f o r t u i t y - a.i

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Ashton Irwin

Je me réveille, Lucy était en train de dormir paisiblement en train de dormir à côté de moi. Calé dans mes bras, je l'observe à ma guise. J'étudie son visage, ses cheveux, son corps.

Elle se réveille et me fait un sourire dès qu'elle m'aperçoit. Un beau sourire digne d'une pub. Elle s'étire et se frotte les yeux. Je me penche pour embrasser ses lèvres.

J'écrase mes lèvres contre les siennes, voulant rester dans ce lit à tous jamais avec elle. 

— Tu as bien dormi ? Je m'enquit.

—  Oui tellement mieux que dans mon lit !

Je me réveille le cœur battant à mille à l'heure. Je me frotte les yeux et passe une main dans mes cheveux. Je prend mon téléphone et regarde l'heure.

14H30.

Je venais de rêver de Lu'. Je commence à perdre la boule. J'ai rêver de Lu' ! C'était si vrai.

Je m'extirpe de mes draps et me dirige​ vers ma salle de bain tout en repensant à ce rêve étrange. Je prend une bonne douche froide et enfile un jean noir propre troué sur le deux genoux, ainsi d'un t-shirt noir.

En descendant les marches j'entends des voix et des éclats de rire.

Tous le monde était en train de ranger le salon sauf Luke qui se plaignait d'avoir trop mal de la tête.

Lucy s'adresse à moi :

— Bien dormi ? Se renseigne.

Sa voix me refait penser à mon rêve et je me mets à rougir.

— Très bien. Je peux vous aidez ? Je questionne.

— Oui tu as qu'à m'aider à nettoyer le jardin, si tu veux.

Elle prend des sacs poubelles par terre et sort. Je la suis, quand je vois le jardin, je regrette rapidement la fête.

Le jardin était jonché de je ne sais quoi. Les gens avaient piétinés les parterres de fleurs notamment, en gros, le chaos.

— On va en avoir pour des heures, je me plains.

— Pourquoi je me suis pas bourré la gueule comme Luke. Ça m'aurait évité le ménage, peste aussi Lu'.

Elle se penche et ramasse des gobelets pour les mettre dans son sac poubelle.

Lucy Black

On a mit plusieurs heures à nettoyer le bazar. Tout était à sa place ou presque si on faisait exception des objets cassés qui avait eu.

Étendu sur mon lit en étoile, je me repose tout en pensant à la soirée ou plutôt la sortie avec Ashton.

Il a était tellement gentil.

Je m'étais tellement sentis bien en haut à voir la ville.

La sonnerie de la porte retentit dans toute la maison, me faisant sortir de ma rêverie. Je pensais que les garçons allaient ouvrir vu qu'il était dans le salon mais j'eus tord. Je me lève et courre jusqu'à la porte d'entrée. Les garçons n'ont pas bougé le petit doigt préoccupé à jouer à la console comme si rien n'était.

J'ouvre la porte et découvre une jeune fille brune.

— Bonjour, elle fait tellement doucement.

Elle se met à rougir. Elle était brune, cheveux mi long, yeux vert. Elle porte un jean noir déchirés aux genoux et un sweat noire capuche, sa tenue faisant contraste avec sa peau pâle. Je me pousse de l'entrée et la laisse entrer.

Je me présente :

— Lucy et toi ?

Elle était toujours rouge désormais.

— Lény.

Elle était timide. Je souris.

— Tu es une amie des garçons ?

— ... euh.... non... je suis là car Luke m'a invité.

— HEMMINGS BOUGE TES FESSES IL Y A QUELQU'UN POUR TOI !

Les garçons se détournent de l'écran et regardent l'inconnue.

Luke se lève d'un bon enlevant son casque et embrasse la nouvelle venue.

Attendez il l'embrasse ?

Mais j'ai ratez un épisode là. Fasse à notre incompréhension Luke se justifie :

— Les gars je vous présente ma petite amie Lény. On s'est rencontrée à la soirée.

C'est rapide ? Cela semblé m'étonner que moi, car les garçons reprennent leur partie et Luke entraîne sa copine à l'étage sûrement dans sa chambre.

— Vous la connaissez ? Je questionne.

— Pas du tout, sûrement une énième conquête, répond Calum.

[ Un mois plus tard ]

La petite amie de Luke ne s'avére pas être une énième conquête comme avait dit Calum mais quelque chose de sérieux d'après ce que j'ai vu. Assise sur mon balcon par terre je regarde les places pour un éventuel voyage à Los Angeles.

Je sélectionne les dates et les heures. Je n'achète pas les billets car je sais toujours pas si mon patron me laisserait partir une semaine. Je soupire d'énervement et part toquer à la porte d'Ashton. Ashton et moi s'étaient beaucoup rapproché durant ce mois.

— Entrez, me parvient la voix du bouclé de derrière la porte.