Chapitre 18 :

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Chapitre 18 : 

Pdv Hermione : 

Pansy fronça les sourcils en me regardant. 
-Je ne veux pas en parler. Je ne veux pas écouter vos bêtises. Et dire, que je te pensais plus intelligente que ça... 
Je serrais légèrement les dents. 
-Je suis intelligente, c'est vrai. 
-Modestie, chuchota mon frère. 
J'eu un léger sourire. 
-Et je sais que c'est dur à accepter et à comprendre. Mais tu ne peux pas et tu ne dois pas rester dans l'ignorance.
Je voyais dans son regard qu'elle hésitait. 
-Je... 
-On ne te demande pas de faire partie d'une secte ou quelque chose comme ça. Nous voulons juste te donner des informations sur ta famille, sur ta naissance, sur ta vie...

Elle prit une grande inspiration. 
-Je veux une preuve. 
Je hochais la tête, puis je fermais rapidement les yeux. 
Quand, je les rouvris une table était apparue, des potions étaient étaler dessus.
-Véritasérum ? demanda-t-elle.
-Connais-tu un autre moyen ? dis-je en me dirigeant vers la table.

J'attrapais la potion et la portée à mes lèvres.
Je l'avalais d'une traite.
-Comment t'appelles-tu ? demanda-t-elle.
-Hermione Sally Jackson.
-C'est quoi le principe ? chuchota Percy.
-Elle ne peut dire que la vérité, répondit Annabeth.

Pansy s'approcha de moi.
-Comment être sûr que tu ne simules pas ? demanda Pansy.
-Poses-lui une question, une question sur un secret, sur ses arrières-pensées, dit Clarisse avec un sourire en coin.
Je la fusillais du regard.
-Qu'est-ce que tu penses de... Ronald Weasley.
Mes lèvres commencèrent à parler toute seule.
-C'est mon meilleur ami, je l'adore, il est comme un frère pour moi. Il a toujours était là, à l'inverse de mon vrai frère. Malheureusement pour lui, ce n'est qu'un crétin. Il mange comme un porc. Et je suis sûr qu'au fond de lui, il craque pour Harry. 
Je mettais automatiquement ma main sur ma bouche, alors que Pansy éclatait de rire, suivit de près par les autres. 
Même si Percy fessait un peu la tête. 

-C'est bon, je te crois... Alors, dis-moi... Qui es-tu ? 
-Hermione Sally Jackson, fille de Sally Jackson et Poséidon, dieu de la mer. 
On entendit un coup de tonnerre. 
Pansy sursauta. 
-C'est rien, dit simplement Percy. 
-Et donc... Qui suis-je ? demanda-t-elle avec un tremblement dans la voix. 
-Pansy Parkinson, fille de Arès, dieu de la guerre et de Madame Parkinson. 
Un coup de tonnerre retentit de nouveau. 
Elle serra lentement les dents et poussa un léger soupir. 
-D'où viennent-ils j'imagine que ce n'est pas d'Ismack... 
-De la colonie des Sangs mêlés, l'endroit où les personnes comme nous peuvent vivre en toute sécurité, récitais-je.
-Sécurité ? On risque quelque chose ?
-Des monstres. Les monstres de la mythologie sont bien réels. Ils nous pourchasseront jusqu'à la mort de l'un ou de l'autre.

Elle fronça lentement les sourcils, puis se tût pendant un instant.
Un sourire se dessina finalement sur ses lèvres.
-C'est plutôt cool, finalement...
 Clarisse sourit légèrement.
-Mais... Une dernière question, dit Pansy en fronçant les sourcils.
Je me préparais psychologiquement à dire toute la vérité une fois de plus.
-Tu... Tu aimes mon meilleur ami, n'est-ce pas ?
-Oui, répondis-je sans hésitation.
Pansy eut un grand sourire.
-C'est bien, on apprend des choses nous aussi... dit Annabeth en souriant
Je vis une légèrement grimace aux filles. 

-Les effets devraient bientôt se dissiper... informa Annabeth en regardant sa montre. 
-Dommage... Je te demanderais bien... Qu'est-ce que tu rêves de faire à Drago ? 
Mon visage vira au cramoisi. 
-Je rêve de ... Ah non, je peux finalement garder cette pensée, ajoutais-je avec un sourire. 
Pansy souffla, déçue. 

-Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ? demanda Pansy légèrement gênée. 
-Percy et Annabeth voulaient nous parler, ils me l'ont dit... N'est-ce pas ? 
Percy se racla la gorge. 
-Euh... Oui... 
J'allais m'installer sur un fauteuil, en fronçant légèrement les sourcils.
-Alors ? Qu'est-ce que vous attendez ? demandais-je. 
Pansy se dandina, mal à l'aise. 
-Vous comptez me faire combien de révélations ? demanda-t-elle exaspéré. 
-Ne t'inquiète pas... dit Clarisse en ricanant. Nous nous n'avons pas de demi-frère cyclope, contrairement à Percy et Hermione... 
-Quoi ? relevais-je. 
Percy leva les yeux au ciel. 
-Nous parlerons de Tyson plus tard, dit-il en s'installant en face de moi. 
Annabeth s'installa sur ses genoux. 

-C'est assez difficile à dire, dit Percy mal à l'aise. 
Clarisse leva les yeux au ciel.
-Quoi ? Tu commences à me faire peur, chuchotais-je. 
-Nous devons partir, coupa Clarisse 
-Comment ? relevais-je sèchement. 
-C'est qui, le nous ? demanda Pansy. 
-Soyons sérieux, un groupe de cinq sang-mêlé, dans le même établissement, sans armes...
-Nous sommes morts dans quelques semaines, voir quelques jours... De plus, Hermione, Percy dégagent une autre beaucoup plus forte que la notre... dit Annabeth. 

J'avalais de travers. 
-Vous... Vous voulez que nous... Que nous partions de Poudlard ? dis-je perdue. 
-Je suis désolé, Hermione... Mais, si un monstre attaquait, tu serais morte en quelques secondes, comme Pansy. Tu pourras revenir, dans quelques années. Quand tu auras eu un bon entraînement... 
-Mais... 
-Hermione, tu ne comprends pas. Tu as le choix entre partir avec nous, ou mourir, dit Percy. 
Je poussais un soupir, puis je regardais rapidement Pansy. 
Elle était plongée dans ses pensées. 

Elle releva légèrement la tête et me fixa. 
-C'est d'accord, je n'ai pas échappé à Voldemort pour mourir maintenant... 
Percy hocha la tête. 
-Hermione ? 
Des larmes apparurent aux coins de mes yeux. 
-Ais-je le choix ? 
Percy baissa légèrement la tête. 
-Je vous suivrais...
Clarisse hocha la tête. 
-Nous partirons dans deux jours, conclut-elle. 
Pansy se leva et elles partirent en direction de leur salle commune. 

Je sentis une main sur mon épaule, c'était Percy. 
-Hermy ? 
-Laisse moi... Je veux être seule... 
Il hocha légèrement la tête, attrapa la main d'Annabeth et ils sortirent. 
Mon corps se mit à trembler et j'éclatais en sanglots. 

-Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? me demandais-je à voix haute. 
-Rien ma chérie... Rien... Ne t'inquiète pas... Tout ceci, s'arrangera. Dans cette vie ou dans une autre... 

Je relevais vivement la tête, mais personne n'était présent. 
Personne. 

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Voilà, j'ai oublié de le poster hier... 
(Ne me frapper pas ! )
Mélissa ! 

Frère et sœur...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant