Chapitre 27 : Une vie pour une vie

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Précédemment :

Ma tête continuait de me tourner mais je commençais à avoir d'autres douleurs comme un affreux mal de ventre, les oreilles qui se mettent à siffler ainsi que l'impression de me noyer.

- Cordélia, demanda Rebecka en s'approchant de moi surement pour vérifier que j'allais bien et quand elle remarqua que je commençais à avoir du mal à respirer , elle se mit à crier. Klaus, viens-vite, Cordélia ne va pas bien !!

Mais c'était trop tard, ma vue commençais à se troubler et je sentais les battements de mon cœur ralentir comme si j'étais en train de mourir. La seule chose que je vis avant de sombrer se fut le visage de mon copain en larmes et essayant de me donner de son sang sachant que cela ne marcherais pas mais au moins il avait essayé un truc . Au loin, j'entendis Rebecka appeler Freya car on voyait mon ventre grossir de plus en plus. Quelqu'un était en train d'accélérer ma grossesse et c'était en train de me tuer.

PDV Klaus :

Putain, je ne peux pas la perdre, il faut que je sache qui lui a fait ça. Freya vient tout juste d'arriver, je ne sais pas ou elle était mais elle a intérêts d'avoir trouvé un moyen de la sauver d'une mort quasi certaine.

- Bon, sa grossesse est presque achevée, à ce rythme, je dirais qu'elle pourrait accoucher dans environ 1 heure mais quelque chose me dit que ce n'est pas encore finit, dit-elle après avoir ausculté ma petite-amie. Je serais d'avis que Klaus, tu restes avec elle afin de garder un œil sur elle au cas où la personne qui souhaite s'en prendre à elle soient bien reçus, ajoute-t-elle en s'éloignant avant de partir rejoindre Kol et Lira dans la bibliothèque. 

- Comme si j'allais la laisser ici alors qu'une personne cherche à la tuer ainsi que notre enfant, marmonnais-je en portant Cordélia vers notre chambre pendant que Rebecka se rend chez Cordélia afin de lui prendre les affaires. 

Une fois que je l'ai installée, je me met en face d'elle sur le fauteuil et lui prend la main pour pouvoir entrer dans sa tête dans le but de lui donner la force de se battre pour rester en vie pour notre enfant et moi.

Je suis assis sur un fauteuil en cuir dans une pièce qui m'ai inconnue. En l'observant de plus près, je vois Cordélia debout devant la cheminée, en train de regarder des photos.

- Ma belle, dis-je en me rapprochant d'elle pour me retrouver juste derrière elle afin de pouvoir la prendre dans mes bras, puis je posa ma tête sur son épaule dans le but de déposer des baisés dans son cou tellement je suis heureux de l'avoir près de moi.

- Klaus, qu'est-ce que nous faisons ici, demanda-t-elle en s'appuyant sur moi avant de se retourner pour m'embrasser. Je veux dire qu'il y a environ 10 minutes, j'étais chez toi, dans ta cuisine et je parlais avec Rebecka, m'interrogea-t-elle en me regardant dans les yeux.

- Ne me regarde pas comme cela, je ne sais pas trop ce que tu pourrais y trouver, dis-je en essayant de détourner le regard mais quelque chose me disais que c'était trop tard et qu'elle est au courant de tout.

- C'est pas vrai, je ne peux pas perdre notre enfant et je te préviens, si tu dois faire un choix, sauves notre enfant d'accord ?

- Comment tu peux me demander ça ? Je ne peux pas faire cela, je t'aime trop pour te regarder mourir sans rien faire !

- Fais ça pour moi, pour que je laisse quelque chose de moi sur cette terre .

- Non, je ne pourrais pas le regarder sachant qu'il est responsable de ta disparition !

- S'il te plait mon amour, j'ai besoin de savoir cela mais tu ne m'a toujours pas répondu concernant l'endroit où nous nous trouvons, demanda-t-elle les larmes aux yeux.

Klaus et CordéliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant