Salut les Wattpadiens !
J'écris ce petit message pour vous informer que « Maëlys et le miroir » est le deuxième volume de la série « Le syndrome des Dumas ».
Avoir lu le tome 1 « Anaïs et l'aimant à ennuis » n'est bien sûr pas obligatoire pour comprendre cette histoire puisqu'il y a changement des protagonistes, mais je pense que c'est tout de même conseillé car en plus de lire les aventures de la petite sœur de notre héroïne, vous découvrirez le caractère de cette dernière.
Voici la couverture et le résumé du premier volume :
À vingt ans, Anaïs Dumas est étudiante en troisième année de psychologie. Pour celle qui a toujours été attirée par les sciences humaines, cette formation est parfaite. Oui sauf que... Depuis quelque temps, la jeune femme est à la recherche d'un remède contre le syndrome de l'aimant à ennuis, pathologie qu'elle a inventée et dont elle se dit être atteinte, du moins métaphoriquement.
Il faut dire qu'entre le fait de devoir supporter des parents disjonctés, une sœur parfaite source de son complexe d'infériorité, une voisine se prenant pour la reine de sa résidence et plus encore, un crush au boulot qui ne semble même pas connaître son prénom et une tendance obsessionnelle à analyser psychologiquement tout le monde, Anaïs n'a pas la vie facile.
Et cette dernière devient encore plus chaotique le jour où la pauvre étudiante fait la découverte d'un certain invité surprise sur son pas de porte, ou presque. Bavard et joyeux, il s'appelle Clément Hamon et est son nouveau voisin de palier. Le problème, dîtes-vous ? Et bien, Clément est un garçon charmant, si on aime les choucroutes et les regards de chien battu, mais également son premier et dernier coup d'un soir. Alors évidemment que lorsque l'on se met à croiser tous les jours celui que l'on essaie d'oublier depuis quatre mois, c'est plutôt difficile d'arriver à ses fins.
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Le syndrome des Dumas 2 - Maëlys et le miroir (Terminée)
ChickLitMaëlys est belle, intelligente et gagne bien sa vie. Oui en effet, celle qui est source du complexe d'infériorité d'Anaïs est parfaite. Du moins c'est ce que la banquière se dit tous les matins lorsqu'elle voit son reflet dans le miroir. Pourtant...