Battue, sauvée par sa voisine

Chapitre 2:

- Coucou je t'ai fais une surprise. Valérie entre avec Ayden et Luna.

- Mes bébés, vous m'avez tellement manqué.

- Ze t'aime maman.

- Moi aussi ma puce, alors vous avez étez sage avec Valérie et Alice.

- Oui, on a même pas fait de bêtise.

- Merci de les avoir garder. Je vous dédommagerai toutes les deux de les avoir garder.

- C'est normal, tu ne nous doit rien du tout.

Après avoir passer une demi-heure avec les petits, Valérie repart chez moi. J'ai à parler avec Arizona.

- Je n'ai rien voulu dire devant les petits,mais tu as pleuré avant qu'on n'arrive, n'est ce pas?

- Oui, il est temps que je te raconte mon histoire.

- Prend le temps qu'il te faut, je t'écoute.

- Il y trois ans quand mes parents m'ont virer de chez eux car j'étais enceinte de Luna, tout allais bien entre nous jusqu'à la naissance de la petite. A sa naissance, Mike à commencer à me frapper, plus les mois passés, plus il me frappait de plus en plus souvent. Il n'oublier jamais de fermer la porte à clé, sauf une fois mais il m'a rattraper au bout de cinq kilomètre. Mais dans les derniers mois, malgré que j'étais enceinte d'Addison il me battais, jusqu'à m'obliger à coucher avec lui. Alice, j'ai tellement peur de lui, qu'il me retrouve.

-Ma puce, regarde moi ça va aller. Tu es en sécurité ici, il te retrouvera plus.

- Alice, j'ai peur. J'arrive...plus.... à respirer.

- Regarde moi, Docteur Montgomery aidez moi.

- On va lui donner un tranquilisant. Voila, elle dort. Pourquoi à t-elle fais une crise de panique?

- Elle m'a racontée pourquoi elle s'est enfuie de chez Mike. Il l'a battais, elle à tellement peur qu'il l'a retrouve, qu'elle à fait une crise.

- La pauvre, si vous voulez on à une psychologue Mme Turner qui est vraiment bien, ça peut peut-être lui faire du bien.

-Oui, je lui proposerai. Au dernière nouvelle, elle détestais les psychologues mais si je lui conseille d'aller la voir, je pense qu'elle le fera.

-J'étais venu vous dire qu'Arizona peut sortir dans deux jours, je pense que du repos chez vous au lieu de l'hôpital lui fera du bien et vous pouvez aller voir Addison à partir de cet après-midi.

-Deux bonnes nouvelles, je vais l'annoncer à Arizona quand elle se réveillera.

- Deux heures après, je vois enfin les yeux d'Arizona s'ouvrir.

- Tu sais que tu m'a fais peur.

- Je suis désolée, Alice mais j'ai tellement peur de lui.

- Je sais, mais il ne peut plus rien te faire. J'ai deux bonnes nouvelles, tu peux aller voir Addison dès cet après-midi avec moi et tu peux sortir dans deux jours. Mais pourquoi tu pleure?

- Je suis contente mais je vais aller ou avec mes enfants quand je vais sortir.

- Tu crois que je vais te mettre dehors, tu viens chez moi. Tu as besoin de repos et je refuse que tu cherche un appartement.

- Merci, Alice. Je ne sais pas ce que je ferai sans toi.

- Tu ferais la même chose pour moi. Et Callie, va être contente de te voir.

- Moi aussi, elle m'a manqué pendant ces trois ans.

La matinée passe lentement, mais enfin l'après-midi arrive, le moment ou nous allons faire la rencontre avec la petite Addison. Je pousse Arizona jusqu'à la néonat, elle est encore trop faible pour marcher, les infirmières nous donne des blouses pour ne pas amener de microbes à la petite.