Chapitre 4 : Le début d'une histoire

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Depuis la soirée d'hier, je ne fais que penser à ce mystérieux jeune homme du nom de Klaus que j'ai rencontré au Rousseau, on a fais connaissance et je crois que je l'aime bien.

Quand je me suis réveillée ce matin, j'avis vraiment une grosse gueule de bois du coup, j'ai du boire une tonne de litres de café pour paraître éveiller et j'ai aussi du forcer sur le fond de teint pour ne pas ressembler à un zombie. 

Après m'avoir mis une énorme couche maquillage, je me suis habillée avec une robe bicolore noir en haut et rose en jupe avec une ceinture marron, des bottines noir, une énorme bague rose et une pochette en strasse noire. 

Une fois prête, je descendis à la cuisine pour voir les jumelles en train de faire des pancakes, je me suis assise sur l'un des tabourets quand Lira me regarda avec un regard assassin.

- Tu étais où ? Et surtout pourquoi tu ne nous a pas appelé, on était super inquiète pour toi ?

- J'étais dans un bar sur Bourbon Street au Rousseau, j'ai bu quelque Tequila et j'ai rencontré un mec.

- Okay, j'ai compris. Tu t'es amusé au moins ?

- Mais oui Abby, je me suis amusé même trop car j'ai vraiment mal à la tête et si vous continuez comme ça, je vais être en retard en cours. J'ai l'impression que vous êtes parents.

- Mais non, ne soit pas ridicule et file !!!

Je suis allée dans le garage pour aller chercher mon Audi pour aller en cours.

Quelques minutes plus tard, j'arrive au parking et à peine je sors de ma superbe voiture que des mecs matent comme si de rien était et les meufs qui ressemblent plus à des barbies qu'a des personnes. J'entra des le bâtiment pour mon cours de Littérature.

(Ellipse à la fin de la matinée)

C'est enfin l'heure d'aller mangé, j'ai la dalle et je suis crevée en plus, je me suis faites draguer pendant mes quatre heures de Littérature par un mec bigleux bref c'était l'horreur.

A la pose de 10 h, j'ai reçu un message de Klaus qui me demandait ce que je faisais cet après midi donc je dois le rejoindre au Rousseau pour manger un morceau mais à mon avis il n'y a pas que ça.

Je suis assise au bar du Rousseau à parler avec Cami, la serveuse, j'ai appris qu'elle a fait des études pour être psy, que son oncle était prêtre à l'église de La Nouvelle-Orléans et que son frère jumeau était mort. Je fut très attristée par cette nouvelle car Cami ne semblait pas du tout s'en être remise et je suis sûre qu'a l'intérieure elle veut juste lâcher prise et oublier cette histoire.

Au bout de plusieurs minutes, Klaus arriva enfin je salua Cami et alla voir le jeune homme.

- J'ai crue que tu ne viendrais plus

- J'ai été retardé par interrogatoire de ma sœur me demandant où j'allais et avec qui.

- Je l'ai ce matin l'interrogatoire par Lira vu l'heure à laquelle je suis rentré à la maison.

Pendant que je parlais il me regardait de haut en bas.

- Tu es magnifique dans cette robe.

- Bien merci tu es pas mal toi aussi.

Il portait un jean noir, un t-shirt à manche longue noir, une veste en cuir marron foncé et en chaussure des boots marron foncé. Il avait ses cheveux décoiffé ce qui le rendait franchement canon.

Klaus me montra une table et tira une chaise pour que je puisse m'asseoir et commanda une pizza hawaïenne ainsi de deux verres de soda.

(Ellipse de la fin du repas)

La pizza était délicieuse mais j'ai remarquée que Klaus avait l'air stressé mais je n'osais pas lui demander la raison de son tourment car la dernière fois, il m'a limite jeté donc je prends sur moi même si c'est difficile.

Klaus se leva et alla payer l'addition et revient en me tendant la main en m'invitant à le suivre, il m'expliqua qu'aujourd'hui, il y avait une exposition d'art et qu'il avait besoin d'une cavalière.

On partit du Rousseau et Klaus m'accompagna à ma voiture.

- Elle est à toi cette voiture ?

- Oui pourquoi ?

- Elle est aussi belle que toi.

- Tu es bien un mec pour dire que je suis aussi jolie qu'une voiture même si je l'avoue mon Audi est magnifique.

- Ça va les chevilles ma belle ?

- Mes chevilles vont bien merci mais je suis sûr que tu es comme au moins à ce niveau.

- Pas faux.

Il a dit ça avec un regard pétillant et un sourire aux lèvres. Plus je le regardais et plus j'avais envie de l'embrasser et juste avant de monter dans ma voiture, j'avais plus la force de résister et je lui ai sauté dessus en l'embrassant à pleine bouche.

Au  début, il semblait surprit mais il posa enfin ses mains sur mais hanches pour me serrer dans ses bras. On se lâcha par manque d'air son regard rivé sur le miens.

- C'était quoi ce baisé Cordélia ?

- J'en avais envie.

Il fronça les sourcilles tout en continuant de me regarder.

- Moi aussi j'en avais envie, depuis que je t'ai ramener chez toi hier soir en faite.

- Pourquoi tu ne l'as pas fait hier ?

- Tu étais saoule ma belle donc il y avait très peu de chance que tu t'en souviennes et franchement, je ne regrette pas d'avoir attendu.

- Tu peux arrêter avec ton sourire en coin super sexy je suis pas sûr d'y résister encore longtemps.

- Ne résiste pas ma belle et vient dans mes bras.

C'est ce que je fis, j'avais l'impression d'être en sécurité dans ses bras mais en même temps, j'avais peur.

- Bon, changeons de sujets ma belle, tu peux me ramener chez moi, vu que c'est le mec de ma sœur qui m'a emmené ?

- Bien sûr, allez grimpe.

On arriva devant une grande villa avec sur le portail un grand M semblant dater du XVIII° siècles. Klaus mit sa main sur ma joue pour tourner ma tête vers lui et m'embrassa avant de partir en me disant qu'il ne fallait pas que j'oublie l'expo de ce soir. 

Une fois qu'il eut entré dans son appartement, je partis chez moi me préparer pour le soir.     


Klaus et CordéliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant