Tueuse à Gages : Le Mur Tueur [Terminé/Corrigé]

Chapitre 34 : Le coffre s'entrouve

[Au collège, dans l'après midi le 20.09.2010 à 1:11 PM]
      Les étudiants étaient petit à petit ramenés chez eux. Ketsueki faisait partit des dernières à rentrer chez elle. Arrivé à destination, elle constata que ses parents n'étaient pas là. Ils doivent encore être au bureau. Si ça se trouve ils ne sont même pas encore au courant de ce qu'il s'est passé. La jeune fille se secoua la tête et se dirigea d'un pas rapide vers sa chambre. Elle verrouilla la porte derrière elle et ferma le store de sa fenêtre, elle alluma sa lampe de chevet et souleva le matelas de son lit qu'elle déposa par terre. Elle saisit ensuite la poignée du fin plancher qui recouvrait le sommier et laissa découvrir un sac plastique noir qu'elle prit. Elle remit la planche et le matelas avant de s'asseoir sur son lit et d'ouvrir le sac. Elle en sortit une tenue complètement noire qu'elle étala sur le lit avant de complètement se déshabiller. Elle revêtit ensuite des sous vêtements spéciaux, possèdent des petits élastique pour ranger des fioles pleines d'acide où d'autre chose. Elle revêtit ensuite un mini short et ouvrit précipitamment le double fond de son placard d'où elle prit deux Taurus Raging Bull de 44 Remington Magnum et les rangea dans leur places respectives sur les deux côtés du short. Elle revêtit ensuite un gilet par balle noir et enfila une armature légère qui servait à ranger un pistolet dans son dos. Elle sortit l'arme de son grand père du placard et la chargea avant de la mettre dans son dos. Elle prit des munitions qu'elle rangea dans son gilet. Une fois cela fait, elle prit un couteau, caché dans sa table de nuit et le rangea dans une partie sur le côté de son gilet. Elle prit des bottes de sécurité noir et les chaussa avant de se précipiter dans la salle de bain et de se faire une queue de cheval rapide. Elle ressortit et ouvrit le tiroir de son bureau d'où elle sortit trois fioles qu'elle rangea dans les élastiques de son soutien gorge. Prête, elle ouvrit le store de sa fenêtre en vérifiant qu'il n'y avait personne et ouvrit la fenêtre d'où elle sauta. Elle se releva rapidement et sortit une petite tige de son gilet qu'elle pointa en direction de ses lèvres : "Je crois l'avoir trouvé ! Je me rend sur place ! Terminé !"
      Après avoir finit son message, elle rangea la tige et commença à courir en direction du collège. Il n'y avait personne dans les rues, comme si tout le monde avait peur de se faire tuer en mettant un pied dehors. Ketsueki s'arrêta environ deux cent mètres devant l'entrée du collège. Si je passe par derrière je me ferai pas grillé par les flics. Elle partit donc contourner le côté du bâtiment pour se retrouver derrière le mur qui la séparait du bâtiment. Elle prit son élan et s'accrocha au rebord. Une fois sur le mur, elle inspecta le sol sûrement miné. Au bout d'une minute elle savait parfaitement où elle devait passer pour les éviter. Elle sauta donc du mur et courut le plus vite possible en suivant son itinéraire. Arrivée à une dizaine de mètres de la porte qu'elle visait, un coup de feu retentit à sa gauche et une mine juste derrière elle explosa dans un fraquas assourdissant. La brune se dépêcha d'arriver à la porte, les coups de feu et les mines qui explosaient n'avaient pas cessé. Au moment où elle ouvrit la porte, la jeune fille se fit propulser en avant par la violence de la dernière mine. Elle se releva en sentant une douleur dans son bras, quand elle regarda elle constata qu'un débrit de métal s'y était logé. Elle l'enleva et put voir que la plaie n'était pas profonde, elle décida tout de même de se diriger vers l'infirmerie et de se faire un bandage rapide. Elle se mit ensuite à monter les escaliers prudemment, un de ses pistolet en main. D'après ce qu'elle avait vue et entendu, les deux hommes devaient être au deuxième étage, celui des troisièmes. C'est donc la que la brune se dirigea. Une fois que ce mec sera mit hors d'état de nuire Hiroshi sera hors de danger. Elle inspira un coup pour se donner du courage et monta les dernières marches pour commencer à marcher le plus discrètement possible dans les couloirs du deuxième étage.