CHAPITRE XIII : Imprévu

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Soudain, alors que je me r'habillais je sentis une main froide dans mon dos. Je me retourna et à peine ai je eu le temps de comprendre que c'était mon père qui était revenu de son séminaire, je me pris une gifle assez violente pour me faire tomber au sol. Alors que je venais de réaliser ce qu'il venait de m'arriver mon père me remit une gifle et se mit à parler avec une voix grave :
- Peux-tu m'expliquer qu'est ce qu'un garçon nu fait il ici, dans cette maison? Meli Gómez je t'avais interdit de ramener des gens ici. Et dit moi pourquoi es tu entrain de te rhabillée? Tu n'es plus vierge n'est ce pas?! Mais qu'ai je fait au bon dieu pour qu'il me donne une pute pour fille ?! Sérieusement, J'ai honte de t'avoir comme fille.
Mes larmes se mettent seules à couler sur mes joues rougît par tout ce que je venais d'entendre. Je n'aurait jamais pensé que tout cela aurait pu déranger mon père. Ou du moins pas à ce stade.
C'est alors je me rendit dans la cuisine pour prendre un verre d'eau que j'entendis des bruits de lute. Je suis donc aller voir dans la salle de bain car les bruits semblaient de venir de la bas.
Je vis Adrien et mon père se battre, je regarda les yeux affolé de mon petit ami et ceux enragés de mon paternelle. Je répartis dans ma chambre lire un bouquin. Les nuits devenait de plus en plus fort jusqu'au moment où j'entendis une claque encore plus forte que celle que j'avais pu me prendre au paravant, et puis plus rien. J'entendis mon père m'appeler, donc je suis venue.
- Tient. Il est assommé ou mort, j'en sait rien. Toi qui est devenu la plus grosse salope du quartier en même pas deux semaines, suce le. Devant moi. Me dit comme si c'était un ordre et que je ne pouvais protester.
- Ma parole tu es fou? Tu auras beau dire que je suis une salope je ne lui ferait rien de sexuel devant toi.
Et là, je me pris un coup de pied dans le bas du dos. Puis plus rien. Le vide.

Dix jours plus tard.

J'avais mal au crâne et je n'était pas dans la chambre. On aurait dit que j'étais dans un hôpital. J'avais des ecchymoses violacés un peu partout, mais ca m'était égale.
J'ai ressenti un horrible douleur dans le ventre, alors j'ai soulevé la couette et j'ai vu que j'avais une cicatrice au niveau de mes ovaires. Je me met à pleurer quand je comprends que je n'aurai certainement plus les règles et donc pas d'enfants.

J'entends des bruits de pas derrière la porte et des gens qui se parle mais c'est inaudible. Je regard mon bras et voit une perfusion, J'ai un haut-Le-cœur quand je vois ça, je déteste les piqûres.
La chambre est imprégné d'une odeur de tabac froid et d'essence.
Je constate par les rideaux qui sont ouvert qu'il faut nuit, c'est alors que je décide d'essayer de m'endormir, mais quelque chose me retient. C'est lui, l'homme. Ça faisait un moment qu'il n'était pas revenu, il s'approche de moins lentement, et s'assoit sur mon bas ventre, la où j'ai mal.
Il met tout son poids, et alors que je commence à ressentir des fournies dans tout mon être, je décide de changer de position et de me mettre sur le dos, alors c'est pire. Il penche ma tête en arrière et met sa main sur ma bouche afin que n'arrive plus a respiré. C'est ainsi que je m'évanouie, à bout de souffle, épuisée.

[ HISTOIRE TERMINÉE ] Sommeil : TOME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant