Chapitre 21 : Bye bye Esther

825 50 1
                                    

 DANS L'ESPRIT DE CORDELIA

Cela faisait a mon avis plusieurs heures que j'essayais de contrer les attaques d'Esther mais je sentais que se serait bientôt fini car elle avait utilisée déjà beaucoup de pouvoir rien que pour me lancer le sort qui aurait du me tuer sauf que je suis trop puissante pour qu'on me tue aussi facilement. Mes pouvoirs sont plus forts comparé aux siens, Esther utilisait la magie ancestrale alors que moi, je me servais de mes sentiments comme assassinat des mes grands-parents, la colère que j'ai ressentie quand leurs assassins ont essayés de me faire la même chose, la joie de mes parents quand je leur est dit que j'étais prise à l'université de La Nouvelle Orléans et bien-sur la tristesse que j'ai ressentie quand j'ai appris qu'ils étaient morts dans un accidents de voiture seulement 3 mois avant la rentrée. Il y avait donc beaucoup d'émotions négatives je puisa donc ma force dedans et elle fini par abandonner en sentant son cerveau sur le point d'imploser.

- Tu penses vraiment pouvoir me battre petite écervelé. Je suis la sorcière originelle, mon fils n'a  pu me retenir dans un cercueil seulement mille ans et je ne peux pas mourir. Dit Esther en riant malgré son saignement de nez.

- Vous n'avez plus de force  sale garce, votre magie est dépassé par la mienne qui provient seulement de ce que je ressens et là, je peut vous dire que je peux vous tuer et se sera sans le moindre regret. Vous avez essayé  de tuer vos enfants en forçant d'autres sorcières à le faire, vous n'êtes qui lâche. Et pour info, si je veux vous tuer définitivement, il suffit de détruire votre esprit et rien de plus simple quand on sait que les émotions sont reliées à celui-ci. Dis-je en sentant qu'elle allait bientôt y laisser la vie.

Au bout de plusieurs minutes, une explosion se fit ressentir cette foi c'est fini. Elle ne reviendra plus il ne reste plus qu'à bruler son corps. Mais pour ça, il faudrait déjà que je me réveille et c'est ce que je fit en hurlant car je ressentais enfin les émotions de toutes les personnes qui était présente dans la maison, à commencer par mon petit copain qui venait de se réveiller sous le choc de me voir en aussi mauvais états. Il me donna de son sang et me pris dans ses bars.

- Ne m'abandonne plus jamais, c'est bien compris. J'ai cru que j'allais mourir quand je t'ai vu perdre tous ce sang et t'évanouir. Dit-il en me serrant plus fortement.

- Je vais mieux mon cœur. Je suis juste fatiguée, tu peux dormir avec moi mon amour.  Dis-je en pleurant légèrement et en déposant des baisers dans son cou.

Klaus hocha la tête et me lâcha pour mieux s'installer puis ensuite il ouvrit grand les bras pour que je m'y installe.

QUELQUES HEURES PLUS TARD

Je me réveilla dans les bras de mon copain qui semblait beaucoup plus paisible maintenant que ma santé n'était plus en danger. Je décida de ne pas faire de bruit et d'aller prendre une douche car d'une je n'allais pas rester toute la journée en pyjama et de deux ce matin quand Esther m'a attaquée, je ne portais que mon pyjama qui maintenant est foutu avec toutes ses taches de sang. 

Seulement quelques minutes plus tard, Klaus entra dans la salle de bain et me regarda.

- Tu m'as laissé tout seul dans un grand lit. Dit-il en avançant vers moi afin de m'embrasser.

- Je ne voulais pas te déranger, tu semblais si paisible. Dis-je en enlaçant son cou de mes bras. Mais pour me faire pardonner, Mr Mickealson voudriez-vous prendre une douche avec moi ? Lui demandais-je en me reculant juste de quelques centimètre pour pouvoir retirer les quelques vêtements que je portais.

Mon copain commença à me regarder avec un sourire pervers tout en avançant vers moi et m'embrassa avec beaucoup de passion, comme si il avait peur que je le quitte.

Comme vous pouvez vous en douter, nous n'avons pas seulement pris notre douche.

Bref, nous sommes sortis de la salle de bain un demi-heure plus tard et pendant que Klaus parti dans ma chambre pour se changer, moi je partis dans mon dressing. J'opta pour un jean bleu clair, un débarder beige et un gros gilet en laine avec des motifs indiens. Pour les chaussures je choisie une paire de boots noirs cloutés.

Une fois prête, je descendis dans le salon et d'un coup, je me retrouva parterre sous mes amis qui étaient tous inquiet pour moi mais aussi étaient soulagés parce que je venais d'éliminer une puissance originelle et pas n'importe laquelle, celle de la sorcière originelle.  

 



Klaus et CordéliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant