« Mon fils est mon complice »

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Tant que le Tout-Puissant ne l'a pas encore prévu et décidé, tu restera sur terre que tu le veuille ou non.
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- FAIS PAS ÇA, ARRÊTE ÇA !

Bam Bam Bam 💥

3 coups de feu ?

Yanis se trouver un peu plus loin a droite d'Aden, il a touché son épaule et sa main.

De justesse.

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Aden

J'entendais des voix qui n'était pas du tout familière, des médecins je pense vu qu'ils parlaient de mon cas.

Ils étaient entrain de chauffer ma tête, ils m'énervaient, je sais pas pourquoi mais leurs voix m'énervaient.

J'ouvre les yeux et j'avais raison, 5 médecins devant moi qui parlaient.

- Et si vous alliez fermez vos gueules dehors ? Juste pour tester.

J'étais d'une putain de mauvaise humeur.

Ils me regardent et sortent tous, sauf un seul.

Doc' - Bonjour monsieur Keynda, je suis votre docteur traitant, docteur Teyman, est-ce que vous vous sentez bien ?

- Ouais, je peut rester seul ?

J'attend même pas sa réponse.

- Merci.

Doc' - Je reviens vous voir plus tard.

Et il sort, je me retourne de façon a regardé la fenêtre. J'ai regardé mon épaule et ma main.

Merci Yanis, je me rendais même pas compte de la connerie que j'allais faire, j'étais dans un autre monde, en temps normal j'allais jamais faire ça, jamais.

Pour une fille en plus.

La blague.

Je regarde a travers la fenêtre, il pleuvait encore mais moins que tout a l'heure, je ne voulais parlé a personne, voir personne, touché personne, appelé personne, bref, je voulais pas avoir de contact.

La porte s'ouvre.

Infirmière - Je vous est ramener votre plat monsieur Keynda.

Je répond pas, je l'a vois déposer le plat sur la table face a moi, elle se retourne et s'en va, bon débarras.

Je me sentais arrogant et j'étais bien comme ça, j'en ai rien a foutre de ce que les gens vont pensé. Du gentil Aden qui a changé pour devenir un être méchant.

J'en ai totalement rien a foutre.

Y'a plus de gentil Aden, le lion reviens a grands pas là.

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Je me fais réveiller par des caresses.

Maman.

Sans ouvrir les yeux, je lui pose une question :

- T'est seule ?

Maman - Oui chéri, il n'y a que moi.

Sa voix était tremblante.