Kidnapping De Mon Cœur

Chapitre 17

(PDV de Seydou)

Je ne sais même pas ce qui c'est passé. En un moment, je me retrouve seul les bras ballant.
Je ne sais pas ce qui m'a pris de comparer sa poitrine avec celle des autres femmes que j'ai connu.

-Mais qu'est ce qu'il y a, t'est jalouse ou bien.

Elle ne répondit même pas et traça sa route jusqu'au salon qu'il ouvrit. J'étais toujours derrière elle. Elle ne me répondit même pas et voulu monter les escaliers alors je la tira vers moi et elle se retrouva collée à moi et nos regards s'accrochèrent.

-Écoute moi bien, depuis notre collision dans la cour de l'école, je ne pense qu'à toi, tu me fais perdre la tête. Quand tu est près de moi, mon cœur bat la chamade et lorsque tu t'éloigne de moi, je ressent un grand vide dans ma poitrine qui ne se comble que lorsque tu est près de moi. Je ne peux plus toucher d'autres filles car lorsque je les touche j'ai l'impression de te trahir. Hier j'ai rompu avec mon sexfriend Adji car je ne ressentais plus rien pour elle même quand on s'embrassait. Tu sais pourquoi j'étais en colère ce matin? Non, j'ai passé toute la nuit à me retourner dans mon lit. Quand je t'ai quitté hier, j'ai su que j'étais déjà accro à toi alors ça m'a énervé et j'avais aussi conscience que tu étais mon élève et que d'après les règles de l'école, nous n'avons pas le droit d'avoir ce type de relation. Mais aussi du fait que tu est mineur et qu'on a cinq ans d'écart. Mais quand je t'ai vu à l'arrêt de bus aujourd'hui avec les yeux rouges et larmoyants alors j'ai su que je n'aurais rien à foutre des autres et des règles. Ce n'est que mon amour pour toi qui compte, JE T'AIME comme un fou, je n'ai jamais dit ces mots à une femme, tu est la première et j'espère que tu sera la dernière.

Je n'eus même pas le temps de reprendre ma respiration qu'elle me sauta dessus et plaqua nos lèvres. On échangea un baiser fougueux, qui montre toute l'amour que nous ressentons l'un pour l'autre.

Elle relève la tête avec des larmes dans les yeux et me dis:

-Je t'aime moi aussi, depuis le temps que j'attendais ce moment je désespérait même que tu ne me le dis jamais. Je t'aime comme une folle et oui je suis jalouse, je veux que tu ne regarde que moi et aucune autre fille. Je t'aime je t'aime dit il en me smackant sur les lèvres.

J'étais tellement ému que j'avais peur de laisser échapper des larmes de bonheur. Je lui pris le visage et lui essuya les larmes qui avaient mouillé ses joues avec ma langue.

-S'il te plaît ne pleure pas dis je en déposant des baisers sur son visage. C'est toi que j'aime et personne d'autre.
Veux tu devenir ma petite amie.

-Oui Oui je le veux, me dit elle en me sautant au cou.

Je l'a pris dans mes bras et la serra. J'étais l'homme le plus heureux au monde.

-Mais j'ai des conditions : je voudrais qu'on garde notre relation secrète, tu ne le dis à personne et moi non plus. Et pour finir je voudrais me préserver jusqu'au mariage. Je ne veux pas perdre ma virginité, je voudrais l'offrir à l'homme qui sera mon mari. Bien sur, tu auras droit à des baisers, des caresses et des câlins si tu veux.

-Bien sur que je le veux quel homme refuserai tes baisers et tes caresses ? Et je respecterai tous tes choix.

D'après ce que j'ai pu comprendre c'est qu'elle voulait se préserver jusqu'au mariage et je respecterai sa décision. Mais un chose est sûre c'est que sa virginité me reviendra, je ne la laisserai sous aucun prétexte à d'autres hommes. Le seul fait de l'imaginer dans les bras d'un autre homme me met en rogne.

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