Dans la peau de Sûria.
Région parisienne.
93 , tard dans la nuit.Il était toujours la, devant moi attendant une réponse de ma part.
Sa réponse je l'avais pas putain de bordel de merde.
Je lui ai fait volte face et je suis partie me rouler un oinj sur le balcon.
Il était derrière moi.
Moi: C'est trop ce que tu me demandes Aymen. Je maîtrise pas encore mes pensées, mes sentiments, mes dires.
Aymen: Je sais mais je veux pas que tu le maîtrise, je veux que tu me le dise , je veux que ça sorte de toi et pas de ton contrôle.
Moi: Mais je ne peux pas ! J'y arrive pas! C'est trop.
Je commençais à avoir vraiment mal à la tête, je me sentais pas bien, je suais et mes mains tremblaient.
J'ai finalement tirée une taffe et je me suis sentie mieux.
Je me suis allongé sur ma chaise longue dans mon balcon , lui il s'est assis à côté de moi.
Moi: Ça va trop vite Aymen, je t'ai à peine pardonner que tu me demandes déjà de te dire je t'aime. J'arrive plus à suivre. La pour l'instant je veux juste vivre tranquille, j'ai pas envie que tu t'écartes de ma vie mais je ne suis pas prête à ce que tu y reprennes ton ancienne place non plus .
Il n'a rien répondu et il s'est lui aussi roulé un joint avec ma beuh.
Il a tiré pas mal de taffe avant de me répondre.
Aymen : T'as raison, j'ai été con de te demander ça, mais j'ai besoin de savoir si j'ai vraiment mis ma fierté de côté pour rien ce jour la. Et comme tu refuses de m'éclairer , il fallait bien que je force.
Moi: Il suffisait de me poser la question, non tu n'as pas fais ça pour rien.
C'était dingue la vitesse à laquelle il a finit son oinj mais il n'a pas tardé à en roulé un nouveau.
Moi je suis partie prendre une douche le laissant seul face aux bloc.
Je reviens quelques minutes plus tard en robe de chambre noire légèrement décolleté.
Il relève les yeux vers moi avant de tirer une taffe, je lui prends son joint des mains, il gaspillait toute ma beuh.
Aymen: J'ai toujours envie de toi. Donc je ferais mieux d'y aller.
Je n'ai rien répondu à cela et il a déposé un baiser salé sur mon front.
Dans la peau de Soukaïna.