Louise. - Tome 2

Chapitre 17. 🍑

           

SCÈNE DE SEXE DÉTAILLÉE SUR CE CHAPITRE.

PDV Gabriel.

Il ne m'en fallait pas plus pour perdre le contrôle. Je l'imaginais déjà nue depuis trop longtemps contre mon corps. Au diable son mariage. J'allais la posséder toute la nuit s'il le fallait.

Encore et encore.

Je la pris par les fesses et la souleva du sol. Elle fut d'abord surprise mais retrouva vite ses gestes lorsque je sentis ses jambes autour de ma taille. Je posais violemment mes lèvres sur les siennes. Elle répondit à mon baiser avec le même rythme endiablé. Je ne me sentais pas capable d'être doux avec elle ce soir. Pas après 5 ans loin d'elle. Elle poussa un léger cri lorsqu'elle sentit son dos touché le lit.

Ses cheveux étaient encore coiffés même s'ils étaient ébouriffés. A la lumière de la lune, je pouvais tout de même apercevoir des rougeurs sur ses joues. Mon dieu, qu'elle était belle. Elle gigota sous moi montrant son impatience. Je ris doucement en penchant mon visage dans son cou alors que ses mains se baladèrent dans mes cheveux bruns. Je voulais profiter de chaque parcelle de son corps.

Je multipliais les baisers dans son cou lui arrachant de doux soupirs de contentement. Je baladais mes mains pour retirer sa robe. Elle se cambra légèrement pour que je puisse la retirer aisément. Je connaissais son corps par cœur. Ses points faibles, ses zones très érogènes et même l'emplacement de ses grains de beautés. Malgré les années qui sont passés, je ne m'en lasserais jamais. Je l'ai tant parcourue de mes doigts et même de ma bouche que je ne m'ennuyais pas de le redécouvrir à chaque fois. Je me débarrassais de sa robe que je balançais à l'autre bout de la pièce. Elle était maintenant plus qu'en corset et en petite culotte. A cette vue, je me mordais les lèvres de désir.

Soudain, je me sentis me propulsais sur le côté. Elle se mit sur moi avec un sourire et commença à déboutonner ma chemise.

_ Et bien, et bien, on est impatiente... Me moquais-je.

_ Je préfère avoir le dessus, Majesté.

L'entendre dire « Majesté » m'excitait encore plus que je ne l'étais déjà. Je me sentais gêné dans mon pantalon. Elle le sentit tout de suite lorsqu'elle commença à se frotter contre moi. Je grognais de plaisir et lui maintenais les fesses pour qu'elle fasse vite. Moi aussi, j'étais impatient. Elle retira ma chemise en se frottant encore contre moi. Après l'avoir balancé pour rejoindre la robe, elle posa ses lèvres sur les miennes. Je sentis sa langue me titiller le passage pour passer au niveau supérieur. J'entrouvris mes lèvres et caressais sa langue dans un rythme enragé.

Elle se détacha de moi et se releva légèrement. Elle m'observant doucement puis caressa mon torse à l'aide de ses mains. Elle contourna mes muscles, hypnotisé par eux.

_ Il t'avait manqué ? Lui demandais-je.

_ Tu as pris beaucoup de muscles depuis.

Je me relevais en posant mes coudes sur le lit. Elle continua de dessiner sur mon torse à l'aide de ses doigts d'un air pensif. Ma main vint caresser sa joue avec douceur.

_ A quoi penses-tu ?

_ A toutes ces femmes.

_ A toutes ces femmes ?

_ Celles avec qui tu as eu des relations pendant mon absence.

_ Elles ne t'ont jamais égalé.

Elle haussa les épaules de façon septique. La voyant soudainement si triste, je me relevais en position assise. Même en étant assis, je paraissais si imposant face à elle. Elle resta assise sur mes genoux, ses jambes de chaque côté de ma taille. Elle se mordait la lèvre, comme intimidée.