in my blood

Chapitre 2

~2 septembre, 8h42, Dunbarton high school~

La professeure dit mon nom : "Caroline Vandes" je m'avance où elle indique la place et je m'assoie. Seul bémol, une fille m'a suivit et me dit que c'est également sa place. Je ne comprend pas et elle non plus, nous regardons la professeure d'un air interrogateur.

Cette dernière nous demande : "Pourquoi êtes vous à deux les filles ? Je n'ai appelée que Caroline."

C'est alors qu'avec la fille à côté de moi nous nous regardons dans l'incompréhension la plus totale.

La professeur, qui se nomme Madame Vincent, me demande :

"Mademoiselle au t-shirt blanc, peux-tu te présenter, puis ta voisine fera de même."

Je réponds donc "Très bien, je m'appelle Caroline Vandes, j'ai 17 ans et je suis née le 29 Août"

Je finis juste ma phrase que ma voisine réplique "Mais c'est impossible, je suis Caroline Vandes"

C'est à ce moment que nous comprenons le quiproquo, nous portons le même prénom, donc pour savoir qui est la Caroline qui doit rester dans cette classe, Madame Vincent nous demande :

"D'accord les filles, pour résoudre ce malentendu, laquelle de vous est née le 23 mai ?"

Ce qui n'est pas moi, donc l'autre Caroline dit que c'est elle et je dois donc repartir de la salle où je me trouver pour trouver ma bonne classe.

Au moins, ce problème aura fait rire ce que je pensais être ma classe.

C'est à ce moment que j'ai regrettée de ne pas être venue au porte ouverte, car je ne connais absolument pas ce lycée, il y a des panneaux partout mais impossible pour moi de me repérer.

Je trouve finalement des escaliers et décide de descendre dans le hall pour trouver de l'aide.

Heureusement étant seule une surveillante viens à ma rencontre me demandant pourquoi je ne suis pas dans ma salle, je lui explique alors la situation peu banale qu'il vient de m'arriver.

Elle décide alors avec moi de chercher ma bonne classe, et par chance nous la trouvons assez rapidement, c'est inscrit :
Caroline Vandesi, salle D127.

Ni une, ni deux je monte en compagnie de Jessica, la surveillante, et frappons à la porte.

Un jeune homme, mon professeur sans aucun doute, ouvre la porte, je balaye la salle du regard et ne vois aucun visage qui m'est familier, le professeur me dit alors de m'installer à côté d'un garçon roux, qui, pour ma peine n'est pas excessivement beau.