« Le coeur délogé - Fâhim »

12.

Février 2017, Bondy

Hind : Je serais toujours là Fâhim, tu n'est pas seul d'accord ? Demain je viendrais te voir. Il se fait tard, va te reposer.

- : Merci Hind.. oui toi aussi.

J'ai appris que Hind était une femme en or, je ne savais pas quoi dire elle savait vraiment me prendre par les sentiments.

J'ai finis par m'endormir après que mon coeur c'est un peu apaisé avec ses mots.

[...]

Zakaria : Ils étaient dans la chambre au départ, je savais qu'ils se disputés mais je n'entendez pas. Le mercredi après-midi tu sais que nous avons pas cours nous.

- : Hum ensuite ?

Zakaria : Papa est venu au salon, maman l'a suivie. Mama m'a demandée de rejoindre Zûhir dans la chambre.
Je suis resté dans le couloir en douce je n'était pas sûr je savais qu'il allez se passer quelques chose. Attend attend je te raconte..

POINT DE VUE EXTÉRIEUR 💭

Le père de famille Khalil n'a pas avalé ce que lui avait dis sa douce aimée.
Il sait que depuis qu'ils sont ici les épreuves ne font que se multipliés et c'est si dur de s'en sortir.

Fatima : Je regrette d'être venu, c'est pire qu'avant même si nous avons un appartement plus spacieux de l'eau chaude toujours, des soins mais Khalid c'est pas pareil.. Et toi tu ne fait rien pour arranger sa, tu change de comportement. Les enfants n'ont plus de vêtements je pensée venir ici et leurs acheter des vêtements propres mais ils ne mettent que leurs anciens..

Elle n'en peu plus, Khalid est sortie et se dirige au salon. Fatima ne supporte pas voir son mari en colère elle le suit au salon c'est quand elle voie son fils Zakaria.

Fatima : Va dans ta chambre Zakaria.

La discution peux reprendre.

Fatima : Je comprend pas ton comportement Khalid.

Khalid : Je préfère partir.

Fatima : Quoi.. ?

Khalid : T'a très bien entendue.

Fatima : Nous sommes en galère, on ne s'entend plus mais reste pour les enfants. Pense aux enfants.

Khalid : Non. J'en peux plus Fatima tu peux comprendre ? J'ai pas assez d'argent.

Fatima : Je t'aide comme je peux.. mais je trouve pas de travaille au noir.

Khalid : Pas besoin de toi. Occupe toi des enfants. De toutes façons c'est fini.

Fatima : Tu est sérieux ?

Khalid : Oui.

Fatima s'approche de son mari, en le tirant par le bras et en pleurant. Elle n'y croyais pas.

Khalid : Lâche moi la.

Il l'a pousse, jusqu'à ce qu'elle se retrouve par terre prise de douleur à la jambe.