Echotale - Thought So (G! SansxFrisk) | Traduction Française

Verrous et chance

( vraiment désolée si il y a quelques fautes de frappes ou d'orthographe mais j'ai écris ce chapitre de 4h à 6h du matin pour pouvoir vous le poster plus tôt donc je suis vraiment trop fatiguée pour me relire, je corrigerais tout ça plus tard, bonne lecture. )

*PDV de Frisk*

Le Prince.

Ce maudit Prince.

La seule chose à laquelle je pouvais penser était les derniers mots de G.

Je me rappelais de la première fois où je l'avais vu, sa voix était pleine de colère tandis qu'il hurlait "le prince". Rien qu'en l'écoutant, vous pouviez ressentir la haine qu'il avait envers cette personne.

Me comparer au "prince" ne devait pas être quelque chose de bon.

J'ouvris doucement les yeux, me demandant si j'allais encore être sur le ciment ensanglanté.

Au lieu de ça, j'étais de retour dans ma cellule, allongée sur un lit tandis que Bella me fixait assise au sol à côté de moi.

Ma gorge me faisait aussi mal que si des loups l'avaient déchiquetés, mon nez était endolorie et à nouveau bandé. Mon cou me brulait et quand j'avalais ma salive, un gout de sang remontait le long de mon œsophage.

Je regardai Bella et chuchotai d'une voix douce et enrouée, "... Pourquoi ne m'as tu pas aidé?"

La tête de cette dernière se releva pour me faire face, et je pu voir l'inquiétude qui l'avait travailler pendant probablement plusieurs heures. Ses yeux verts scintillaient de peur et de larmes.

"Je-je ne pouvais pas !" Dit-elle, sa voix se brisant dans un sanglot.

Même si elle m'avait déçue, je ne pouvais que ressentir de la pitié pour elle, et je savais bien que j'aurais dû être plus dure sur le fait qu'elle avait laissé sa seule amie se faire tabasser, en regardant toute la scène qui plus est.

Pourtant, mon cœur lutta pour me m'empêcher de la consoler, pour empêcher les mots réconfortants de sortirent.

Je gardai une expression neutre. Le menton et la bouche de Bella se mirent à trembloter.

"Je suis tellement désolée Frisk!" Dit-elle, la voix aussi tremblante que le reste de son corps.

C'est là que je me demandai à moi-même, 'Pourquoi s'excuse t-elle ? Qu'a-t-elle fait de mal ?'

C'est vrai, qu'aurait-elle put faire pour arrêter G ?

J'avais déjà assez de chance qu'elle soit aller chercher les gardiens pour que je me fasse soigner. Des prisonniers se faisaient frapper tout le temps et jamais personne n'appelait qui que ce soit pour que l'on panse leurs blessures. Elle l'avait fait.

Quand elle se mit à trembler un peu plus, retenant ses larmes comme elle le pouvait, je plaçai ma main contre mon estomac, ressentant l'horrible douleur que me donnaient les bleus qu'avaient causé les multiples coups de G.

Ce n'était pas Bella qui m'avait fait tout ça.

Ce n'était pas de sa faute.