J'ai l'impression que ça fait des heures que je suis enfermée. J'en ai marre, je veux m'échapper. M'échapper de cette prison qui me retiens entre ses murs, au milieu de gens que je voudrais éviter, de tous ces murmures qui me détruisent.
je me lève, mes lèvres tremblent et m'a voix se briser. Les larmes me montent au yeux. Ils me détestent, autant que je les détestés. Leurs rires résonnent dans ma tête, piétinant le peu de résistance qu'il me restait.nje me détourné, retourné dans mon petit monde. Les minutes passent lentement, je sens les regards et entend les chuchotements. Je veux rentrer. La douleur me prends au coeur, piétine mon âme.
Laissez moi, laissez moi disparaître. Mourir, rejoindre les étoiles.
Le regard de cette fille qui me juge, le rire de ces gens qui se moquent. Je veux m'échapper, m'envoler, quitter ces gens qui m'en haïssent et les laisser derrière moi. Passer la porte, quitter ce masque, redevenir moi même. Je veux laisser les larmes couler sans risquer s'être jugée.
J'ai honte de moi même et de sentir le regard des gens me brûler, je me consume sous leurs rires et mon corps rejette mon âme qu'il déteste plus que tout. Le monde me détruit, détruit chacun d'entre nous, supprimant nos personnalités, dont on a honte, pour rentrer dans la normes, vivre avec des physique imposés par la société. Être nous même est un crime, les moqueries sont nos peine qui nous détruisent.
je me renferme dans mes larmes, et, cachée derrière un écran, je redeviens moi-même.
Mais cette prison m'enferme, m'éloigne de ceux que j'aime.
je veux disparaître, et tout abandonner. Laissez moi partir.
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Voilà comment je vois les cours, le collège, le monde.
