Frère et sœur...

Chapitre 5

Déjà, je vous remercie, encore une fois, de vos retours, ensuite je m'excuses pour l'attente... J'ai eu quelques problèmes chez moi...
Bref...
Je vous laisses tout de suite, avec le nouveau chapitre ! 
Bonne lecture ! 
On ce retrouve comme toujours à la fin ! 

---------------

Chapitre 5 : 

La journée de cours avait était longue après l'incident de ce matin. On m'avait arrêté dans les couloirs toute la journée, les élèves voulaient soit des nouvelles de leur proche, ou des renseignement sur le tremblement de terre. 
Dans les deux cas, je ne savais rien.

Malgré le froid, qui commencer à venir, j'étais toujours dehors, devant le lac noir.
Au loin, le soleil se couchait.
Il était déjà tard, mais il n'était pas encore venu. 
Pourtant, à chaque fois, que j'allais mal, il apparaissait...
Je lançais de nouveau un poisson que j'avais fait apparaître quelques minutes plutôt. 

-Pourquoi, tu te caches, aujourd'hui ? chuchotais-je. 

Je m'approchais doucement de l'eau dans le but de la toucher. Juste avant que mes doigts ne rentrent en contact avec l'eau. Je voyais sa tête apparaître. 

-Salut toi ! dis-je. 
Il émit un drôle de bruit comme pour me saluer. 
-Tu as eu peur du tremblement de terre, pas vrai ? Je te comprends, il m'a fait peur également. 
Je lui lançais un autre poisson, qu'il n'attrapa pas. 
Je fronçais doucement les sourcils. 
-Quoi ? Tu n'aimes plus mes poissons ? 
Le calamar, ce redresse un peu plus, d'un coup, il souleva un de ses tentacules dans le but de m'arroser, ce qui fonctionna. 
-Hey ! dis-je avant de ricaner. Comment je peux expliquer ça moi, maintenant ? 
Il fit un signe de tête vers ma baguette. 
Je me tapais doucement le front. 
-C'est vrais, suis-je bête... Mais... Ce n'est pas une raison pour recommencer. 
Il émit de nouveau un drôle de bruit. 
-C'est ça ! Je te crois ! 
-Hermione ? 
Je fessais disparaître les poissons rapidement. 
Le temps que je repère Harry, le calamar avait disparut. 
-Tu parles à qui ? demanda-t-il. 
-Personne, affirmais-je. 
Il fronça légèrement les sourcils. 
-Tu viens ? C'est bientôt l'heure de dîner... 
-J'arrive, dis-je en ramassant mes affaires. 
         
                                                                                  *************

Je sortais de ma douche rapidement, Ginny taper comme une folle contre la porte. 

-Qu'est-ce que tu as ? demandais-je en m'enroulant dans une serviette chaude. 
-Dépêche ! McGonagall, attend tous les Gryffondor dans la Salle Commune ! 
-Quoi ? Pourquoi ! 
-Je ne sais pas, dépêche, c'est tout !
Je pestais, j'enfilais rapidement mon pyjama, constitué, d'un top blanc et d'un jogging noir. Je mettais également mes chaussettes noires et j'attachais mes cheveux trempés en queue-de-cheval.

Je descendais rapidement les escaliers.
McGonagall était bien là, debout devant a cheminé.
-Bien. Maintenant, que Miss Granger est là, vous pourriez me suivre. Le directeur souhaite vous parler.
-Mais... Il est vingt-deux heures, dit Ron.
-Je le sais, Monsieur Weasley. Suivez-moi.  
J'attrapais ma cape qui traînait sur un fauteuil. 
Nous descendions les escaliers. 
Quand nous arrivons dans la Grande Salle, nous remarquons qu'il n'y avait pas que les Gryffondor de convoquer, tout les élèves étaient là, ils étaient pratiquement tous en pyjama.

