée partir et je savais qu'elle était à deux doigts de fondre en larmes

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"A qui la faute?"

Cole

Zara et moi sommes devant la porte de la maison de ses parents, on attends patiemment qu'ils viennent nous ouvrir la porte. 

Ses parents nous accueillent chaleureusement, la maison est vraiment immense et très luxueuse. Zara ne m'a jamais dit qu'elle venait d'une famille riche. Quoi elle avait peur que je ne l'aime que pour son argent ? Je soupire discrètement en y pensant, il faut qu'on parle elle et moi une fois cette soirée terminée. Les femmes sont vraiment un mystère en amour.

J'ai fais connaissance avec ses parents, je déteste raconter ma vie , mais je n'avais pas le choix, je dois faire bonne attention devant peut-être mes futurs beaux parents. Ils sont sympas quand même ses parents, je discute avec le père de Zara comme ci je parlais avec un ami. 

Nous avons dîné dans la joie et la bonne humeur.

Une fois que nous sommes arrivés chez moi aux alentours de vingt trois heures, je fais vite fait le tour des réseaux sociaux histoire d'ignorer Zara, dans la voiture il y avait un silence mortel. J'attends qu'elle remarque qu'il y a un truc qui ne cloche pas, dans le cas contraire je lui dirais.

-Zac.-Dit-elle en s'approchant de moi.

-Oauis.-Dis-je en restant scotché devant l'écran de mon téléphone mais elle me l'arrache vite fait des mains sans que je m'y attendent.

- C'est quoi ton problème ? Pourquoi tu m'arrache mon téléphone de mes mains.- M'énervai-je.

-C'est à moi de te le demander; pourquoi tu ne veux pas me parler?- Me demande t-elle.

-C'est toi le problème; pourquoi m'avoir cachée que tu venait d'une famille de riche.- Lui demandai-je ou plutôt lui hurlai-je, c'est bien la première fois que je suis dans un tel état.

-Parce que j'avais....-Dit-elle avant que je la coupe

- Parce que tu as peur que je t'aime pour ton argent ? -Lui questionnai-je.

- Oui.-Me répondit-elle. Mais je comptais te le dire un jour.

- Tu me prends pour qui toi ? Tu n'a pas assez confiance en moi, en mes sentiments. Tu sais quoi je ne peux pas tolérer ça. -Lui dis-je.

- Quoi? Pardonne moi s'il te plaît Cole.- Me supplie t-elle.

Je me mets de dos à elle, je ne veux pas la voir.

-Je suis désolé, mais je ne peux pas tolérer les secrets alors qu'on est censé tout se dire.- Lui dis-je calmé.

- Non Cole, je t'en supplie, ne me quittes pas. Je t'aime, je te l'ai prouvée en te présentant à mes parents, tu ne peux pas me quitter Cole, je suis vraiment désolé, je te promets de ne plus jamais te cacher quoi que ce soit. Je t'en prie Cole.- Me dit-elle en sanglots tout en entourant ses mains autour de ma taille.

Je ne sais pas  si c'est ma fierté qui prends le dessus, mais je n'arrive pas à lui pardonner. Peut-être que je le regretterai demain en me réveillant, mais pas aujourd'hui.

-S'il te plaît Zara, va t'en. -Lui dis-je après avoir retirer ses mains contre moi, ensuite je me mets face à elle et je la regarde droit dans les yeux. Je ne tolère pas les mensonges, il est inutile de t'excuser. C'est ma décision, demain est un autre jour, qui sait peut-être que je le regretterai, mais la c'est dure à digérer.

- Cole, je me suis trompée en voulant t'occulter je suis riche, mais s'il te plaît, je te promets que je dorénavant je ne le ferais plus. Tu es tout pour moi, je t'...-Dit-elle avant que je la coupe à nouveau.

- S'il te plaît Zara va t'en. -Lui dis-je ou plutôt la suppliai-je.

Elle me regarde une dernière fois, les larmes aux yeux, avant d'ouvrir la porte et de la refermer par la suite.

L'amour c'est comme la guerre, il suffit de lancer une bombe et tout s'éclate. ( Vous la trouvez comment ma citation s'il vous plaît?) 

Dorénavant je mettrais des citations de moi ou des gens ( en le citant bien-sûr) histoire de faire un petit résumé.

J'ai commencée une nouvelle histoire: Throught My Eyes, ça parle d'amour également.

I'm a TeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant