La guerre de l'apocalypse

Chapitre 5 : nos retrouvailles

Le zombie surpris se retourna alors vers l'endroit d'où semblait venir le tir, sauf qu'entre temps j'étais arriver sur le champ de bataille et vous le savez : on ne me tourne pas le dos, j'ai éliminé tous les zombies qui se dirigeaient vers la source du bruit. J'ai d'ailleurs vue maman qui montait en sens inverse du miens droit vers papa. Il ne restait plus que le zombie qui avait l'air d'être au commande à abattre, je l'ai laissé faire pendant que j'allais retrouver le tireur que je soupçonnais maintenant d'être mon frère, c'est vrai qui aurait pu réussir un tir pareil si ce n'est lui ? Je suis arrivé à sa hauteur en 5 minutes et me suis assis à côté de lui le temps de digérait la nouvelle :

« Bonjours petit frère, tu m'as manqué tu sais ?

- Tu sais qu'il reste une cible en bas ?

- Oh t'inquiète, papa y est et maman aussi.

- Tu as raison (dit-il en arrêtant de regarder dans sa lunette)

- Oh tiens tu me regarde enfin. Dis c'est vrai que tu me ressemble.

- On est jumeaux Gabriel réfléchis un peu. J'ai d'ailleurs entendu parler de tout tes exploits cette année.

- Merci frérot ça fait plaisir, en tout cas ton tir était magique, vraiment tu m'impressionne, dis tu sais faire d'autre truc ?

- Jte montrerai tous mes exploits quand on sera à la base, on fera un échange de données

- Quoi ? nos puces savent faire ça ?

- Ben... oui tu ne te souviens pas qu'on entendait les voix d'un de nos parents quand on était petit alors qu'on était avec l'autre ? C'est justement grâce au puce qui sont connecté entre elle.

- Eh ben dis donc... t'en sais des choses, franchement je crois que tu viens de devenir mon frère préféré.

- Je suis surtout le seul. »

Après cette petite discussion nous sommes descendu des hauteurs où se trouvait Mickaël et avons rejoint la base en 5 minutes (il n'était peut-être pas aussi rapide que moi, mais il est sûr qu'il était beaucoup agile que moi), quand nous sommes arrivés en bas, maman embrassait papa, et tout le monde criait de joie, nous sommes entrés dans la base et tout le monde nous applaudissait, le chef en personne était sortis pour nous accueillir et nous applaudir, nous nous sommes alors dirigé vers notre maison pour partager tous nos souvenirs.

Ce qu'il avait fait, ses ressentit, et même ses envies, je savais maintenant tout de lui, comme il savait maintenant tout de moi. Il savait notamment comment j'avais sauvé Claire pour lui c'était mon exploit de cette année, ces puces sont vraiment incroyables, grâce à elles le défaut d'information que l'on voit souvent dans les films (quand par exemple un seul des personnages à accès à une information cruciale et qu'il ne peut pas la transmettre parce qu'il meurt dans la seconde) n'existe plus c'est vraiment impressionnant. Pour notre première soirée ensemble depuis plus de 7 ans, papa et maman cuisinèrent leur plat préféré pour nous le faire gouter : des lasagnes, nous n'en n'avions jamais manger jusqu'à maintenant parce que nos parents se sont promis d'attendre de se revoir pour le cuisiner. La soirée fut magique, nous nous sommes raconté plusieurs histoires le soir (même si Mickaël et moi les connaissions déjà, c'était un vrai plaisir de les entendre à nouveau).

Le lendemain matin, mon frère et moi étions les premier debout : on avait hâte de s'entrainer ensemble pour voir jusqu'où on pouvait pousser les puces. Nous avons essayé toute sorte de combinaison possible, toute les balles dont disposé mon frère ajouté à cela toute les techniques que je maitrisais ; nous avons même réussi une attaque combinant ses balles rebondissantes et mes lancés de couteau, sa précision est vraiment effrayante : il calcul je ne sais par quel moyen la trajectoire précise des balles et mes déplacements (enfin si je sais comment : son intelligence, sa résistance et son agilité sont à 98%, et sa vitesse, sa force sont à 80%) d'ailleurs il ne comprenait pas comment moi qui est une intelligence à 98% j'ai pût être aussi bête quand nous nous sommes rencontré, la réponse est pourtant simple son 98% n'est pas le même que le mien.