Chapitre 14

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       Une semaine passe... Jules n'est pas revenu en cours, il a passé la majeur partie de son temps à l'hôpital. Les médecins on l'air assez confiant sur son état. Il prend un traitement assez lourd mais ça en vaut la peine apparemment. Je vais en cours ce matin mais cette ares midi je vais voire Jules chez lui. Je prend deux fois plus de notes et deux fois mieux car toute les notes que j'ai, je les lui photocopie chez lui et lui rend. Ça me rend malade de voir une tel injustice s'abattre sur lui... Je voudrais vraiment trouver un moyen de parler a Jules de l'inconnu mais je ne trouve jamais vraiment le moment car quand je le vois je veux vraiment profiter de lui a fond et ne pas penser a tout les petits trucs qui me pourrissent la vie au quotidien. Enfin, le plus important pour l'instant ce n'est pas mes petites histoire de texto mais bien de Jules. Apres tout je dois vraiment prendre soins de lui il a besoin de moi et je le lui ai promis.

INCONNU- ON NE VOIT PLUS TON CHÉRI AU BAHUT.

Ça me rend folle de rage. Je n'ai pas que l' inconnu a qui penser. Je dois vraiment me centrer sur Jules un point c'est tout.

MOI- TES PETITS MESSAGES RIDICULES NE ME FONT ABSOLUMENT PAS PEUR.

Bon ce n'est pas une énorme répartie mais il y'a quelques semaine, il a bien dis qu'il ne parlait pas à Aline tout simplement parce qu'elle avait déjà tout oublié et qu'elle était passé à autre chose. Avant Jules, cette histoire me faisait toujours culpabiliser. Je ne m'en remettais pas. Bien sur quand j'y repense, je m'en veux toujours mais Jules a prit une place importante pour moi. Je ne repensais plus à cette été jusqu'a ce que cet inconnu de merde se pointe.

Je sors de chez moi pour me diriger vers le lycée. La route paraît bien plus longue maintenant que Aline et Jules ne sont pas là... Devant le lycée, j'aperçois Aline et Tom en pleine scéance de becotage à 8h du matin bien sur. Je m'interpose en quelques sortes entre eux (je ne fais que me placer à côté d'eux et je commence a tousser).

Aline- Oh désolé je ne t'avais pas vu arriver.

Moi- M'interposer entre un couple en plein moment romantique ne me dérange pas, par contre le fait que ça ai sonné il y'a environ cinq minutes et de devoir arriver en retard de m'enchante pas trop. Je loupe assez de cours comme ça...

Tom- D'ailleurs tu en loupe de plus en plus qu'est ce qui t'arrives petite Aline?

Et merde. Je n'avais évidemment pas pensé à ce que je pouvais répondre à cette question.

Moi- Mes problèmes de dos ce sont légèrement aggravé je dois faire de plus en plus de radio et de kiné alors voilà.

Tom- Ah merde. J'espère que ça va s'améliorer alors.

moi- Oui ne t'inquiète pas ça devrait passer.

Aline- Et Jules ses migraines?

Moi- Bof, ca ne s'améliore pas trop lui. Elles ne sont pas très forte mais de plus en plus fréquentes alors pour les cours c'est compliqué.

Tom- Ah. Bah dis donc les amoureux vous vous voyez quand dans tout ça?

Haha. Si il savait.

Moi- On fait du mieux qu'on peut. Bon on monte on va arriver en retard et on a français là.


En arrivant à la salle, toute notre classe étais encore rangée devant la classe. Je vais rejoindre Elise une amie qui est tout devant pour lui parler un peu. On était fort proche avec cette fille mais au fur et à mesure de l'année on s'est un peu éloigné. Elle al'ai contente de me voire arriver.

Moi- Salut comment tu vas?

Elise- Oh Léna ça fait longtemps! Bah écoutes moi ça va très bien et toi?

Moi- Plutôt bien oui.

Mise à part l'état de Jules, mes cours que je vois de moins en moins, l'inconnu et les souvenirs qui reviennent? Oui à part ça ça va.

Notre conversation est coupé nette par l'arriver de Mme Melrose la professeur de Français. Je part m'installer au troisième rang comme d'habitude et sors mes affaires. Je sens alors un poing me frapper légèrement sur l'épaule. C'est Aline qui est assise derrière moi.

Moi- Qu'est ce que tu as? Tu as besoin de me frapper comme ça?

Aline- Tais toi et regarde le tableau.

Je ne comprend pas trop pourquoi mais je le fais quand même non sans lever les yeux au ciel. Quand mes yeux se posent alors sur le tableau, c'est tout mon corps qui s'engourdit. Je sens tout les regards penchés sur moi et beaucoup de chuchotements.

"Léna est une salle menteuse. Ne cherchez pas à nouer d'amitié avec elles vous seriez surpris de savoir ce qu'elle à causer l'été dernier."

Ton passé te resteraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant