Chapitre 9

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On à passez l'apès midi à visiter le stade, on s'est un peut plus rapprocher l'un de l'autre et je dois avouez que passez du temps avec lui ne me deplait pas du tout.

Il était 19h30 et je commençais à avoir faim.

Moi- Ta pas faim ?

Antoine- Dis plutôt que t'as faim au lieu de faire diversion

Moi- J'ai tout le temps faim

Antoine- Heuresement que je penses à tout, j'ai penser qu'on pouvaient aller manger au restaurant nan ?

Moi- Ah ouais bonne idée

Antoine- Aller viens il y a des restaurants pas loin du stade

  Je le suis et on arrive au restaurant, un restaurant classe mais pas trop, il y avait une bonne embiance, on nous installes et on regardent les plats, je commende une salades, ( vous aller me dires que tout les filles font ça) mais j'adores ça et puis ça ne fait pas grossir, Antoine lui à pris un hamburgur maison et on à commander une bouteil de vin blanc.

Les plat arrivent, on commencent à manger on trinque à cette belle journée et ont parlent un peut de tout.

Antoine- Parle moi un peut de toi ? dis t'il tout en me fixant et avec son sourire au coin

Moi- Quesque que tu veux s'avoir de moi ?

Antoine- Tout, je veux tout s'avoir de toi !

Moi- Y'a pas grand chose d'intéressant à s'avoir sur moi. Lui di-je en prenant un gorger de mon vin.

Antoine- Ne dis pas n'importe quoi, je suis sur que tu as pleins de chose à me raconter mais que tu n'oses pas me le dire.

Il me regarda avec un aire attendrissant, pour me faire comprendre qu'il ne me jugerais pas sur ce que j'allais raconter.

Antoine- On va faire plus simple, je vais essayer de te décrire, ça te va ?

Moi- Ca me va ! Je lui fit un sourire pour lui faire signe de commencer ces questions.

Antoine- Je sais que tu es une personnes très sensible malgré le fait que tu sourie tout le temps pour te convaincre que tu es forte, c'est pour t'empêcher de ne pas pleurer. Dalleur je sais que tu pleure en cachète, tu à une douleur en toi qui ne veut pas partir et tu ne veux pas parler ce que je peut comprendre...

Quand il me disait tout ça je ne pu m'empêcher d'arrêter de manger pour l'écouter, j'étais surprise qu'il me décrive comme si c'étais moi qui me parler à moi même. Je l'écoutais attentivement tout en me contrôlant de ne pas verser un larme tellement j'étais surprise. Il continua.

PDV ANTOINE:

Antoine- Ce que je peux comprendre, je sais que tu te cherche encore, tu hésite sur beaucoup de choses, comme je sais que tu aime le métier de kiné mais je sais aussi que ce n'est pas ce que tu veux faire plus tard, je pense que tu veux plutôt faire ça parce que ça devait être le rêve ou le métier de quelqu'un que tu aimais, je ne sais pas qui mais en tout cas tu tenais à lui.

Tout en lui disant cela, je remarquer qu'elle m'écouter attentivement et qu'elle ne me quitta pas une seconde, elle me fixa avec son aire charmant, je savais que je lui faisais mal quand je lui disais tout cela mais il le fallait pour qu'elle puisse enfin s'ouvrir, pour qu'elle me dise ce qu'elle pense de notre relation qui je l'avoues est confus. Je continua.

Antoine- Je sais que tu n'as pas confiance en toi, alors que tu devrais, tu est belle, intelligente, drôle, mature, souriante, attentionner.

Elle eu un sourire qui se dessina sur ses lèvres le temps que je la décrivais, je ne pu m'empêcher de sourire à mon tour, ça me faisait plaisir qu'elle décroche un sourire. J'en conclus que je devais finir ma description par quelque chose de gentil.

Quelques tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant