Quelques temps

Chapitre 18

Ce matin je me réveille tranquillement, je pars prendre ma douche je me maquille et je pars m'habiller.

J'ai faim, hier je n'ai pas manger de la journée par peur de croisé Antoine, mais j'y serais bien obliger de le croisé, je dois avoué qu'il me manque quand même, c'est petit attention du matin, c'est câlins qui me rassure, putain j'ai l'impression d'avoir des sentiments, Nan c'est pas possible on ne se connaît pas assée.

Je sors de ma chambre et part dans la cantine ou tout les gars sont là, oui Antoine y compris, je fais signe de la mains pour leur dire bonjours. Je m'installe à côté de Rabiot et j'essaie d'écouter leur conversation mais je n'y prête pas vraiment attention, je mange sans parler, je me contente de sourire quand on me regarde et de répondre aux questions que me pose Rabiot, je termine mon petit déjeuner, et je me lève pour partir dans mon cabinet, je suis en avances alors je décide de regarder un peut le document que ma donner Didier à propos du club.

Club Deportivo Mostoles surnommé: Azulones, crée en 1956.... je regarde qui est le président, le sélectionneur, l'entraineur. Le club se trouve à Madrid. Je regarde encore un peut et viens l'heur de commencer ma séance avec Costil, je continue avec Jallet puis avec Mendy et Lacazette, il est 12h quad je termine ma mâtiné, je part à la cantine, je suis à côté de Dembélé et en face de Lemar.

Lemar- tu as l'aire ailleurs ces temps si.

Moi- Oh... Euh non je suis juste un peut fatiguer c'est tout.

Lemar- je vais faire comme si je te croyez, il me sourie.

Moi- Merci, je lui sourie a mon tour .

Je mange tranquillement et je repars dans mon cabinet, Giroud arrive quelque minutes plus tard, et arrive le tour d'Antoine, mais il est en retard.

Je l'attend.

Je l'attend.

Je l'attend.

Je l'attend, et arrive le tour de Payet de faire sa séance. Ouais il n'est pas venu. Comment vous dire que je suis très déçu qu'il n'est pas venu, on aurais pu parler un peut, mais il à préférer esquivé. Quand Payet quitte mon cabinet je sens un larmes roulée le long de ma joue puis une secondes larmes tombe, je les ressuis mais une rafale de larmes roules le long de mes joue, je ne sais pas pourquoi je pleurs autant, peut-être que c'est une accumulation de déception. Je reste dans mon cabinet encore un moment le temps de reprendre mes esprit et d'essuyer le reste de larmes que j'ai sur les joues.

Je sort de mon cabinet, je part en direction de ma chambre. En montant je croise Antoine et  comme hier il ne me prête aucune attention, vraiment génial cette journée, il passe à côté de moi sans rien me dire et disparais. J'entre dans ma chambre et m'écroule sur mon lit, je me mes à pleurer, je ne m'arrête plus j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêté. Je repense à ce que Antoine m'avais dit au restaurant "Je sais que tu pleures en cachette" Pourquoi je pense à ça moi, bah surement parce que tu es en train de pleurer en cachette. Au bout d'un temps je me calme, je me lève et part prendre un douche, bizarrement je me sens mieux. Je sors et me mes en jogging. Je repense à ce que ma dit Didier, c'est une belle opportunité de travailler dans un club de foot, mais esce que je sui prête a quitter la France, ne plus voir ma mère et mon amie. De base je devait travailler à Paris, alors ça allée encore de faire Paris Lille, mais là c'est vraiment plus loin Madrid Lille. Après c'est vrai que j'aime ce pays, c'est la d'où viens ma mère, mais je ne me voie pas la laisser seul sur Lille, je sais quelle est grande hein mais c'est ma mère et je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose. Je lui en parlerais quand je rentrerais dans 3 jours.

Je pars me couché avec pleins de questions en tête, il faut vraiment que je trouve des réponses à tout ça.

Oui désolé c'est un chapitre très court, mais c'est parce que je prépare la suite.