Je m'installais près de Ginny. 
En face de moi, Harry et Ron prirent place, Percy s'installa à la gauche de Ron. 
Le directeur se leva pour ce placer devant les tables des enseignants. Il lança un sonorus à sa voie et demanda le silence. 

-Je suis désolé de vous convoquer à une heure pareille, commença-t-il.

Je fis un haussement de sourcil à Ginny, elle y répondit par un léger sourire.

-Nous avons plusieurs informations à vous transmettre. Tout d'abord, nous sommes heureux de vous apprendre, que les élèves qui ont étaient blesser pendant la secousse de ce matin vont mieux, ils seront en cour lundi. Le château à également était renforcé. Les prochaines secousses ne nous toucherons pas, vous pouvez dormir tranquillement. 

Il marqua une pause.

-Pour finir, je vais laisser la parole à nos deux préfet-en-chef. Ils vont vous dire une nouvelle qui devrait donner un peu de joie à cette journée. Rester silencieux pendant qu'ils parlent, Miss Granger, Monsieur Malfoy. 

Je regardais la table des Serpentard. 
Je trouvais facilement Malfoy, il était au centre et tout les Serpentard le regarder. 
Il se leva lentement, absolument pas gêner par son manque de tee-shirt. 
Je me levais de la table des Gryffondor, je remontais l'allée quand Malfoy arriva à mes côtés. 

-Dît, tu sais ce que l'on doit dire, j'espère ? chuchota-t-il. 

-Non... Je croyais que l'annonce du bal était jeudi prochain, je n'ai rien préparer... 

-T'inquiètes... On va gérer, comme d'hab'.
 
Je sentais dans sa voie, qu'il essaye de ce convaincre avant tout.

Nous nous tournions vers les élèves, un léger sourire sur les lèvres. 
Il se racla la gorge. 
-Bonsoir à tous ! Nous avons en effet, une merveilleuse nouvelle à vous annoncer ! 
-Cela n'a pas était facile, mais nous avons réussi ! ajoutais-je. 
-En effet, le professeur Dumbledore est d'accord, pour organiser un bal. 
-Il se déroulera le soir d'halloween, à partir de dix-neuf heures, ici même. 
-Les déguisements sont obligatoires. Si vous n'êtes pas déguisé vous n'êtes pas accepté, compléta-t-il. 
-Les premières, deuxième et troisième années ont l'autorisation de rester jusqu'à vingt et une heures seulement. Les autres ont l'autorisation jusqu'à minuit. 
-Ceux qui seront surpris à tricher seront sévèrement punis. 
-Comme ceux qui emmèneront de l'alcool, ajoutais-je en souriant.

Malfoy tourna rapidement sa tête vers moi, les sourcils fronçaient ce qui provoqua le rire de tout les élèves. 
-Bonne soirée ! finis-je en retournant vers ma table. 
Malfoy me rattrapa aisément.
-Hey ! 
Je fis mine de ne pas l'entendre, à cause du bruit de la Grande Salle. 
Il m'attrapa par le bras et me força à me tourner. 
Je plantais mon regard dans ses yeux. 
-Quoi ? 
-On n'avait pas dit non, pour l'alcool. 
Je roulais des yeux et pris un air agacée. 
-Franchement, Malfoy... Je ne m'en souviens plus... Trop tard. 
Il eut un sourire en coin. 
-Cela se voit Grangie. 
-Ne m'appelle pas Grangie. 
-Et pourquoi cela Grangie. 
-Ce n'est pas mon nom. Alors ? Qu'est-ce qui se voit ? 
Il fit un sourire en coin. 
-Ton aptitude à mentir.
J'ouvrais la bouche avec un air que j'espérais choquais.
-Je ne mens jamais, mentis-je.
Il roula des yeux.
-Bien sûr, dit-il. 
-Maintenant lâche moi, j'ai à faire... 
Il lâcha mon bras. 
-Encore un mensonge, dit-il dans mon dos. 

---
Voilà ! 
On ce retrouve Samedi je penses  ! 
Bisous !