Chapitre 16 : Flashback

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Nous étions toujours dans la chambre de Klaus et en serviette.

- Bon, si vous voulez, je vous explique ma transformation mais avant, j'aimerais bien m'habiller parce que là j'ai froid et je crois que je vais craquer si vous continué de me regarder vu que je sais très bien que je vous intrigue et que vous vous inquiéter pour moi. Dis - je en partant mon sac à dos et en partant dans la salle de bain.

Quelques minutes plus tard, Klaus entra dedans, j'avais encore ma serviette autour de moi. Il entoura ma taille de ses bras et posa son menton sur mon épaule avant de déposer des baisés dans mon cou et derrière l'oreille sur ma marque.

- Klaus, on devrait s'habiller, je sens que tes frères et soeurs sont impatient et je sais que ça t'inquiète. Dis - je en me retournant pour le prendre dans mes bras.

Klaus posa sa tête sur ma poitrine et je caressa les cheveux.

- Je m'inquiète c'est vrai et j'aime pas ce sentiment, j'ai juste envie de faire un massacre. Dit - il en s'écartant de moi.

Je décida donc de ne pas commenter ce qu'il vient de dire donc de m'habiller. Je choisie de me mettre un Jean noir, un tee-shirt blanc ainsi que des baskets elles aussi blanche et je choisie d'ajouter une veste rose pour avoir une touche de couleur. Ensuite, je me faufila dans la salle de bain et fouilla dans les placards sous le regard amusé de Klaus.

- Tu cherches quelque chose ma douce ? Dit - il en remettant ses mains sur mes hanches.

- Oui, je cherche un sèche cheveux. Dis - je toujours en cherchant. Comptes - tu t'habiller où rester derrière moi avec ta serviette ?

- Je vais aller m'habiller. Dit - il en sortant de la salle de bain et en me lançant la serviette qu'il avait autour de la taille. Et ma douce, le sèche cheveux est dans le placard en dessous du lavabo.

Je suis sûre qu'il se fout de ma gueule.

Quelques minutes plus tard, je suis sortie de la salle de bain, coiffé et maquillé. Je vis Klaus sur le balcon de sa chambre en train d'observer les gens qui même le matin se promènaient dans les rues au rythme du jazz. Il était habillé d'un tee-shirt à manche longue bleu foncé, d'un jean noir et ses cheveux blonds étaient en bataille. Je m'approcha de lui et entoura son torse de mes bras et posa ma tête sur son dos.

- Mon cœur, on devrait descendre, tes frères et sœurs sont impatients, ils tournent en rond depuis tout à l'heure.

Nous descendons dans la cour où nous trouvons tout le monde avec un verre de bourbon en train de faire des pas sans but précis. 

- Installez vous, je vais vous parler de ma transformation et je vous préviens c'est pas jolie jolie. Dis - je en allant m'asseoir sur le rebord de la fontaine. 

FLASHBACK

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire, j'ai 11 ans. Je suis sur la route avec mes parents, nous devons aller chez mes grands-parents mais le portail n'est pas ouvert, ce n'est pas normal. 

- Ma chérie, peux-tu aller voir si tes grands-parents son là ? Me dis ma mère en se retournant vers moi.

C'est ce que j'ai fait, je suis sortie de la voiture de mes parents et je suis entrée dans la propriété. C'était calme trop calme.

- Papy ! Mamie ! Y a quelqu'un ? Demandais-je en hurlant. J'avais peur vraiment peur mais j'ai continuée d'avancer vers la maison.

Quand je suis arrivée devant la porte d'entrée, il y avait une trace de mains ensanglantée dessus. 

J'avais peur mais je suis quand même rentrée. Dans la cuisine, le sol était couvert de sang. Une fois au centre de la pièce, je sentis quelque chose de liquide couler le long de ma joue, c'était du sang, j'en étais sûre. Voulant savoir d'où cela venait, j'ai levée la tête. Je poussa un crie en fixant le plafond, il y avait les têtes tous les employés de mes grands-parents qui posé sur le dessus des étagères et le reste des corps étaient suspendu dans le vide par les pieds, sûrement pour les vider de leur sang.

Une fois que mes capacités motrices me soit rendu, je suis vite partie de cette pièce horrible pour continuer mes recherches. 

Je les trouva dans le jardin d'hiver avec trois autres personnes que je ne connaissais pas donc je me mis à les observer.

Au bout de quelques minutes, un des trois inconnus prit une épée qu'il avait autour de la taille et coupa d'un seul coup la tête de ma grand-mère qui tomba au sol raide morte et sa tête roula jusqu'à moi. J'avais envie de crier mais je savais que si je faisais, je risquais moi aussi d'y passer donc je me concentra sur mon grand-père qui était encore en vie enfin pour le moment.

L'un des inconnus se mit à parler mais j'étais trop loin pour entendre ce qu'il disait mais dans mon esprit d'enfant, il avait  l'air en colère, c'était même plus fort que ça, c'était de la haine et sans que je comprenne, mon grand-père se tourna vers moi comme s'il savait que j'étais et mis sa mains sur sa bouche pour ne pas que je fasse de bruit. La tête de mon grand-père vola et son corps s'effondra au sol.

J'étais sous le choc, je venais de voir mes grands-parents se faire assassiner sous mes yeux mais je ne pouvais pas rester dans cette maison donc je parti en courrant vers la voiture de mes parents mais quand j'arriva, je découvris mes parents eux aussi mort.

J'ai appelée la police et quelques secondes plus tard, un arriva et me planta son épée dans le ventre, j'avais tellement peur de mourir mais j'étais aussi en colère contre ses gens qui m'avais pris ma famille. Je me sentie partir mais chose en moi c'est activité et m'a guérie et quand la police est enfin arrivée, j'étais par terre avec du sang autour de moi ainsi que les cadavres des trois hommes qui avaient tués ma famille. On à jamais sût ce qu'il c'était passé.

Puis je suis partie vivre chez une de mes tantes et mes pouvoirs ne faisait qu'augmenter.

Un jour, je devais avoir 15 ans,  j'étais en vacances ici à La Nouvelle Orléans et une femme est venue me voir pour me dire ce que j'étais et une fois que j'ai pris conscience de ce que j'étais, ma marque étais apparue. Cette femme, c'était Jeanne-anne Deveraux et quelques années plus tard, je suis revenue dans cette ville pour faire mes  études avec mes deux meilleures amies et je vous ai rencontré vous, les Mickaelson. 








Klaus et CordéliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant